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Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrais, c'est la lâcheté.
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Il m'arrive de rêver ! Je rêve que monsieur HOLLANDE, conscient de la répulsion qu'il inspire à une majorité de nos compatriotes, décide avec sagesse de démissionner. Ce serait le meilleur service à rendre à sa patrie, s'il l'aime. Depuis de longues semaines, et avec le concours du Salon beige (que je pille, je le confesse), je ne cesse de vous montrer des photos de Sentinelles/Veilleurs debout, de Veilleurs, de défenseurs de la famille, de Bonnets rouges. Comme me le disait ce gradé des CRS l'autre soir : "Vous êtes persévérants". Nous le sommes en effet. Et s'il n'est pas question d'utiliser la violence, en revanche nous entendons utiliser nos droits constitutionnels, et notamment ceux d'aller et venir librement dans l'espace public. En vérité, ces gens, qui pour se dédouaner aux yeux de leurs maigres troupes, taxent d'extrême-droite tous les citoyens qui ont le malheur de les combattre, ont une conception totalitaire de la démocratie et c'est pourquoi ils doivent soit changer soit partir.
Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrais, c'est la lâcheté.
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Il m'arrive de rêver ! Je rêve que monsieur HOLLANDE, conscient de la répulsion qu'il inspire à une majorité de nos compatriotes, décide avec sagesse de démissionner. Ce serait le meilleur service à rendre à sa patrie, s'il l'aime. Depuis de longues semaines, et avec le concours du Salon beige (que je pille, je le confesse), je ne cesse de vous montrer des photos de Sentinelles/Veilleurs debout, de Veilleurs, de défenseurs de la famille, de Bonnets rouges. Comme me le disait ce gradé des CRS l'autre soir : "Vous êtes persévérants". Nous le sommes en effet. Et s'il n'est pas question d'utiliser la violence, en revanche nous entendons utiliser nos droits constitutionnels, et notamment ceux d'aller et venir librement dans l'espace public. En vérité, ces gens, qui pour se dédouaner aux yeux de leurs maigres troupes, taxent d'extrême-droite tous les citoyens qui ont le malheur de les combattre, ont une conception totalitaire de la démocratie et c'est pourquoi ils doivent soit changer soit partir.
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Je l'appelle de tous mes voeux le fameux phénomène tant redouté de nos Princes, celui de la coagulation. Je n'irais pas jusqu'à dire avec notre cher CHATEAUBRIAND : "Levez-vous orages désirés !", mais c'est tout comme, à la violence près . Pour l'instant, nos incapables se fondent sur l'apparente hétérogénéité des contestataires. C'est que nombre d'entre eux ne savent pas mettre de mots sur leurs maux. Et pourtant, ils sont clairs : (a) refus des politiques de reconnaître que nous avons une identité forte, inscrite dans l'espace et dans l'histoire ; (b) promotion outrancière de la mondialisation à tout va, sans protection des frontières de l'Union européenne ; (c) prosternation devant les diktats de l'Europe (l'équitaxe nous serait imposée, disent nos imbéciles bernanosiens, par ces apatrides de BRUXELLES qui mettent deux ans à pondre une circulaire sur les chasses d'eau, ou la dimension des cages destinées à élever des poules en batterie [cf. J.P. COFFE, hier à "Vivement Dimanche"]). Les Anglais sont moins bêtes que nous. Ils occupent 11 directions sur les 12 que comportent la Commission européenne, ils ont réussi à imposer leur langue comme langue de travail ; ils prennent de l'Europe ce qui leur convient et va dans le sens de leurs intérêts et en rejettent les contraintes ; (d) promotion du "grand remplacement" qui voit peu à peu les Français quitter leur patrie et les étrangers s'y installer comme en pays conquis (voir la vidéo dont l'adresse a été donnée hier dans un commentaire de Tippel) ; (e) corruption morale et matérielle d'un nombre important de responsables politiques ; (f) mépris des petites gens en général et des provinciaux campagnards en particulier ; (g) arrogance des hauts fonctionnaires ; (h) refus de faire des économies dans les dépenses de l'Etat ; (i) idolâtrie de l'argent.
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Le 26 janvier sera le jour de la colère. Il ne s'agit pas de tout casser, mais de signifier à ces messieurs que trop, c'est trop, et qu'il leur faut changer de politique ou s'en aller. Quant à "l'opposition", en vérité elle ne tient pas du tout à voir se lever une forte contestation. La raison en est simple. Il ne faudrait que la même mésaventure lui advienne au cas où elle reviendrait au pouvoir. En fait, ces "élites" sont d'accord sur tout ; ils rêvent simplement d'être calife à la place du calife, en conduisant exactement la même politique : soumission à l'Europe, immigration incontrôlée, achat de clientèle au moyen d'une politique qualifiée de "sociale", mépris du peuple français, négation de la réalité, promotion de l'argent et du plaisir au détriment du sens, impôts comme moyen de se maintenir au pouvoir. Comme me le disait encore le gradé dont j'ai signalé l'existence dans mon récit de la veillée du 22 novembre : ça va péter ! ça va péter ! On a l'impression qu'ils ne s'en rendent pas compte, nos Princes. Je suis résolument contre l'usage de la violence ; je crois aux bienfaits de la culture telle que la dispensent les Veilleurs, mais je ne suis pas certains que ces vues soient partagées par ceux qu'exaspèrent ces imbéciles bernanosiens. Alors qu'ils changent ou qu'ils s'en aillent avant qu'ils ne soient trop tard et que le soi-disant "rassembleur" des Français ne soit chassé de l'Elysée par une foule en colère.
Du Salon beige ces photos.
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Des Sentinelles/Veilleurs debout à PAU.
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Manu le chimique se réfugie derrière le plan Vigipirate.
Les Sentinelles de Vendée se sont relayées toute la nuit dernière devant la Préfecture de La Roche-sur-Yon pour veiller sur le sommeil du ministre qui les a maintenues à bonne distance grâce à l'activation du plan Vigipirate. Les CRS ont apprécié les croissants au petit-déjeuner. Témoignage de l'un d'eux : "Nous devons rester neutres dans nos paroles, mais il ne nous est pas défendu d'être largement d'accord avec vous."
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