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Au lieu d’un château fort dressé au milieu des
terres, pensons plutôt à l’armée des étoiles jetée dans le ciel
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QUI
VEUT NOYER SON CHIEN ETC.
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Pour
bien comprendre le tour de passe-passe honteux auquel se prêtent des
journalistes aveugles ou stipendiés, en parlant de populisme, je vous livre ces
quelques réflexions de mon cher LANZA del VASTO.
"Le
mot populaire a trois sens.
Le
premier sens, c’est : commun, banal, vulgaire.
Le
second sens, c’est : célèbre au point d’être connu de tout le monde.
Le
troisième sens, c’est : issu du peuple.
[…]
Il
s’est trouvé des érudits pour nier l’existence d’une tradition populaire, pour
confondre systématiquement les trois sens du mot […].
(LANZA
parle ici des chansons dites populaires, mais il me semble qu’il voit très bien
l’usage idéologique que peuvent faire du mot populaire substantiver en
populisme, en connotant le mot essentiellement dans le côté vulgaire, banal,
commun).
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L’article
de Causeur dont je donne ci-dessous le lien illustre à merveille la confusion
volontaire que les médias mondialisants, cosmopolites, matérialistes, entretiennent sur les réactions des peuples qui se sentent menacés dans leur identité. Je vous
demande instamment de lire cet article remarquable.
Pourquoi
des journaux comme L’aliénation
(alias Libération) ou Le journal des bobos (alias Le Monde) traitent-ils de populistes les
votes de ceux qui ne pensent pas comme eux et qui défendent ce que Christophe
GUILLUY appelle fort justement leur capital
social ?
Le
Peuple est-il oui ou non souverain ? A-t-on le droit de déclarer que
monsieur JOFFRIN est le meilleur défenseur d’un monde sans pitié qui ne connaît
que la concurrence, le marché, le commerce, la banque et l’exploitation
économique des migrants, clandestins ou non (dussent au passage quelques citoyens
innocents être tués à l’arme blanche et quelques autres, non moins innocentes,
violées ou injuriées). Monsieur JOFFRIN ignore ce que signifie de vivre dans un
HLM multiculturel où l’État a laissé s’installer la drogue, le non droit, la
violence, et les trafics en tous genres. Monsieur JOFFRIN ignore ce que pensent
les conducteurs des bus nantais qui quotidiennement se font injurier ou
violenter par des « chances pour la France » (un exemple parmi d’autres).
Ne parlons pas de l’inénarrable Alain MINC qui traîne sa nonchalante arrogance dans
les salons des ministères, le conseil d’administration ou quelque
chose d’approchant du Journal des bobos, et fait des conférences d’une fulgurante vacuité sur des problèmes qu’il ne connaît pas.
Je
dénonce ici l’usage que les médias font du mot populiste pour disqualifier
une importante fraction du peuple qui exprime sa peur, ses frustrations, ses
difficultés de vivre dans un système politique qui nie les violences auxquelles
il est confronté.
Quant
aux crétins patentés qui fustigent les Autrichiens, les Hongrois ou les
Polonais, ils feraient mieux d’apprendre l’histoire et de comprendre les très
antiques raisons qui poussent ces peuples à défendre leur identité : s’il
n’y avait pas eu la victoire de LÉPANTE et don Juan d’Autriche pour défaire la flotte des
Turcs en octobre 1571, si le roi de Pologne Jean SOBIESKI n'était pas venu seconder l’empereur d’Autriche
pour l'aider écraser les troupes turques
assiégeant Vienne en 1683, que seraient devenus ces nations ? Quant aux Hongrois,
ils se souviennent aussi des mongols, dont les Turcs osmanlis sont les cousins,
et les susdits ne leur ont pas laissé que de bons souvenirs.
Bien
entendu, je partage l’avis de Causeur. Les solutions simplistes et radicales ne
sont jamais efficaces, mais j’ai tout de même le droit de dénoncer ces médias
qui ne cessent de mentir, le dernier mensonge en date étant la manière dont l’AFP
a rendu compte des manifestations de CHEMNITZ et de la prétendue chasse collective
aux migrants qui n’a jamais eu lieu. Rappelons tout de même que ces
manifestations faisaient suite à l’assassinat d’un jeune allemand par un migrant demandeur d'asile.
Mais
ces réactions sont paraît-il illégitimes (Cf. un excellent article :
C’est
à se demander si la motivation profonde des médias n’est pas d’exacerber ce qu’ils
appellent le populisme afin de faire advenir le pire des régimes qui soit,
celui que par exemple monsieur MACRON fait miroiter à des Français éberlués par
tant de culot, en jouant de leur influence laquelle sent très fortement l'odeur du fric.
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