Nouvelles de la Résistance : courage, fuyons ! semble dire nos gouvernants

Le Salon beige communique
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8 novembre : accueil de Philippe Martin à Toulouse.

Philippe Martin, Ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, participera vendredi 8 novembre à 16h00 à la clôture des Premières Rencontres nationales pour le développement du biogaz – (Hôtel de Région – 22 boulevard du Maréchal Juin – 31000 Toulouse).

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27ème Veillée parisienne : vendredi 8 novembre 2013 à 20 heures.

A la veille des cérémonies de commémoration de la signature de l'Armistice à Rethondes, entre la France et l'Allemagne, qui mit fin le 11 novembre 1918 à la Première Guerre Mondiale, les Veilleurs se rassembleront le vendredi 8 novembre 2013 à 20 heures.

Le thème de cette 27ème veillée parisienne sera "Histoire & Mémoire".

Le lieu de la Veillée sera communiqué vendredi à 12 heures mais il est proposé aux lecteurs du Salon Beige de suggérer en commentaires un lieu adapté (au thème) pour cette prochaine Veillée.

Provinciaux et parisiens vous y êtes tous attendus ! Partagez cet événement et invitez vos amis français ou étrangers pour que nous soyons le plus nombreux possible pour partager ensemble ce beau moment de paix et de concorde.

"Un homme sans passé est plus pauvre qu'un homme sans avenir" Elie Wiesel

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Du site du Figaro cette photo de la révolte des Bretons et mon commentaire :

Écotaxe : l'État rejette l'ultimatum posé par les Bretons.

Eh bien je vais vous dire : l'état peut rejeter tout ce qu'il veut ; les Français en général et les Bretons en particulier s'en foutent éperdument. Ils en ont marre. Ils veulent que toutes cette élite auto-proclamée parisienne cesse de nuire à notre patrie par ses pitreries, ses rodomontades, ses reculades (la dernière en date étant le rejet de la réforme des retraites par le Sénat, à l'unanimité ! Ces messieurs continuent cependant à se chauffer avec leurs 4 000 euros annuels de prime de chauffage qu'ils n'ont pas voulu supprimer). C'est à vomir ! Ils ne voient donc pas que ça va péter, que ça s'en va dans tous les sens, et que bientôt, nous risquons tout simplement une guerre civile (froide ou chaude ; les gens de gauche ayant déclaré qu'ils n'accepteraient pas l'élection [fort improbable du reste] d'une Marine LE PEN à la Présidence de la République, serait-elle acquise démocratiquement ! ça promet !). Partout, des gens lucides ne cessent de crier casse-cou, demandent des changements, y compris dans cette majorité qui exhale l'odeur nauséabonde de la décomposition. Mais madame VALLAUD-BELACEM (alias Claudine DUPONT qui semble être le vrai nom de cette jolie mais incompétente ministre) affirme qu'il ne faut surtout rien changer à la ligne politique de monsieur HOLLANDE, alors que 91 % des Français, selon un sondage, le désirent. Il faut dissoudre le peuple, car le peuple pense mal ; ceux qui pensent bien ont nom : Vincent PEILLON, Christiane TAUBIRA, Manuel VALLS, Martine AUBRY, Harlem DESIR, Bertrand DELANOE, Anne HIDALGO et j'en passe. Parfum de fin de règne, de nullité absolue et de tyrannie de la pensée, signe incontestable de faiblesse.

Il faut être le Directeur de l'Institut supérieur du travail, un certain monsieur Bernard VIVIER, pour réclamer une restauration de l'autorité de l'état en matière de fiscalité ! Encore une grosse légume et un imbécile au sens de BERNANOS qui, le cul posé sur un moelleux fauteuil dans un de ces édifices parisiens somptueux entretenus peut-être grâce aux contribuables, ose dire de telle bêtise. Si l'état n'avait pas réclamé de se mêler de tout, et avait laissé aux citoyens la liberté de conduire leur vie comme ils l'entendent, en leur abandonnant bien entendu les moyens de le faire, nous n'en serions pas là. Ils veulent s'occuper de tout ; qu'ils assument leur insolente prétention.

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Bonnets verts.

