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Ce n’est pas l’ignorance qui nous
empêche de devenir vrai, c’est la lâcheté !
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1. LA CITATION DU JOUR.
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"Cette idée que seul peut être
libre celui qui est prêt à risquer sa vie n’a plus jamais disparu de notre
conscience, et il en va de même pour le lien du politique avec le risque et le
hasard. Le courage est la première de toute les vertus politiques, et il fait
aujourd’hui encore partie des quelques vertus cardinales de la politique parce
que nous ne pouvons pénétrer dans l’espace public, c’est-à-dire dans le monde
qui nous unit tous, et qui est à proprement parlé l’espace politique, que si
nous nous éloignons de notre existence privée et de notre sphère familiale à
laquelle notre vie se rattache." […]."
In
Hannah ARENDT. Qu’est-ce que la politique ?
Texte établi par Ursula LUDZ. Traduction de l’allemand et préface de Sylvie
COURTINE-DENAMY. (Collection Points. Série Essais. No 445.)
Éditions du Seuil, Paris, 1995 (date du
copyright) ; (date d’impression, 2003 ; date du dépôt légal, 2001).
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2. COMMENTAIRES.
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Nous vivons dans un régime dont les
responsables, gouvernants et élus, se voient déléguer tous les pouvoirs par le
peuple déclaré pourtant souverain. De sorte que, dans l’espace public, l’espace
politique, nous ne pouvons pas échapper au rapport de domination des gouvernés
par les gouvernants. Ce n’était pas le cas dans la ville de Pallas Athéna, où,
dès qu’ils sortaient de leur maison, les citoyens se trouvaient sur un strict pied
d’égalité.
Hannah ARENDT, rappelle que la liberté est
inséparable du risque et du hasard, et que le courage est indissociable du
maintien de la liberté.
Nous avons commencé à rentrer dans l’esclavage
avec l’inscription du principe dit « de précaution » dans la Constitution,
comme si une précaution (comme on passe aux retirata
« pour prendre ses précautions » avant une soirée ou un voyage ou
un long spectacle !) avait jamais empêché la matérialisation d’une menace.
Ce dont nous avons besoin c’est d’une
analyse courageuse de la réalité et des menaces qui pèsent sur notre patrie.
En matière économique, il est temps de
dire à nos "amis" américains que nous n’accepterons jamais de nous
soumettre à leur diktat, à leur TAFTA et à des règles qui sont faites pour les
avantager, ruiner notre industrie et imposer au monde entier leurs produits. À
cet égard, la réaction du peuple russe et de ses dirigeants vis-à-vis des
mesures punitives à eux imposées par l’oncle Sam et ses alliés (en fait ses
satellites), a été d’une dignité exemplaire. On pourrait du reste dire la même
chose de la réaction du peuple iranien. Certes, Russie comme Iran ont souffert
de ces sanctions. Cependant, ils ont continué de tracer leurs routes. Bien
entendu, cette remarque ne signifie pas que j’approuve la totalité de la
politique des dirigeants russes ou iraniens. Je souligne simplement que le
courage et la détermination ont été pour ces peuples des vertus éminentes.
En matière de mondialisation et d’immigration,
le courage des hommes politiques français consisterait à ouvrir les yeux et à
suspendre l’immigration clandestine, à renvoyer dans leur pays les immigrés qui
n’ont aucune raison sérieuse et prouvée de demander l’asile politique en France,
à s’occuper d’accueillir dignement ceux qui ont vocation à rester chez nous. Le
courage consisterait à faire le ménage dans les cités complètement abandonnées
aux mains des prédicateurs musulmans fanatiques, à dire clairement aux musulmans
que nous ne saurions accepter qu’ils nous imposent chez nous leurs coutumes et
leurs lois archaïques. Des maires courageux ont pris les bonnes mesures en
matière de « burkinis ». Ce qui vient de se passer en Corse montre
aussi que des citoyens n’ont plus envie de s’en laisser compter par les fidèles
d’un islam radical, para-radical, ou provocateur. Nous avons délégué l’exercice
du pouvoir à des gouvernants lâches, aveugles et soucieux avant tout de capter
les voix des musulmans devenus français par le droit du sol mais incapables de
faire régner la fameuse laïcité dont ils se gargarisent avec des grands
mouvements de menton.
En matière démographique, le courage
consisterait à ne pas promouvoir une culture de mort : avortement,
contraception, politique fiscale lamentable pour les familles, enfin pour
certaines familles, puisque il est avéré que des musulmans polygames et français
procréent abondamment et bénéficient des faveurs d’un système aveugle et
injuste. Il y a ainsi (ou il y avait) à Lyon, un imam qui avait 16 enfants,
quatre femmes (dont une officielle), trois d’entre elles bénéficiant des allocations
familiales et de l’allocation de parents isolés. Tout cela est insupportable.
Et il faudrait beaucoup de courage pour introduire de la justice, de la rigueur,
de la fermeté, (en même temps que de la compréhension, c’est évident :
cela s’appelle le discernement).
Le courage consisterait aussi à demander
plus souvent l’avis du peuple sur des mesures qui le concernent directement, à
réformer profondément le institutions en diminuant le nombre de députés, de
sénateurs, de communes, en simplifiant la fiscalité, et en reconnaissant que l’impôt
est devenu insupportable et illégitime quand il fait peser son poids sur les épaules
des seuls créateurs de richesse pour en redistribuer le fruit de manière
incompréhensible à nombre de citoyens qui ne se soucient nullement de contribuer
par leur travail à la vie de leur patrie (bien entendu, il n’est pas question
de viser ici les chômeurs).
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3. INFORMATIONS DIVERSES.
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Enfin,
une parole de courage ? ou de l'opportunisme ,
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Une
analyse de problèmes posés par une certaine forme d'immigration musulmane
(site du Boulevard Voltaire).
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Le
courage de David !
Plus que neuf mois à tirer !
Si l'image ne s'affiche pas, voir le lien ci-dessous :
http://lesalonbeige.blogs.com/.a/6a00d83451619c69e201bb092b0f8d970d-pi
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