dimanche 16 mars 2014

Nouvelles de la Résistance : on ne commente pas les histoires drôles !

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Plus que jamais, devant les (ex)actions de ces fous furieux qui veulent nous contraindre à obéir à des lois qui heurtent notre conscience, soyons courageux ! car...

...ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté.
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1. La citation du jour.
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"La justice passera et je dois faire en sorte qu'elle puisse être incontestable parce qu'elle ne peut pas être contestée" (François HOLLANDE.)
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2. Commentaires.

On ne commente pas les histoires drôles. La blague de François le minuscule se suffit à elle-même. Je vous laisse rire en paix, tandis que vous sirotez votre café, ou un apéro, ou que vous lisez votre journal. A moins que vous ne vous révoltiez en parcourant la section qui suit !
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3. Infos sur la Résistance.
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Merci au Salon beige !

Répression policière devant le Grand Orient (via le salon beige).

Les Sentinelles, postées la nuit dernière devant le Grand Orient de France, rue Cadet à Paris, disent avoir été expulsées avec une rare violence :
"Alors que des Sentinelles étaient paisiblement alignées sur un trottoir, sans gêner l'ordre public, les forces de l'ordre sont intervenues violemment et sans sommation pour les expulser.

Une jeune fille raconte avoir parlé à un policier : «Monsieur nous sommes debout sur un trottoir face à un bâtiment privé, nous ne gênons personne, vous devez nous donner un motif !», le policier aurait alors sorti une très habituelle réponse : «Ce sont les ordres».
Un autre témoin de la scène explique que les CRS, déjà présents sur place, sont intervenus au bout de 3 minutes, avec une rare violence. «Ils ont chargé pour repousser tout le monde, en attrapant certains et en les portant. Un homme a été poussé brutalement contre une terrasse de café, renversant une table et brisant des verres».
Une autre Sentinelle, qui résistait en restant sur place aurait été étranglée et entrainée de force plus loin dans la rue. Une autre jeune fille, pourtant habituée à veiller debout, raconte avoir eu «vraiment peur» et n'avoir jamais vu une réaction aussi brutale contre les Sentinelles ; elle parle également de «quelques coups gratuits» donnés par les CRS.
Une réaction des forces de l'ordre disproportionnée et étonnante, qui laissait pensait qu'une personnalité se trouvait à ce moment là à l'intérieur.
Quelqu'un nous explique : « Nous veillons pour protester non pas contre l'existence de la franc-maçonnerie mais contre le fait qu'elle soit secrète tout en prétendant construire l'avenir de notre société, de notre collectif... Agir masqué est déloyal vis-à-vis de la collectivité. Nous demandons la transparence et le fait que l'on puisse accéder aux listes des membres de ce réseau. (...) Si la franc-maçonnerie fonctionne comme un lieu de pouvoir, alors elle doit rendre des comptes et notamment donner des noms. »"
D'autres Sentinelles, qui veillaient Place Vendôme, ont également été expulsées. 



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18 mars, soutien aux victimes de la répression au Trocadéro.


Le Printemps Français, en lien avec Solidarité pour Tous et le Collectif des Avocats contre la Répression Policière et idéologique (CARP), appelle à manifester.
Dans un climat politique empuanti par les cahuzaqueries de Valls, Taubira et Hollande, la France découvre avec indignation qu’un militant contre la dénaturation du mariage a été condamné mardi 11 mars 2014 à 18 mois de prison dont 6 mois ferme et une interdiction d’exercer sa liberté d’expression (privation du droit de manifester sous contrôle policier). Dans la même semaine, trois militants ont été informés de leur mise en examen à la suite de leur participation à la Manif pour tous du 26 mai 2013 à Paris. Quelques jours plus tôt, une étudiante russe de 17 ans, de parents naturalisés français, révélait avoir été l’objet d’une invraisemblable manipulation policière pour l’obliger à espionner les Veilleurs et à dénoncer ses camarades opposants à la loi Taubira, sous peine de se voir refuser sa propre naturalisation et risquer ainsi l’expulsion. Cette tentative sordide rejoint la mise en examen de Guillaume de Thieulloy, le directeur de publication du Salon Beige, coupable aux yeux du pouvoir d’avoir publié un photomontage caricatural au printemps 2013. Jamais au cours de la Vème République la répression politique n’avait atteint de tels bas-fonds.
Nous ne sommes pas dupes !
Il existe une volonté manifeste, rageuse et obstinée de casser par la violence publique le dynamisme dont fait preuve la société civile dans la défense du mariage, de la famille et de la vie. Le régime est aux abois et ne dissimule même plus ses attaques contre les droits fondamentaux et la liberté d’opinion. Il veut faire payer sa défaite sur la loi famille et empêcher toute nouvelle mobilisation de masse contre sa politique à la veille du dépôt d’un projet de loi sur l’euthanasie.

Face à ces dérives extrêmement graves, le Printemps Français, Solidarité pour Tous et le CARP, en lien avec tous les mouvements d’opposition au mariage unisexe, à l’idéologie du genre et à la politique de François Hollande, appellent à une manifestation le mardi 18 mars 2014 à 19h30 sur l’esplanade du Trocadéro. Venez avec vos drapeaux, vos logos, vos sifflets !
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Très chers lecteurs, ne prenez aucun rendez-vous pour la journée du 18 mai. Elle promet d'être intéressante. Soyez mobilisés ! Et toujours dans la bonne humeur, la détermination et la non-violence ! Nous réagirons jusqu'à ce qu'ils partent... et si possible avant les échéances constitutionnelles de 2017, de façon que devant la levée de boucliers des Français, ils comprennent qu'ils ont perdu la partie et qu'il n'est plus nécessaire d'attendre avant de s'avouer vaincus par le Peuple de France.

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