samedi 31 octobre 2009
La justice du Royaume et le surcroît
vendredi 30 octobre 2009
Quand parlera-t-on des vrais problèmes ?
mercredi 28 octobre 2009
Et ça recommence
mardi 27 octobre 2009
Du maniement de la Loi
lundi 26 octobre 2009
Intériorité
dimanche 25 octobre 2009
Stupéfaction
— Songez, leur crie-t-elle, songez que votre Dieu est mort sur la croix, et votre roi sur l'échafaud.
Elle semblait implorer le même sort , pour elle-même; mais Grignon préféra la condamner à survivre. Après cet horrible carnage, quand les bourreaux se sont éloignés, l'admirable chrétienne, couverte du sang des siens, ensevelit de ses propres mains les cadavres mutilés de son mari, de ses enfants et de toute cette glorieuse famille de martyrs." (GAUTHEROT)
samedi 24 octobre 2009
La question linguistique en Alsace
vendredi 23 octobre 2009
Vice de la démocratie ou démocratie viciée ?
Je vais m'expliquer. Le raisonnement que je tiens sur l'absence d'expérience de Jean SARKOZY, tout le monde peut le faire. Le poste est soumis à l'élection, et rien n'oblige les électeurs à renoncer à leur conviction, s'ils estiment que le candidat n'est pas apte à occuper la fonction. Les grands criailleurs de la gauche font un procès d'intention à leurs pairs de la majorité en imaginant qu'ils auraient voté, nolentes volentes, pour Jean SARKOZY au motif qu'il est le fils du Président de la République. En d'autres termes, ils prêtent à leurs adversaires politiques une attitude qu'ils auraient eue sans doute, ou se seraient crus forcés d'avoir au cas où, par exemple, monsieur Jean-Christophe MITTERRAND eût été candidat à la fonction sous le septennat de son père. Monsieur Jean-Christophe MITTERRAND a échappé au filtre de l'élection et a occupé d'importantes fonctions auprès du Président MITTERRAND, sans que quiconque s'en émeuve. Ses pouvoirs étaient immenses, ses fonctions occultes et opaques, en raison de la mission qui lui était confiée.
mercredi 21 octobre 2009
Eugénie et Benjamin
Opinion et vérité ou le vice actuel de la démocratie
mardi 20 octobre 2009
Sur le vif
lundi 19 octobre 2009
On devrait l'appeler Mirowsky
dimanche 18 octobre 2009
Droits de l'homme ? Droits de l'individu ? Ou droits des citoyens franco-français ?
Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune.
On ne peut qu'être d'accord avec cette déclaration de principe, surtout si l'égalité ainsi présentée est une égalité de dignité, de celle qui a permis à Montaigne de parler de ces indigènes et de leurs représentants en des termes touchants, ou de celle qui a poussé Bartholomé de LAS CASAS à soutenir devant SEPULVEDA que les indiens d'Amérique avait une âme qui valait bien celle des Européens. Je fais ici allusion à la controverse de VALLADOLID.
Article II
Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression.
Tout cela est bien abstrait, et l'on s'épouvante de la définition que l'article IV donne de la liberté, dont les bornes seraient celles de la liberté de l'autre. Où voyez-vous poindre la moindre trace de relation à autrui ? Rien de tout cela. Qu'est-ce que la résistance à l'oppression ? Je considère personnellement que les peuples divers qui composent notre patrie ont été largement opprimés dans leur langue, leur culture, leurs traditions. Ils n'ont guère eu le moyen de s'opposer au rouleau compresseur des idéologues du jacobinisme. Et quand deux libertés, parfaitement subjectives, se heurtent, voyez vous apparaître le nécessaire respect de l'autre et la nécessité d'avoir des instances qui permettent l'expression d'un compromis ?
Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément.
La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société, la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.
Ma pendule est à l'heure
La démocratie vue par Laozi
samedi 17 octobre 2009
Gwir
« On doit peindre les Massacres de Septembre et les horreurs de la Révolution du même pinceau que l'Inquisition et les Massacres des Seize. Il faut avoir soin d'éviter toute réaction en parlant de la Révolution. Aucun homme ne pouvait s'y opposer. Le blâme n'appartient ni à ceux qui ont péri, ni à ceux qui ont survécu. Il n'était pas de force individuelle capable de changer les éléments et de prévenir les événements qui naissaient de la nature des choses et des circonstances».
vendredi 16 octobre 2009
Un portrait au vitriol
Semblable à cet insecte, le fléau des jardins, qui n'adresse ses morsures qu'à la racine des plantes les plus précieuses, Voltaire, avec son aiguillon, ne cesse de piquer les deux racines de la société, les femmes et les jeunes gens; il les imbibe de son poison, qu'il transmet ainsi de génération en génération.
