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Au lieu d’un château fort dressé au milieu des
terres, pensons plutôt l’armée des étoiles jetée dans le ciel.
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LE
COMBAT NE FAIT QUE COMMENCER.
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Le
parieur bénédictin n’a pas vocation à maudire, mais il a celle de défendre la
vérité sur l’homme, vérité dont Jésus, Fils de Dieu, est le Maître.
Faisant
fi de l’opinion majoritaire des Français qui ont pris soin de participer aux
États Généraux de la Bioéthique, le Comité consultatif national d’éthique a
donné un avis favorable à l’ouverture de la PMA pour les couples de lesbiennes
ou les femmes seules. Il s’agit là d’un défi insupportable à la démocratie,
mais le parieur n’est pas démocrate ni anti-démocrate, il est pour défendre la
loi naturelle (qui n’est pas comme on le croit la loi de la nature), laquelle
est inscrite dans le Bible parce qu’elle est vraie.
Il
convient de dénoncer ici avec vigueur les exigences d’une minorité, très
puissante il est vrai, celle des LGBT, qui entend exiger de la loi politique des
droits que ne connaît ni la loi naturelle, ni la loi de la nature. Il y a dans
la communauté des lesbiennes des femmes qui sur un ton hystérique réclame le
droit d’avoir un enfant, non pas pour l’enfant lui-même (lequel est un don et
non un droit) pour être « comme les autres » tout en réclamant qu’on reconnaisse
leurs différences ; je les leur reconnais sans aucune difficulté et l’une d’elle
est précisément l’impossibilité de concevoir un enfant par l’exercice d’une
sexualité humaine, laquelle inclut l’union d’un homme et d’une femme.
Il
convient d’aborder la question de deux manières, ce que nous allons faire. La
première consiste à la prendre sur un plan purement humain, si possible teinté
d’humour ; la seconde sur un plan spirituel.
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UN
AVERTISSEMENT PROPHÉTIQUE.
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"Et
lorsque les nouvelles sanctions qu’il aura exigées seront votées, ce n’est plus
seulement l’expression de ce qui déplaît dont il réclamera la répression
accrue, mais même sa manifestation potentielle ou virtuelle. Ainsi se
constituera un nouveau délit non prévu par ORWELL : le crime
d’arrière-pensée (ou de sous-pensée, ou de non-pensée, ou de pensée in statu nascendi). L’annonce de cette
répression nouvelle et prévisible réjouit les belles âmes officielles, et on pu
lire dans Le Monde un éditorial où,
après quelques hypocrites bouffonneries (« Trop de loi tue peut-être la
loi, comme le dit l’adage. Mais dans notre société — même si l’on peut
regretter cette dérive légaliste —, sans doute faut-il un texte pour arrêter
le sexisme ordinaire, celui qui fait mal et peut tuer », etc.), le
colombanesque COLOMBANI s’empressait de désigner à la vengeance un journaliste
de province coupable d’avoir parlé de « lynchage » ou
d’« Inquisition » à propos de cette croisade contre l’homophobie. Et
était aisé de supposer que ce Basile de mélodrame regrettait que l’on ne puisse
encore le faire promptement traîner devant un tribunal.
"Chez les plus logiques
des communautaristes, la persécution emprunte d’ores et déjà les voies du
principe de précaution, et implique qu’on abatte tout le troupeau avant même
qu’il ait fait la preuve de sa nocivité : pourquoi se gêneraient-ils
puisque les ministres se couchent devant eux et s’empressent de transposer en
mesures législatives leur délire ? Bien d’autres maîtres chanteurs
également groupés en associations de malfaisance patentée, piaffent déjà
derrière la porte."
In
Philippe
MURAY.
Moderne
contre moderne. Exorcismes spirituels IV. Quatrième tirage.
Chapitre
Les Nouveaux actionnairess. (Page 174.)
Les
Belles Lettres. Paris, 2010.
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SUR
L’AMOUR.
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"Le
XVIIIe siècle de VOLTAIRE a fait subir au mot « amour »
les plus hideuses déformations, allant jusqu’à plaquer son nom sur les
pratiques les plus déshonorantes, et le masque de velours que l’on portait
volontiers dans les « fêtes galantes » ne dissimulait pas un visage,
mais une tête de mort.
"La
philosophie libertine du siècle nie l’image de Dieu qui est dans l’homme, et
elle s’évertue à prouver que cette image n’existe pas en exaspérant la
sensualité avec froideur et minutie, jusqu’au point où elle rejoint très
exactement celle du Romain consultant, avec un ignoble frisson, les entrailles
du chrétien répandues par la griffe des bêtes sur le sable du cirque. La
littérature érotique de la fin du XVIIIe fait encore l’admiration
des petits maîtres d’aujourd’hui, qui épuisent les faibles ressources de leur
art à composer des romans dont les personnages, réduits à leurs fonctions
animales, disparaissent de page en page et ne laisseront jamais un nom dans
aucune mémoire."
In
André FROSSARD.
Dieu en questions. Chapitre Que peut-on dire de l'amour ? (Pages 128 et 129)
Desclée de Brouwer ; Stock/Laurence Pernoud, Paris, 1990.
In
André FROSSARD.
Dieu en questions. Chapitre Que peut-on dire de l'amour ? (Pages 128 et 129)
Desclée de Brouwer ; Stock/Laurence Pernoud, Paris, 1990.
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COMMENTAIRES.
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Le
pitoyable Comité dit d’éthique n’est qu’un misérable cache-sexe de l’esprit dit
de Progrès dont le seul but, la seule idée fixe est d’abolir la barrière qui
sépare l’homme de l’animal. Les brutalités des Végans, des antispécistes, les
arguments captieux des « philosophes » colombanesques en faveur des
mesures prises par ce fameux Comité, tout cela sonne la fin de l’homme, tout
cela ne vise qu’à lui faire oublier qu’il est fait à l’image et à la
ressemblance de Dieu. Et c’est la raison pour laquelle un parieur bénédictin,
un chrétien, ne peut considérer que la PMA, (pratique qui consiste à féconder in vitro des ovocytes avec des spermatozoïdes d’un
donneur anonyme puis à réimplanter des œufs dans le sein d’une femme qui peut être
n’importe qui) n’est pas conforme au plan de bonheur de Dieu pour l’homme. C’est
au nom de leur dignité inaliénable qu’il convient de refuser à des femmes qui
désirent un enfant sans avoir recours à la sexualité humaine habituelle, la
pratique de la PMA. Il convient aussi de comprendre que ces femmes peuvent
souffrir de ne pouvoir épanouir leur désir de maternité, mais il convient aussi
de voir que ce désir est tournée vers leur personne et non pas vers l’enfant
qui a besoin d’un père comme d’une mère.
Si
monsieur MACRON prend le risque de faire voter une loi dans le sens voulu par
les LGBT, les francs-maçons et les anticléricaux de tous poils, il aura devant
lui une opposition décidée. Il le sait. Espérons qu’il n’ira pas jusque là !
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