dimanche 18 février 2018

18 février 2018. Nouvelles de la Dissidence. Aristote parle de la gloutonnerie, des dérèglements sexuels et de l'ordre politique

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Vous comprendrez le pourquoi de cette illustration en lisant aussi la section consacrée à la revue de presse.
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Nous avons beaucoup à apprendre d’ARISTOTE et assez peu de madame TAUBIRA ou des vénérables et autres dignitaires de la franc-maçonnerie.
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Rien n’est plus facile que de prêcher la vérité. Le miracle c’est de la faire aimer !
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1. LA CITATION DU JOUR.
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"[…]. De même, en effet, qu’un être humain est le meilleur des animaux quand il est accompli, de même aussi quand il a rompu avec loi et justice est-il le pire de tous. Car la plus terrible des injustices, c’est celle qui a des armes. Or l’être humain naît pourvu d’armes pour la prudence et la vertu, dont il peut se servir à des fins absolument inverses. C’est pourquoi il est le plus impie et le plus féroce quand il est sans vertu et il est le pire des animaux dans ses dérèglements sexuels et gloutons. Or la justice est quelque chose de politique, car la justice introduit un ordre dans la communauté politique, et la justice décide de ce qui est juste." [Texte intégral.]
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ARISTOTE.
Les Politiques. Traduction et présentation de Pierre PELLEGRIN. Nouvelle édition. (GF N°490.) (Page 110.)
GF Flammarion, Paris, 2015.
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2. COMMENTAIRES.
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On ne laisse pas d’être étonné de la modernité de ces propos. Voilà donc un auteur antique (4 siècle avant Jésus-Christ) qui ose parler de dérèglements sexuels et de gloutonnerie en les mettant en relation directe avec l’ordre politique et le sens de la vertu dont la prudence n’est qu’un aspect. Il est tout à fait clair qu’en se servant de la « force injuste de la loi » pour reprendre la formule incroyable de feu monsieur MITTERRAND, on oblige les citoyens, y compris en utilisant la force, à accomplir des actions que leur conscience condamne (objection de conscience refusée aux maires opposés au mariage homosexuel par exemple). Il est non moins clair que l’homme, dans sa pauvreté, est bien incapable de définir à lui tout seul ce qui est bien et ce qui est mal. On reviendra là-dessus.
A ce point du raisonnement, je voudrais rappeler que le mal n’est pas le contraire du bien, le mal est la privation d’un bien. Quand SPINOZA, encensé récemment par Frédéric LENOIR dans un ouvrage dont je vous rendrai compte, déclare « Nous appelons bon ce que nous désirons », il ne fait que reprendre, en en renforçant le côté subjectif, ce que disait les philosophes médiévaux dont l’immense Thomas d’AQUIN : « Tout agent agit en vue d’un bien ».
Or l’ordre politique est fait pour les communautés humaines, essentiellement pour leur croissance ; il n’est pas fait pour satisfaire les revendications individualistes de petits groupes de pression. Et si l’on accepte de rentrer dans la logique de ce raisonnement imparable, on peut parfaitement comprendre que faire porter un enfant par une tierce personne est un bien pour celui ou ceux qui y ont recours, mais que ce n’est pas un bien pour la communauté des hommes que d’exploiter ainsi la pauvreté des femmes du tiers-monde.
En d’autres termes, seul peut être appelé bien LE MEILLEUR.
Figurez-vous que ce raisonnement, je le développe à des jeunes gens et des jeunes filles lors des catéchèses dont on m’a chargé dans différents établissements, et qu’ils le comprennent si bien qu’ils cherchent le meilleur pour leur vie. Ils ne sont pas des saints. Ces jeunes gens et jeunes filles sont faits comme tous les adolescents de leur génération. Mais ils cherchent, parfois ils tâtonnent ou se cassent la figure. Et ils se relèvent sans se moquer, eux, de la vertu, comme les imbéciles des sévices (je dis bien sévices) publics audiovisuels.
La France, dans quelques années, sera étonnée de voir la vigueur de cette incroyable jeunesse dont la fréquentation régulière rend cette dernière partie de ma vie si belle, si exaltante, si émerveillée.
ARISTOTE, tu vois que tu étais un éveilleur ! Merci.
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3. REVUE DE PRESSE : CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR.
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Les choses bougeraient-elles pour une cause qui m’est chère ? 
Belle illustration de ce que dit ARISTOTE à propos de l'injustice : les guerres de Vendée 

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Et après ça, les juges voudraient qu’on les respecte ! Ou le règne d'Ubu.

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Évidemment, on s’interroge

La "justice "est souvent injuste, mais les juges rendent leurs sentences en fonction du droit positif. Dans le cas présent, le parquet a fait appel du jugement de relaxe. Lueur de bon sens ?

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Que voulez-vous, Jupiter n’est pas Jésus !

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Quittons au plus vite ce repère de lâches, d’incompétents, d’inutiles !


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Une vidéo : Gérard DEPARDIEU donne son avis sur les Algériens de MARSEILLE.

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La Bobote ne sait plus où trouver l’inspiration : elle est asphyxiée par son insuffisance.

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Sanguis martyrum, semen christianorum !

J’en appelle à nos compatriots musulmans : est-ce ce visage de l’islam qu’ils approuvent ?









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