D'autres cyniques étonnèrent la vertu ; Voltaire étonne le vice. Il se plonge dans la fange, il s'y roule, il s'en abreuve. Quand je vois ce qu'il pouvait faire et ce qu'il a fait, ses inimitables talents ne m'inspirent plus qu'une espèce de rage sainte. Paris le couronne, Sodome l'eût banni."
mercredi 14 octobre 2009
Démocratie et compétence
Que sont devenus les députés régicides de la Convention ?
J'utilise ici la version de Joseph de MAISTRE. Au chapitre XIII, PLUTARQUE note :
"Considérons maintenant si quelques nations grecques n'ont pas adopté avec beaucoup de raison la loi égyptienne qui ordonne que 'si une femme enceinte est condamnée à mort, on suspende le supplice jusqu'à sa délivrance' ; maintenant, au lieu d'une femme qui a conçu matériellement, imaginons un coupable qui porte dans le fond de son âme une bonne action, une grande pensée, un conseil salutaire, une invention utile : ne préfèrera-t-on pas, d'une commune voix, la clémence qui laisse mûrir et naître ces fruits de l'intelligence, à la justice précipitée qui les aurait fait avorter ? Jusqu'ici la comparaison est exacte : elle devient fausse ensuite, mais c'est au profit de la vérité ; car cet enfant que la mère condamnée doit mettre au monde, ne peut lui-même sauver sa mère dont le sort est décidé ; au lieu que cette bonne action que Dieu voit dans l'avenir, sera pour le coupable un mérite qui aura la force d'adoucir le supplice, peut-être même de le prévenir. Comment donc la suprême bonté pourrait-elle annuller (sic) ce mérite en le prévenant par une punition précipitée ?"
Le hasard a voulu que je trouve récemment un livre sur le "Châtiment des Révolutionnaires". Vous trouverez ci-dessous, classés par ordre des départements d'origine le sort des députés régicides de la Convention ; quelquefois, les noms sont suivis d'une autre mention comme "bannissement" ou "réclusion". Dans ce cas ces députés n'ont pas voté en faveur de la mort de Louis XVI. Si je vous donne cette liste, c'est pour montrer comment une Révolution, la française en particulier, dévore ses enfants. Dans un premier mouvement, on ne peut s'empêcher de penser que ces fanatiques ont reçu le juste châtiment de leur iniquité. Mais en vérité, on ne peut que pleurer tant de sang versé au nom de la démocratie et de la liberté. Je la donne pour que vous ayez une documentation irréfutable et factuelle, et non pas une vague idée de ce fut la terreur qui régnait aussi sur la Convention. Il est assez étonnant qu'aucune réflexion n'ait été faite et enseigné à nos collégiens et lycéens sur cet aspect universel de toutes les révolutions.
Sort de quelques députés ayant voté la mort de Louis XVI et de quelques autres ayant voté le bannissement ou la réclusion. La liste ne semble pas exhaustive. Elle est donnée par ordre alphabétique des départements desquels provenaient ces élus. Vous constaterez que 31 départements ont vu leur représentant condamné à mort. Les plus gros contingents de victimes étaient les élus de la Gironde, de Paris, des Bouches-du-Rhône, puis l'Eure-et-Loir et le Puy-de-Dôme.
Saint-Just (Aisne). — Guillotiné le 28 juillet 1794.
Condorcet (Aisne). — S'est empoisonné dans la prison du
Bourg-la-Reine, près Paris.
Rabaud Saint-Etienne (Aube). — Guillotiné le 15 décembre 1793.
Jean Duprat (Bouches-du-Rhône). — Guillotiné le 31 octobre 1793.
Rebecquy (Bouches-du-Rhône). — S'est noyé à Marseille en 1793.
Barbaroux (Bouches-du-Rhône). — Guillotiné à Bordeaux le 7 messidor an II.
Gasparin (Bouches-du-Rhône). — Ce martyr de la liberté est mort d'indigestion à Toulon.
Rovère (Bouches-du-Rhône). — Mort à Cayenne en 1798.
Deperret (Bouches-du-Rhône) : la réclusion. — Guillotiné le 31 octobre 1793.
Fauchet (Calvados) : la détention. — Guillotiné le 31 octobre 1793.
Cussy(Calvados). — Guillotiné le 15 novembre 1793.
Bazire (Côte d'Or). — Guillotiné le 15 avril 1794.
Hugyes (Creuse). — Guillotiné le 6 octobre 1796.
Buzot (Eure). — Trouvé dans un champ, dévoré par des oiseaux de proie (suicide, mort à saint-Magne [Gironde] en 1794).
Duroy (Eure). — Condamné à mort par une commission militaire le 16 juin 1795. Il s'est poignardé après la lecture de son jugement ; n'étant pas mort de ses blessures il a été exécuté le même jour.
