Vous comprendrez le pourquoi de cette illustration en lisant aussi la section consacrée à la revue de presse.
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Nous
avons beaucoup à apprendre d’ARISTOTE et assez peu de madame TAUBIRA ou des vénérables
et autres dignitaires de la franc-maçonnerie.
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Rien n’est plus facile que de prêcher la vérité. Le
miracle c’est de la faire aimer !
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1. LA
CITATION DU JOUR.
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"[…]. De même, en effet, qu’un être
humain est le meilleur des animaux quand il est accompli, de même aussi quand
il a rompu avec loi et justice est-il le pire de tous. Car la plus terrible des
injustices, c’est celle qui a des armes. Or l’être humain naît pourvu d’armes
pour la prudence et la vertu, dont il peut se servir à des fins absolument
inverses. C’est pourquoi il est le plus impie et le plus féroce quand il est
sans vertu et il est le pire des animaux dans ses dérèglements sexuels et
gloutons. Or la justice est quelque chose de politique, car la justice
introduit un ordre dans la communauté politique, et la justice décide de ce qui
est juste." [Texte intégral.]
In
ARISTOTE.
Les Politiques. Traduction et
présentation de Pierre PELLEGRIN. Nouvelle édition. (GF N°490.) (Page 110.)
GF Flammarion, Paris, 2015.
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2. COMMENTAIRES.
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On
ne laisse pas d’être étonné de la modernité de ces propos. Voilà donc un auteur
antique (4 siècle avant Jésus-Christ) qui ose parler de dérèglements sexuels et
de gloutonnerie en les mettant en relation directe avec l’ordre politique et le
sens de la vertu dont la prudence n’est qu’un aspect. Il est tout à fait clair
qu’en se servant de la « force injuste de la loi » pour reprendre la
formule incroyable de feu monsieur MITTERRAND, on oblige les citoyens, y
compris en utilisant la force, à accomplir des actions que leur conscience
condamne (objection de conscience refusée aux maires opposés au mariage
homosexuel par exemple). Il est non moins clair que l’homme, dans sa pauvreté, est bien
incapable de définir à lui tout seul ce qui est bien et ce qui est mal. On reviendra là-dessus.
A
ce point du raisonnement, je voudrais rappeler que le mal n’est pas le
contraire du bien, le mal est la privation d’un bien. Quand SPINOZA, encensé récemment
par Frédéric LENOIR dans un ouvrage dont je vous rendrai compte, déclare « Nous appelons bon ce que nous désirons »,
il ne fait que reprendre, en en renforçant le côté subjectif, ce que disait les
philosophes médiévaux dont l’immense Thomas d’AQUIN : « Tout agent
agit en vue d’un bien ».
Or
l’ordre politique est fait pour les communautés humaines, essentiellement pour
leur croissance ; il n’est pas fait pour satisfaire les revendications
individualistes de petits groupes de pression. Et si l’on accepte de rentrer
dans la logique de ce raisonnement imparable, on peut parfaitement comprendre
que faire porter un enfant par une tierce personne est un bien pour celui ou
ceux qui y ont recours, mais que ce n’est pas un bien pour la communauté des
hommes que d’exploiter ainsi la pauvreté des femmes du tiers-monde.
En
d’autres termes, seul peut être appelé bien LE MEILLEUR.
Figurez-vous
que ce raisonnement, je le développe à des jeunes gens et des jeunes filles
lors des catéchèses dont on m’a chargé dans différents établissements, et qu’ils
le comprennent si bien qu’ils cherchent le meilleur pour leur vie. Ils ne sont
pas des saints. Ces jeunes gens et jeunes filles sont faits comme tous les
adolescents de leur génération. Mais ils cherchent, parfois ils tâtonnent ou se
cassent la figure. Et ils se relèvent sans se moquer, eux, de la vertu, comme les imbéciles des sévices (je dis bien sévices) publics audiovisuels.
La
France, dans quelques années, sera étonnée de voir la vigueur de cette
incroyable jeunesse dont la fréquentation régulière rend cette dernière partie de ma vie
si belle, si exaltante, si émerveillée.
ARISTOTE,
tu vois que tu étais un éveilleur ! Merci.
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3. REVUE
DE PRESSE : CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR.
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Les
choses bougeraient-elles pour une cause qui m’est chère ?
Belle illustration de ce que dit ARISTOTE à propos de l'injustice : les guerres de Vendée
Belle illustration de ce que dit ARISTOTE à propos de l'injustice : les guerres de Vendée
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Et
après ça, les juges voudraient qu’on les respecte ! Ou le règne d'Ubu.
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Évidemment,
on s’interroge…
La "justice "est souvent injuste, mais les juges rendent leurs sentences
en fonction du droit positif. Dans le cas présent, le parquet a fait appel du
jugement de relaxe. Lueur de bon sens ?
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Que
voulez-vous, Jupiter n’est pas Jésus !
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Quittons
au plus vite ce repère de lâches, d’incompétents, d’inutiles !
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Une
vidéo : Gérard DEPARDIEU donne son avis sur les Algériens de MARSEILLE.
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La
Bobote ne sait plus où trouver l’inspiration : elle est asphyxiée par son
insuffisance.
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Sanguis
martyrum, semen christianorum !
J’en
appelle à nos compatriots musulmans : est-ce ce visage de l’islam qu’ils
approuvent ?
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