mercredi 2 novembre 2016

01 novembre 2016. Nouvelles de la Résistance : à propos des saints et des apprentis sorciers !

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Ce n’est pas l’ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c’est la lâcheté !
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1. LA CITATION DU JOUR.
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"Celui qui a confiance dans l’amour, délibère-t-il au sujet de la vie ?"
Johann Wolfgang von GOETHE, Amyntas.
Cité par Francis MOREAU.
In
Hannah Arendt, l'amour de la liberté : essai de pensée politique. Collection Prisme.
Presses de l’Université Laval, Distribution du livre Univers, Saint-Nicolas (Québec), 2002, p. 14.
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2. COMMENTAIRES.
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En ce jour où les chrétiens commémorent tous les saints, ces hommes et femmes brûlés de l’amour du Christ, qui ont accepté donner leur vie pour Lui, je ne puis m’empêcher de penser à deux situations ou événements qui illustrent cette profonde parole de GOETHE, un immense poète soit dit en passant.

Lorsqu’un jeune homme aime une jeune femme et que, bien que non mariés, ils attendent un enfant, ils ne délibèrent pas sur la nécessité de faire disparaître le fruit de leur amour. Inversement, ceux qui, mariés ou non mariés, se trouvent en situation d’attendre un enfant et délibèrent sur un possible avortement, n’ont pas confiance dans l’amour ni dans la vie.

Lorsque les monstres de DAECH ont décapité en filmant l’exécution vingt jeunes coptes, aucun d’eux n’a songé à renier sa foi, et ils sont morts en murmurant le nom de Jésus. Voilà ce que signifie avoir confiance dans l’amour.

Voilà les raisons pour lesquelles les lois sur l’avortement, celles qui s’apprêtent à condamner pour délit d’entrave les sites offrant des solutions alternatives à la suppression d’une vie, celles qui déclarent infertiles des couples homosexuels et les assimilent à des couples hommes-femmes incapables de procréer pour diverses raisons, leur offrant ipso facto le droit à la GPA et à la PMA, voilà, disais-je, les raisons qui montrent que le législateur n’a pas confiance dans l’amour ni dans la vie et qu'il privilégie une culture de mort plutôt.
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3. INFORMATIONS DIVERSES.
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Une définition odieuse de l’infertilité selon l’OMS. (Je reprends en anglais, le texte publié par le site Citizen Go).

The World Health Organization (WHO) is considering an absurd change to their definition of infertility. The new standard would give every individual the “right to reproduce,” including same-sex couples and single men and women.
Until now, the WHO has correctly defined infertility as “a disease of the reproductive system defined by the failure to achieve a clinical pregnancy after 12 months or more of regular unprotected sexual intercourse.”
By changing the definition to include same-sex couples and single individuals, the WHO would step out of the realm of health affairs and into the realm of social affairs.
One of the authors of the new definition, Dr David Adamson, argued that the new standard is "written in such a way that it includes the rights of all individuals to have a family, and that includes single men, single women, gay men, gay women.” He continued, "It puts a stake in the ground and says an individual's got a right to reproduce whether or not they have a partner. It's a big change.” 
Not only is this change obviously absurd, but it also present a danger to women and children. This new standard would encourage countries to legalize commercial surrogacy. According to Jonathan Montgomery, Professor of Health Care Law at University College London, “Because wanting to have children would be defined as a disability, it could well strengthen the case of gay couples to be allowed access to commercial surrogates.” 
This radical decision by the WHO would disregard medical fact and biological reality for the sake of “political correctness.” Sign this petition to tell the WHO to respect the facts and stick to a medically correct definition of infertility.
As Josephine Quintavalle, from Comment on Reproductive Ethics, correctly explains: “This absurd nonsense is not simply re-defining infertility but completely side-lining the biological process and significance of natural intercourse between a man and a woman.” The WHO sets global health standards, and any change in definition would place negative pressure on countries around the world. We must act now to tell the World Health Organization that citizens around the globe disagree with this change.
Sincerely,
Caroline Craddock and the entire CitizenGO team
P.S. When you sign this petition, your note will be sent directly to Dr. Ray Busuttil (Chairman of the Executive Board of WHO) and the WHO Communications Office. Please sign this petition now.

Cette définition est inspirée de la pensée maçonnique, notamment américaine, elle-même aux ordres d'un totalitarisme technico-scientifique, économique et étatique !





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