On a peine à croire que les paroles dont je vais vous donner connaissance aient pu être écrites en Chine, en pleine pandémie de Covid-19, dans la ville de WUHAN, foyer, point de départ, source empoisonnée de tous les malheurs de la planète, en tout cas, de nombre de ses malheurs. FANG Fang, l'autrice de ces lignes est un écrivain réputé. Elle a occupé des fonctions importantes au sein de l'Association des écrivains. Mais FANG Fang a des yeux pour voir, une raison pour raisonner et une langue savoureuse pour décrire, une langue qui souligne certains aspects misérables de l'administration, parfaitement transposables à celle de notre malheureuse patrie.
FANG Fang a tenu un journal de bord des événements dont elle a été témoin à WUHAN depuis le début de l'épidémie et dès l'instauration de mesures draconiennes dont nous n'avons pas même l'idée. Dans cet ouvrage intitulé "Wuhan Ville close. Journal", traduit en français et publié aux éditions Stock en 2021, FANG Fang, à la date du 25 janvier 2020 (La ville est déjà sous cloche depuis quelques jours), n'hésite pas à dire :
"Une administration qui ne permet pas la promotion des meilleurs éléments engendre des conséquences désastreuses ; des discours politiquement corrects mais creux, au détriment de la recherche de la vérité, à partir des faits engendrent des conséquences désastreuses : empêcher les gens de dire la vérité et les médias de rapporter la vérité engendre des conséquences désastreuses; et toutes ces conséquences, nous les subissons une par une. Mais voilà, Wuhan, première ville à être touchée, en a un désastreux avant-goût."
Il n'y a pas l'épaisseur d'une feuille de papier à cigarette entre l'administration chinoise (au début de la pandémie, car il y a eu de sérieuses mises au point après quelques semaines de flottement) et l'administration française. Monsieur SALOMON, monsieur VERAN, monsieur HIRSCH, l'ordre des médecins, madame Sibeth NDIAYE, les ARS, tout ce beau monde a pataugé dans la plus parfaite incohérence au début de la pandémie et a persisté dans de coupables erreurs. Et c'est pourquoi les hommes que l'on attaque sont précisément ceux qui ont dénoncé cette incohérence : Les Pr RAOULT, PERRONNE (que des incompétents notoires se sont autorisés à juger, tel le Dr BLOUET, président du Conseil National de l'Ordre des médecins), les Dr FOUCHE, TOUBIANA, etc. sont traqués, jugés, poursuivis, démolis par ceux-là même qui devraient être condamnés pour leur incompétence.
Tout cela est misérable. J'ajoute une chose : je mets au défi un lecteur de me donner lé référence d'un article scientifique prouvant par la méthode de l'essai randomisé en double aveugle que l'hydroxychloroquine est inefficace pour lutter, dans les conditions définies par le Pr RAOULT (traitement précoce avec une dose d'attaque de 600 mg/j, associé à de l'azythromycine et du gluconate de zinc) contre la Covid 19.
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