Le mouvement créé en réaction aux bonnets rouges est porté par des associations d'utilisateurs de transports en commun. Et est officieusement soutenu par des membres de partis politiques très divers.

Mouvement créé opportunément après le recul du gouvernement face aux bonnets rouges, les bonnets verts cherchent eux aussi à faire entendre leurs revendications. Et si celles-ci sont claires - la suspension de la hausse de TVA sur les transports et une réduction du prix des transports en commun - les visages de ce nouveau groupe contestataire étaient jusqu'à présent peu identifiables.

Dans un post publié sur leur groupe Facebook mardi après-midi, les bonnets verts se sont dévoilés. Le mouvement «découle d'une protestation de plusieurs semaines [...] organisée par l'Association des Voyageurs-Usagers des Chemins de fer (Avuc)». Et si les bonnets verts ne sont pas à proprement parler une branche de l'Avuc, ils en sont bel et bien une émanation. Ils partagent notamment le même porte-parole, Willy Colin. Celui-ci précise toutefois que les causes défendues par les bonnets verts sont «plus larges que la seule problématique du train», sur laquelle se mobilise l'Avuc.

Un mouvement officiellement «apolitique»

Les bonnets verts disent désormais s'inscrire dans «une logique de collectifs citoyens», rassemblant tous les citoyens «concernés par les transports en commun». Willy Colin évoque également le soutien d'élus locaux, eux aussi concernés par la problématique des transports en commun par le biais des délégations de service public qu'ils accordent.

Et si le mouvement est officiellement «apolitique», il bénéficie du soutien de membres des partis «depuis la gauche de la gauche jusqu'au centre droit». Parmi les abonnés Twitter des bonnets verts, on trouve effectivement un secrétaire national du Parti socialiste, une responsable EELV mais aussi une cadre du Medef et même un sympathisant UMP. Mais les bonnets verts tiennent à préserver leur indépendance. Dans leur message Facebook, ils soulignent que leur mouvement est «spontané, non sponsorisé et non manipulé par des groupes de pression». Willy Colin acquiesce, prévenant «ceux qui voudraient s'emparer du mouvement» que les bonnets verts ne répondront pas «à ce type de sollicitations, de plus en plus nombreuses».

Une pique à peine dissimulée à leurs homologues carmins, dont ils condamnent le mode d'expression. «Rien ne justifie une telle violence. Nous sommes pour le dialogue, pas pour la casse.» Et quand les bonnets rouges se félicitent du recul du gouvernement sur l'écotaxe, les bonnets verts se désolent du report sine die de cette mesure qu'ils estiment «légitime». Seul point commun: le couvre-chef que les deux groupes ont choisi comme «signe de ralliement». Les bonnets verts ont d'ailleurs lancé un appel à la marque bretonne Armor Lux qui a produit les fameux bonnets rouges
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Congrès des maires : François Hollande se défile.

"Selon les informations d’Europe 1, le chef de l’Etat a donc décidé de ne pas se rendre au congrès annuel des maires de France, qui se tiendra du 18 au 21 novembre prochain.

Outre le contexte politique tendu, le président sait que cette réunion des maires peut s’avérer périlleuse. L’année dernière, c’est devant cette assemblée toujours très difficile que François Hollande avait commis l’une des premières bourdes de son quinquennat en promettant la liberté de conscience des maires qui ne souhaiteraient pas célébrer des mariages homosexuels. La réforme des rythmes scolaires, qui a suscité la colère de nombre d’élus, y compris au sein de la majorité, pourrait être un nouvel élément de crispation. Pas question donc de prendre le risque de voir le président se faire chahuter publiquement.

A l’Elysée, on avance l’agenda surchargé du président pour justifier cette impasse. Et on minimise d’autant plus ce choix présidentiel que Jean-Marc Ayrault sera, lui bien, présent."

Courage ! Fuyons ! Fuyons cette assemblée flouée par une promesse sur la liberté de conscience des maires, reprise le lendemain par celui qui l'avait solennellement affirmé la veille... ! Fuyons ces hommes et ces femmes dévouées, intègres, qui se donnent au service de leurs concitoyens, mais dont un grand nombre refuse de céder à ce qu'il considère comme une injonction immorale ! Nous leur demandons d'aider les Français à pousser vers la sortie nos actuels gouvernants.
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