lundi 12 novembre 2018

Lundi 12 novembre 2018. Mes chroniques. Oui à l'Europe, non à l'eurocratie ploutocratique

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MES CHRONIQUES.
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CHRONIQUE DE L’EUROPE.
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Je serai malhonnête si je ne disais pas, et sans réserve aucune, que le Président de la République a pris une belle initiative en commémorant, comme il l’a fait, le centenaire de la victoire de 1918. J’ai longuement réfléchi à cette question, et finalement, c’est en méditant une des Béatitudes, « Bienheureux les artisans de paix, ils seront appelés Fils de Dieu ». que j'en suis arrivé à cette conclusion ; en invitant la chancelière Angela MERCKEL aussi bien à RETHONDES qu’aux Champs Élysées, le Président s’est montré artisan de paix, et par là mérite le titre que Jésus donne à tous ceux qui travaillent en sa faveur.
Cependant, la conception de l’Europe, la manière qu'a le Président de comparer ceux qu’il appelle les « nationalistes » ou les « populistes » aux nazis, aux fascistes, est fausse et inadéquate. Si les peuples se défendent, c’est pour ne pas sombrer dans l’indifférenciation égalisatrice, mère de toutes les servitudes et conditions essentielles à l’établissement du règne universel du ploutocratique dieu Mammon. On ne peut pas demander à une nation qui a recouvré son indépendance il y a un siècle, de renoncer à sa singularité, à son identité, à ses habitudes, pour faire plaisir à monsieur JUNCKER ou à monsieur MOSCOVICI, sans compter monsieur SOROS, proprement éjecté de la Hongrie, sa patrie première : l'argent ne peut pas tout.
L’Europe est est une belle idée, et il convient de la promouvoir et de l’aimer. La Commission de Bruxelles est une mauvaise institution, anti-démocratique, technocratique, déconnectée du réel, et qui se soucie de l’identité européenne comme d’une guigne. Il convient de la supprimer ou de la réformer.
Le seul système qui conviendrait à l'Europe est celui d’une Confédération à la mode helvétique, où l’institution du référendum d’initiative populaire, et l’obligation d’une double majorité pour que son résultat soit légitime, permettent de garantir la démocratie et le respect des minorités. Cette double majorité est fondée d’une part sur la majorité des votants, et d’autre part sur la majorité des cantons, ce que résume la belle formule : « Le Peuple et les Cantons ont adopté etc. ».
Tant que l’on montrera du doigt les Hongrois, les Italiens, les Polonais ou les Tchèques qui ne veulent pas s’égaliser à la mode de Bruxelles, on favorisera la montée des partis eurosceptiques (qui ne sont pas forcément nazis ou fascistes). Il est trop commode de condamner sans essayer de comprendre. Les responsables sont ces fonctionnaires apatrides sans âme, sans culture, et sans empathie, qui défendent leur pré carré et ce qu'ils appellent l'intérêt général, lequel n'a qu'un très lointain rapport avec le bien commun.
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CHRONIQUE DES CINGLÉS.
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Elles sont blanches mais veulent se faire passer pour noires !
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CHRONIQUE DES MENSONGES SOCIÉTAUX, ET DES HOMMES QUI LES DÉNONCENT.
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Papa TOURAINE a dû être dans ses petits souliers !

Action des Sentinelles.
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CHRONIQUE DES CHANCES POUR LA FRANCE.
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Il n’est jamais trop tard pour bien faire. DAVET et LHOMME ouvrent les yeux, voient le réel et ne veulent point mentir.

Ces questions rejoignent celle de l'angoisse devant la perte del'identité
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CHRONIQUE DU 11 NOVEMBRE, DE LA SAINT MARTIN ET DE LA RENAISSANCE DE LA POLOGNE.
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Foch rend hommage à un officier romain.

Les bobards du journal Le Parisien.
Le titre de l’article est d’une rare duplicité. Il y a eu, dit ce pauvre poulet, plus de morts portant le prénom de Mohamed que celui de Martin, pendant la grande guerre. Le lecteur qui ne va pas trop profond en conclut qu’il y a eu plus de soldats français d’origine nord-africaine qui ont été tués que de soldats nés en France. Si le prénom, au lieu d’être Martin, avait été celui de Népomucène ou d’Éleuthère, les lecteurs auraient tout de suite compris qu’il s’agissait de comparer des prénoms rares. Mais Martin, sans être très fréquent, l’était assez pour entretenir une savante confusion qui pue l’antiracisme de commande. Les journalistes qui ont commis cet article sont vraiment indignes. Voilà qui ne m’empêche pas de saluer avec émotion la mémoire de nos compatriotes d’outre-méditerranée qui ont donné leur vie pour une patrie en laquelle ils avaient foi, et qui portaient le prénom de leur Prophète. Allez faire comprendre ça aux imbéciles ! Pas facile ! Que tous les Mohamed morts pour la France soient pieusement honorés par elle.

Fausses nouvelles des médias qui qualifient de nazis les patriotes polonais. Ne plus lire Le Monde, ni Libération ni Le Nouvel Observateur et même Le Figaro. Les rédactions en place mentent, car elles ont peur. Les Polonais entendent être maître chez eux et ils ne veulent ni du nazisme (dont ils furent les premières victimes, on a tendance à l'oublier) ni du communisme (sous le joug duquel ils n'ont jamais plié). Vive la Pologne



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