Ils sont vos enfants naturels, ces électeurs que vous traînez dans la boue. Depuis plus de deux siècles, les penseurs qui vous soutiennent et une partie de vos responsables n'ont cessé de pratiquer en paroles et en actes une politique violemment antichrétienne. Et cela continue. Il y deux ou trois ans, des enseignants de l'école publique de la région du Nord ont protesté car on fêtait la saint Nicolas avec les enfants des écoles maternelles. Votre fanatisme est tel que vous avez fait supprimer des éphémérides de la télévision publique la mention saint qui précède le prénom que l'on célèbre. Un présentatrice décontractée vous dira, sourire guimauveux aux lèvres, que "demain on fête les Félicités". Vous ignorez ou voulez que le peuple ignore qui était cette jeune femme martyrisée avec sa coreligionnaire Perpétue, par exemple, tout comme ces hommes et ces femmes donnés aux malades, aux pauvres, à tous les laissés pour compte, aux orphelins.
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Depuis plus de trente ans, vous ne cessez de prôner des valeurs matérialistes, pouvoir d'achat, confort, loisirs, plaisirs. Et votre idéologie s'est répandue dans les médias avec une vitesse confondante. Vous ne parlez que de droit, jamais de devoirs. Vous faites parler ceux à qui vous vous adressez à la première personne du singulier : J'ai droit à... Vous avez critiqué l'éventualité d'un retour au cours de morale à l'école primaire. Vous avez supprimé l'obligation de porter un prénom tiré du martyrologe au point que l'on peut s'appeler Prune, Cerise, Frigidaire, Mahmadou ou Mohammed. Or le prénom est un élément fondamental de l'identification de la personne, dans une culture donnée. Vous ne connaissez que les individus, pas les personnes. Vous parlez de solidarité, jamais de générosité, et bien entendu de charité, cette vertu théologale qui plonge ses racines dans l'amour que le Créateur a pour ses créatures.
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Vous avez contribué en grande partie à effacer de l'esprit de nos concitoyens la conscience morale, de celle qui nous fait discerner et peser nos choix avant que les actualiser. Vous êtes une église, avec des croyances, mais vous êtes une église sans foi. Et s'il faut parfaitement admettre que le poids de l'Eglise catholique institution dans la vie politique et personnelle était devenu intolérable, en France, à un moment donné de l'histoire des hommes, à ce moment crucial où le choix de la charité et du don aurait contribué au véritable progrès humain, vous avez choisi la haine et la violence, le mépris et l'insulte, la destruction et la dérision. Et vous n'avez cessé d'intervenir dans la vie personnelle de vos concitoyens. Les électeurs que vous méprisez sont vos enfants naturels. Vous n'avez que ce que vous méritez. Vous êtes des fauteurs de guerre civile, car vous prétendez imposer au peuple ce que vous jugez bon pour lui, mais vous vous gardez bien de lui demander s'il est d'accord. Et ce que vous voulez imposer n'est jamais clairement exprimé.
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Si vraiment vous croyez à ce que vous dites, annoncez dans votre programme politique que vous augmenterez les impôts pour transformer les banlieues dites sensibles (suppression des ghettos "ethniques", destruction des barres d'immeubles inhumaines, création de commerces de proximité et de services, parcours scolaires adaptés, poste de police, équipements collectifs), que vous mettrez sur pied des programmes obligatoires d'alphabétisation pour les immigrés clandestins, que vous leur procurerez un toit et un travail décent. Mais de grâce, ne versez pas des larmes de crocodiles devant les misères du monde. Il y a longtemps que vous avez anesthésié le sens de la compassion et du partage dans le peuple. Il est votre enfant. Et vous le rejetez. Savez-vous qu'il existe des tests de recherche en paternité ?
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2 commentaires:
UN PEUPLE VERSATILE ? Un sondage ça va, deux sondages bonjour les dégâts. Le parti unique UMPS du guide suprême ALI SARKO va rapidement prendre des dispositions législatives pour que ‘le dérapage’ d’un institut de sondage incontrôlable ne puisse plus réaliser des sondages apocryphes. Les français ayant la mémoire courte les sondages inquiètent les ennemis de la France. Ils ont raison d’être préoccupés les inamovibles arsouilles qui nous gouvernent. Car ce peuple change d’avis facilement, son instruction économique et politique est si faible qu’il est naturellement manipulable. Quelques exemples dans différents domaines. La France a toujours aimée la courageuse Serbie, qui fut un allié loyal pendant toutes les épreuves que traversa notre pays, et bien nous avons bombardé récemment ce pays pour faire plaisir à l’OTAN et à des pays musulmans. Les Français ont sautés au coup des Américains en avril 1917 et juin 1944 mais rapidement ils les ont oubliés et n’ont jamais cessé de les critiquer. Jusqu'à les jeter dehors comme des occupants désagréables. Oublier les valeureux libérateurs, oublier le plan marshal, les généreuses marraines de guerre des orphelins de nos poilus. Plus prés de nous, le président Reagan qui en a assez des frasques meurtrières de ce fou furieux de Kadhafi, ordonne un bombardement. Le 14 avril 1986, décollent de la base de Lakenheath en Angleterre vingt quatre F-111, et cinq EF-111, ils se dirigent vers la Lybie, l’état major US et Britannique a prévu pour la nuit le passage au dessus de la France. Le Président, l’icône socialiste François Mitterrand dit le ‘voleur’, et son premier ministre Chirac, dit ‘le menteur’, refusent le survol du territoire français par les avions américains allant vers la Libye. vingt-huit tankers de ravitaillement en vol seront nécessaire pour le changement d’itinéraire. Les coquins UMPS choisissent le gredin.
En 2003 Kadhafi déclare que le Socialisme a échoué, c’est la fin de la concorde avec les communistes.
Ah que oui, nous avons abandonné la Serbie. Et c'est pourquoi des citoyens serbes ont masqué pendant un temps d'un voile noir le visage de la statue qui a Belgrade célébrait l'amitié de la Serbie pour la France. Nous avons honteusement abandonné ce pays auquel la bêtise et l'aveuglement ont arraché le coin de terre qui était son berceau. Plus de Champ des Merles pour les Serbes, plus de monastères, plus d'Eglise avec leurs superbes fresques, mais des bandits albanais sans foi ni loi (pour une partie d'entre eux ; pas de généralités surtout). Certes, il a fallu un fou comme MILOSEVIC pour aliéner à la Serbie une grande partie de l'opinion européenne. Mais les Serbes n'étaient pas responsables des horreurs de leurs dirigeants. Et eux, au moins, ils n'ont pas eu besoin des américains pour bouter les nazis hors de leur patrie. Comme toujours, on mélange tout, on généralise, on critique, et aucune solution humaine, acceptable, juste, n'est proposée par ces censeurs qui se font des carrières sur le dos des victimes. Quant au sondage, il faut les prendre comme ils viennent et ne pas les abominer quand ils déplaisent à ceux qui nous gouvernent ou aspirent à nous gouverner en utilisant les mêmes potions et les mêmes ficelles que celles des gens en place.
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