Dans mon premier billet de ce jour, je vous ai donné un large extrait du discours prémonitoire de TOCQUEVILLE prononcé en janvier 1848, à la Chambre des Députés . Le noeud du malaise de l'époque, il l'avait bien saisi : le gouvernement qu'il critiquait avait confondu ses intérêts personnels et privés avec le bien commun, et la Révolution couvait parce que les gouvernants étaient devenus indignes de leur charge. Il me semble que nous sommes aujourd'hui dans une situation analogue. La probité exige de moi que je dise ceci : le phénomène n'est pas propre à la "gauche". Cette confusion des intérêts a commencé il y a bien longtemps, et la "droite" ne peut se prévaloir d'une virginité de rosière dans ce lupanar organisé et général qu'est devenu le monde politique. Ce n'est pas la loi qui peut pousser les hommes à avoir une conduite morale (je rappelle ici que la morale est une science de discernement qui consiste à donner des réponses justes à une seule et unique question : que dois-je faire pour avoir la vie bonne ?), c'est la conscience, et la prise en compte de l'existence de l'autre dans sa singularité d'abord, dans son insertion sociale ensuite. Et s'il est vrai que l'intérêt général doit primer sur les intérêts particuliers, s'il est non moins vrai que les biens terrestres ont une destination universelle, il est faux de faire passer pour de l'intérêt général ce qui n'est qu'un intérêt particulier au service d'intérêts politiques personnels. Je suis convaincu, par exemple, que la résistance à la construction de l'aéroport de ND des LANDES tient à un procès réciproque que se font l'une à l'autre les parties en cause : monsieur AYRAULT veut son aéroport pour asseoir sa puissance sur NANTES et sa région ; les Zadistes se contrefoutent des paysans ; ils défendent une idéologie ultra-gauchisante. Il est très difficile d'y voir clair, d'autant que plus personne ne fait confiance à personne ; le soupçon général s'est installé, parachevant le délitement du lien social et l'émiettement du corps social en lobbies défendant des intérêts particuliers. Il est urgent de restaurer le dialogue, de renoncer à prendre des lois qui divisent profondément notre peuple, et peut-être de changer une constitution qui, à force de ravaudages, est devenue illisible.
-Le Salon beige communique :
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Un portique écotaxe : cela peut servir.
Sur le périphérique parisien :
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Lancement des Bonnets roses (et bleus) pour la famille et les enfants.
Face aux attaques répétées du gouvernement contre les familles et souhaitant participer à la révolte actuelle des bonnets de toutes les couleurs, les Bonnets roses arrivent afin de hausser le ton contre ce gouvernement.
Les Bonnets roses se battent pour un retour sur la loi Taubira ayant institué l'adoption pour tous et disent Non aux projets actuels du gouvernement.
Non à l'actuel pillage fiscal des familles, Non à la théorie du gender, Non à la PMA pour tous et à la GPA, Non à la réforme des rythmes scolaires, Non au projet de création d'un statut du beau-parent, Non à la réforme du congé parental et Non à tous les projets futurs d'un gouvernement qui n'a pour seul objectif que de détruire la famille.
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La manif pour tous à la défense : autre photo (on voit mieux !)
Les veilleurs d'EPINAL (sur TWITTER).
Ecotaxe en Bretagne (site du Figaro).
Et la révolte de la jeunesse (site du Figaro).
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Les sentinelles sont partout.
Place vendôme.
Au pied de l'Arc de triomphe.
Place Beauveau où elles sont sur très vite qu'elles n'étaient point les bienvenues !
Même scénario devant l'Assemblée se disant nationale.
Hier samedi, à Versailles devant la préfecture des Yvelines...
... ou encore devant le Palais de justice de Chambéry.
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Melun défend la famille.
Chers amis, résistons, résistons !
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