Au plus fort du combat contre les lois sociétales iniques et inhumaines initiées par monsieur HOLLANDE, des centaines de jeunes et de moins jeunes sont restés devant des mairies, ou, à Paris, des ministères, debout, silencieux, espacés, pour protester contre la tyrannie de l'idéologie. Voici ce que dit, à ce propos, Bertrand VERGELY, dans un livre passionnant appelé "Traité de résistance pour le monde qui vient" (Le Passeur, Paris, 2016, page 15, §2):
"« Ne crois pas que l’on ne te voit pas », disent ces attitudes [il s’agit
des Sentinelles, Veilleurs debout] au Palais de justice et au pouvoir
qui se cache derrière. « On te voit. On te décrypte même, bien que tu fasses tout pour brouiller les pistes et égarer les esprits. Sache que tu es lisible et que nous ne sommes pas dupes. Quand tu parles de démocratie et d’égalité, nous savons que tu mens. C’est pour cela que tu nous fuis et que tes médias se gardent de parler de nous. Toi qui te présentes comme l’adversaire de toute censure et de toute répression, tu as voulu nous casser les reins et tu veux encore nous briser en nous réprimant sauvagement. Sache que nous sommes debout et que nous le resterons. L’homme est homme parce qu’il est un homme debout, et nous sommes venus témoigner de cet homme."
Madame BORNE a cru bon nommer un ambassadeur aux droits LGBT. C'est sûr qu'il s'agissait d'une urgence. Les LGBT sont partout, censurent tout, dénoncent tout. C'est ce qu'on appelle la démocratie directe. Il nous reste le droit de rester debout. Heureusement. Comme le disait la femme du pasteur cévenol OLIVERS, qui fut un immense résistant, à un allemand furieux de voir qu'elle avait dans une armoire un drapeau français : "Monsieur, vous oubliez que je suis française". C'est cela rester debout.
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