Les déchaînements médiatiques contre les supposés racistes font qu'il est pratiquement impossible de réfléchir aujourd'hui aux réels problèmes que posent une immigration incontrôlée, la création de zones entières soustraites à nos lois, la propagande des LGBT et j'en passe.
Voici un petit extrait d'un livre dont je vous conseille l'achat et la lecture. (Et ne m'en veuillez pas si mon billet du 31 paraît le premier septembre. J'étais en voyage...)
"Ce qu'on appelle littérature, aujourd'hui, et plus largement la culture, n'est que la face hédoniste d'un nihilisme dont l'antiracisme est la branche terroriste. Il n'y a pas plus de racisme en France qu'il n'y a de fruits d'or aux branches des arbres, et l'idéologie a besoin d'en inventer pour justifier la terreur permanente qu'elle exerce sur tout le monde, à commencer par les écrivains, lesquels n'ont le choix qu'entre la collaboration (à quoi consentent la plupart, surtout les indignés) et le refus de cette terreur. S'opposer à cette idéologie dominante revient à endosser un habit d'infamie ou de gloire quand bien même on aurait toute sa vie dans les racistes, les antisémites, les anticléricaux, les rigoristes et les athées la même bêtise, le même refus de penser, la même haine. Il faut leur adjoindre aujourd'hui les antiracistes, dans un monde aux valeurs entièrement inversées et où le mot interdit de "race" devient l'obsessionnelle métaphore de la femme, de l'homosexuel, de l'obèse, du "jeune" de l'animal, etc., les antiracistes se livrant au nom du Droit, à ce à quoi se sont illustrés les plus violents racistes : lynchage médiatique, condamnation judiciaire, destruction de l'homme libre, ce qui me conduit à soutenir que l'antiracisme contemporain n'est qu'une manifestation tout à la fois hystérique et froide de la haine d'autrui."
Richard MILLET.
De l'antiracisme comme terreur littéraire.
Pierre-Guillaume de Roux, Paris, 2012.
On ne saurait mieux dire. Il suffit d'écouter la haine du mâle qu'exprime madame Sandrine ROUSSEAU, la haine qui suinte de tous côtés chez les membres du groupement NUPES, la haine de la normalité sexuelle chez les membres du mouvements LGBT, la haine du RN proclamée par une partie des hommes politiques, des journalistes, ou du bobo bien pensant. Ce parti a tout de même 89 députés, élus au suffrage universel direct à deux tours, à la majorité absolue. De cela tous ces gens n'en ont cure : ils défendent leur place dans les comités de rédaction, les commissions parlementaires (on a ainsi élu monsieur COQUEREL comme président de la commission des Finances, avec la complicité éhontée des LR). Tout cela, le Peuple le sent, le sait, et un jour le fera savoir d'une manière qui pourrait bien être inattendue.
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