Lacroix (Eure-et-Loir) — Guillotiné le 5 avril 1794.
Brissot (Eure-et-Loir) — Guillotiné le 31 octobre 1793.
Pétion (Eure-et-Loir) — Trouvé dans un champ, dévoré par des oiseaux de proie (suicide, mort à Saint-Émilion en 1794).
Rabaut-Pommier (Gard). — Guillotiné le 16 décembre 1793.
Desazy (Haute-Garonne). — Guillotiné le 5 avril 1793.
Vergniaud (Gironde). — Guillotiné le 31 octobre 1793.
Guadet (Gironde). — Guillotiné le 23 juin 1794.
Gensonné (Gironde). — Guillotiné le 31 octobre 1793.
Grangeneuve (Gironde) : La réclusion — Guillotiné le 20 décembre 1793.
Ducos (Gironde). — Guillotiné le 30 octobre 1793.
Boyer-Fonfrède (Gironde). — Guillotiné le 31A octobre 1793.
Lacaze (Gironde) : La réclusion. — Guillotiné le 30 octobre 1793.
Duval (Hérault). — S'est tué.
Fabre (Hérault). Tué le 12 janvier 1794.
Chabot (Loir-et-Cher). — Guillotiné le 5 avril 1794.
Coustard (Loire-Inférieure) : La réclusion. — Guillotiné le 7 novembre 1793.
Delaunay (Maine-et-Loire). — Exécuté en l'an II.
Charles Charlier (Maine-et-Loire). — S'est suicidé en 1797.
Sallès (Meurthe) : La détention. — Guillotiné à Bordeaux le 19 juin 1794.
Lehardy (Morbihan) : La détention. — Guillotiné le 31 octobre 1793.
Gillet (Morbihan) : La détention. — Tué par Le Cat.
Anacharsis Clootz (Oise). — Guillotiné le 24 mars 1794.
Dufriche-Valazé (Orne). — Guillotiné le 31 octobre 1793.
Robespierre (Paris). — Guillotiné le 28 juillet 1794.
Danton (Paris). — Guillotiné le 5 avril 1794.
Collot d'Herbois (Paris) — Déporté en Guyane. Mort là-bas dans des affreuses angoisses, torturé par le remord. Pour aller plus vite dans sa besogne de tueur à Lyon, il utilisait des canons de marine contre les condamnés.
Manuel (Paris) : La détention. — Guillotiné le 14 novembre 1793.
Camille Desmoulins (Paris). — Guillotiné le 5 avril 1794 (en même temps que Danton).
Billaud-Varennes (Paris). — Déporté en Guyane. Refuse l'amnistie de Bonaparte (!). Passe en Haïti au retour des Bourbons. Meurt à Port-au-Prince (!) en 1819.
Marat (Paris). — Tué par Charlotte Corday le 14 juillet (eh oui !) 1793.
Fabre d'Églantine (Paris). — Guillotiné le 5 avril 1794 (l'inventeur du calendrier républicain était un concussionnaire notoire).
Osselin (Paris). — Guillotiné le 27 juin 1794.
Robespierre le jeune (Paris). — Guillotiné le 28 juillet 1794.
Louis-Philippe dit Égalité, duc d'Orléans (Paris). — Guillotiné le 7 novembre 1793.
Duquesnoy (Pas-de-Calais) — S'est suicidé par le poignard.
Lebas (Pas-de-Calais) — S'est suicidé.
Couthon (Puy-de-Dôme). — Guillotiné le 28 juillet 1794.
Romme (Puy-de-Dôme). — Condamné à mort par la Convention thermidorienne, se suicide en 1795.
Soubrany (Puy-de-Dôme). — Guillotine en 1795, après une tentative de suicide pour échapper à l'exécution voulue par la Convention thermidorienne.
Féraud (Hautes-Pyrénées). — Assassiné dans la Convention le 20 mars 1793.
Biroteau (Pyrénées-Orientales). — Guillotiné à Bordeaux le 14 octobre 1793.
Cusset (Rhône-et-Loire). — Fusillé le 10 octobre 1796.
Javogue fils (Rhône et-Loire) . — Fusillé le 9 octobre 1796.
Phélipeaux (Sarthe). — Guillotiné le 5 avril 1794.
Gorsas (Oise). — Guillotiné le 5 avril 1794.
Héraut de Séchelles (Seine-et-Oise). — Guillotiné le 5 avril 1794.
Teillier (Seine-et-Marne). — S'est tué le 17 septembre 1795.
Duchastel (Deux-Sèvres) : Le bannissement — Guillotiné le 30 octobre 1793.
Sillery (Somme) : La détention — Guillotiné le 31 octobre 1793.
Lasource (Tarn). — Guillotiné le 31 octobre 1793.
