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Ce n’est pas l’ignorance qui nous
empêche de devenir vrai, c’est la lâcheté !
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1. LES CITATIONS DU JOUR.
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(a) "Tel est l’objet de
Napoléon : « Dans l’établissement d’un corps enseignant, dit-il
lui-même, mon but principal est d’avoir un moyen de diriger les opinions
politiques et morales. » [Paroles de Napoléon au Conseil d’État, 11 mars
1806 ; rapportées par PELET de la LOZÈRE, p. 161.] Plus précisément, il compte
sur la nouvelle institution pour se faire dresser et tenir à jour un répertoire
de police universel et complet. « Il faut constituer ce corps de manière à
avoir des notes sur chaque enfant depuis l’âge de neuf ans. » Ayant saisi
les adultes, il veut saisir aussi les enfants, surveiller et faire d’avance les
Français futurs ; élevés par lui, sous sa main ou sous ses yeux, ils
seront des auxiliaires tout dressés, des sujets dociles, plus dociles que leurs
parents. Chez ceux-ci, il y a trop d’âmes encore insoumises et réfractaires,
trop de royalistes et trop de républicains ; de famille à famille, les
traditions domestiques se contredisent ou divergent, et les enfants ne
croissent à domicile que pour se heurter plus tard dans le monde. Prévenons ce
conflit, préparons-les à la concorde ; élevés tous de la même façon et
dans le même esprit, ils se trouveront un jour unanimes, non seulement en
apparence comme aujourd’hui, par crainte et de force, mais en fait et à fond,
par habitude invétérée, par adaptation préalable de l’imagination et du cœur.
Sinon, « Il n’y aura pas d’état fixe politique » [PELET de la LOZÈRE,
Ibidem, p. 154.] en France : « Tant
qu’on n’apprendra point dès l’enfance s’il faut être républicain ou
monarchique, catholique ou irréligieux, l’Etat ne formera pas une nation ;
il reposera sur des bases incertaines, il sera constamment exposé aux désordres
et aux changements. […]."
In
Hippolyte TAINE.
Les origines de la France contemporaine.
La Révolution : le Gouvernement révolutionnaire. Le régime moderne. (Tome
II)
Collection Bouquins.
Robert Laffont, Paris, 1986, pp. 693-694.
(b) "Le but de la morale laïque est de permettre à
chaque élève de s'émanciper, car le point de départ de la laïcité c'est le
respect absolu de la liberté de conscience. Pour donner la liberté du choix, il
faut être capable d'arracher l'élève à tous les déterminismes, familial,
ethnique, social, intellectuel, pour après faire un choix"
Vincent
PEILLON.
In
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2. COMMENTAIRES.
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Je vous laisse, chers lecteurs,
réfléchir à ce que signifie la politique d’éducation conduite par la France depuis
plus de deux siècles ; sur la politique de destruction de la famille
conduite par ce gouvernement de rencontre, notamment par la Belle carnassière, (surnommée
aussi PIMPRENELLE par monsieur HOLLANDE), sur les paroles de monsieur PEILLON,
fort heureusement renvoyé dans les cordes dimanche dernier, et sur la volonté totalitaire
qui préside depuis l’instauration de la troisième République à l’éducation des
enfants et qui n’a qu’un but : maintenir une clique d’incapables au
pouvoir en interdisant aux parents d’exercer le droit naturel qui est le leur,
d’éduquer leurs enfants pour leur bien, pas pour celui d’un régime, quel qu’il
soit d’ailleurs. Car pour monsieur PEILLON, il ne saurait y avoir de liberté que celle définie par les socialistes...
Je vous rappelle l’existence des
jeunesses hitlériennes ou des komsomols soviétiques laquelle visait aussi à
embrigader la jeunesse au profit d’un régime d’essence totalitaire à la seule
fin d’en assurer a pérennité.
Et je ne puis m’empêcher de vous
inviter à lire le livre d’Etienne de la BOETIE : Discours sur la servitude
volontaire.
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3. INFORMATIONS DIVERSES.
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Le PS ne connaît pas le calcul :
Une affaire de prédicat diraient les pédagogues de la rue de Genelle !
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L’arroseur arrosé :
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Honteuse persécution de la minorité
musulmane en Birmanie :
Pas plus que je ne passerai sous silence la persécution des chrétiens dans les pays musulmans ou hindouistes, je ne saurais taire la persécution dont les musulmans Rohinga font l'objet de la part de bouddhistes fanatiques.
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Au cas où j’aurais des lecteurs
lyonnais !
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Une initiative salutaire :
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