Facebook a censuré un article dans lequel il était dit que la vaccination des femmes enceintes contre la Covid 19 provoquait des catastrophes et environ 20 % de fausses couches. J'avais bien pris soin d'indiquer que les auteurs n'étaient pas tous d'accord sur ce point. Mais les études (souvent financées par Pfizer ou Moderna) se gardaient bien de préciser des points très importants comme le moment de la grossesse où le "vaccin" était administré. Toute pensée critique aurait dû se poser au moins trois questions :
(a) Pendant combien de temps la protéine Spike (de pointe) produite par ces préparations à ARNm est-elle produite ?
Après avoir affirmé qu'elle disparaissait en une quinzaine de jours, le CDC (Center for Disease Control) a supprimé le passage de son constat comme l'indique cet avertissement.
(b) La protéine Spike est-elle sans danger pour l'organisme ?
Comme, je l'ai déjà signalé sur FB à plusieurs reprises, il n'existe pratiquement AUCUNE étude sur la toxicité de cette protéine pour l'homme ou les animaux. Mais il en est une réalisée sur le poisson zèbre, un modèle animal très utilisé pour des études de physiopathologie, qui montre ceci :
Despite advances in research on the vaccine and therapeutic strategies of COVID-19, little attention has been paid to the possible (eco)toxicological impacts of the dispersion of SARS-CoV-2 particles in natural environments. Thus, in this study, we aimed to evaluate the behavioral and biochemical consequences of the short exposure of outbred and inbred mice (male Swiss and C57Bl/6 J mice, respectively) to PSPD-2002 (peptide fragments of the Spike protein of SARS-CoV-2) synthesized in the laboratory. Our data demonstrated that after 24 h of intraperitoneal administration of PSPD-2002 (at 580 μg/kg) the animals did not present alterations in their locomotor, anxiolytic-like, or anxiety-like behavior (in the open field test), nor antidepressant-like or depressive behavior in the forced swimming test. However, the C57Bl/6 J mice exposed to PSPD-2002 showed memory deficit in the novel object recognition task, which was associated with higher production of thiobarbituric acid reactive substances, as well as the increased suppression of acetylcholinesterase brain activity, compared to Swiss mice also exposed to peptide fragments. In Swiss mice the reduction in the activity of superoxide dismutase and catalase in the brain was not associated with increased oxidative stress biomarkers (hydrogen peroxide), suggesting that other antioxidant mechanisms may have been activated by exposure to PSPD-2002 to maintain the animals' brain redox homeostasis. Finally, the results of all biomarkers evaluated were applied into the "Integrated Biomarker Response Index" (IBRv2) and the principal component analysis (PCA), and greater sensitivity of C57Bl/6 J mice to PSPD-2002 was revealed. Therefore, our study provides pioneering evidence of mammalian exposure-induced toxicity (non-target SARS-CoV-2 infection) to PSPD-2002, as well as "sheds light" on the influence of genetic profile on susceptibility/resistance to the effects of viral peptide fragments.
Toute personne sensée devrait se demander si la production "vaccinale" de protéine spike peut produire ces effets dans la mesure où elle n'est pas éliminée rapidement.
(c) Le placenta est-il imperméable à la protéine spike ?
Cette question est évidemment capitale. Si la protéine spike produite par une femme enceinte qui vient d'être vaccinée traverse le placenta, et compte tenu de la petitesse de l'embryon, il est impossible d'exclure que la "vaccination" soit dangereuse.
Certes, il y a beaucoup d'études purement observationnelles sur cette question, et il n'est pas juste de les écarter. Mais tout de même, quand on met au point en un an un "vaccin" sans se préoccuper de ces questions, on peut se poser des questions sur la qualité scientifiques des chercheurs qui l'ont produit.
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