Lesterpt-Beauvais (Haute-Vienne). — Guillotiné le 31 octobre 1793.
Maure aîné (Yonne). — S'est tué.
Lepelletier Saint-Fargeau (Yonne). — Tué le 20 janvier 1793 au Palais Royal.
Boileau (Yonne). — Guillotiné le 31 octobre 1793.
Bourbotte (Yonne). — Guillotiné le 15 juin 1795.
mardi 13 octobre 2009
Un bilan des victimes par un journaliste du temps
Larmes de crocodile
lundi 12 octobre 2009
Que le prêt était une meilleure solution...
dimanche 11 octobre 2009
Respect du corps de l'autre et tourisme sexuel
La polémique qui fait rage, à propos des frasques thaïlandaises de monsieur Frédéric MITTERRAND, me laisse sur des sentiments mitigés. Je me souviens que monsieur BAYROU a été sévèrement sanctionné par la presse et par les électeurs pour avoir rappelé à monsieur COHN-BENDIT qu'il avait fait l'apologie de la pédophilie dans un ouvrage passablement ancien. Personne, et surtout pas à gauche, n'a mené campagne contre Dany pour ces motifs. On ménage toujours celui qui peut vous servir. Je vois donc dans le déchaînement médiatique actuel, très certainement conduit à des fins de basses politiques, une énième tentative de déstabiliser le gouvernement. Et monsieur HAMON est d'une rare hypocrisie quand il s'attaque à celui qui porte le nom d'un Président qu'il vénérait. Mais ceci explique cela.
« Evidemment, j'ai lu ce qu'on a pu écrire sur le commerce des garçons d'ici et vu quantité de films et de reportages ; malgré ma méfiance à l'égard de la duplicité des médias je sais ce qu'il y a de vrai dans leurs enquêtes à sensation ; l'inconscience ou l'âpreté de la plupart des familles, la misère ambiante, le maquereautage généralisé où crapahutent la pègre et les ripoux, les montagnes de dollars que cela rapporte quand les gosses n'en retirent que des miettes, la drogue qui fait des ravages et les enchaîne, les maladies, les détails sordides de tout ce trafic. Je m'arrange avec une bonne dose de lâcheté ordinaire, je casse le marché pour étouffer mes scrupules, je me fais des romans, je mets du sentiment partout ; je n'arrête pas d'y penser mais cela ne m'empêche pas d'y retourner. Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m'excitent énormément. La lumière est moche, la musique tape sur les nerfs, les shows sont sinistres et on pourrait juger qu'un tel spectacle, abominable d'un point de vue moral, est aussi d'une vulgarité repoussante. Mais il me plaît au-delà du raisonnable. La profusion de garçons très attrayants, et immédiatement disponibles, me met dans un état de désir que je n'ai plus besoin de refréner ou d'occulter. L'argent et le sexe, je suis au cœur de mon système ; celui qui fonctionne enfin car je sais qu'on ne me refusera pas. Je peux évaluer, imaginer, me raconter des histoires en fonction de chaque garçon ; ils sont là pour ça et moi aussi. Je peux enfin choisir. J'ai ce que je n'ai jamais eu, j'ai le choix ; la seule chose que l'on attend de moi, sans me brusquer, sans m'imposer quoi que ce soit, c'est de choisir. Je n'ai pas d'autre compte à régler que d'aligner mes bahts, et je suis libre, absolument libre de jouer avec mon désir et de choisir. La morale occidentale, la culpabilité de toujours, la honte que je traîne volent en éclats ; et que le monde aille à sa perte, comme dirait l'autre. »
Je trouve que cet aveu est pathétique, mais je ne puis m'empêcher de penser qu'il n'est pas digne d'un ministre. Il trahit une addiction dont j'ai pu mesurer la violence à Tibériade. Il affaiblit sa crédibilité et le laisse à la merci des maîtres chanteurs. En somme, la dignité de la fonction pourrait inspirer à monsieur MITTERRAND la pensée de prendre un peu de repos et d'abandonner une fonction qui lui allait bien nonobstant ces habitudes. Mais aujourd'hui, l'honneur, la dignité, la maîtrise de soi, le respect de l'autre, le respect du corps de l'autre, le respect du corps des enfants et des adolescents sont des notions très floues et dont s'accommodent nombre de gens en vue, parce que ça les arrange. On voit pourquoi. Ils ont les mêmes habitudes.
Commençons par nettoyer les écuries d'AUGIAS en purgeant Internet de tous ces sites immondes dont la presse nous relate la découverte et l'usage par des pervers polymorphes. Et qu'on ne me dise pas que c'est impossible. Les autorités chinoises savent très bien s'y prendre pour empêcher leurs concitoyens d'accéder à des sites qui sentent le dangereux fagot de la liberté et de la démocratie (la vraie, pas la nôtre).