Je suis un peu déçu, pourquoi ne pas le dire, d'avoir si peu de réactions et de commentaires à certains de mes billets (je pense notamment au billet sur le bonheur). Mais l'une de mes fidèles lectrices me disait qu'il n'y a rien à dire. C'est terrifiant !
Olibrius dit que j'ai trop d'assurance. Et bien j'en ai de moins en moins, et ses réflexions judicieuses m'ont permis de prendre la mesure de ce qui pourrait passer pour une parole fermée. Et justement, je me demande si, malgré mes précautions, ce que je dis dans ces billets n'est pas trop fermé. Mais il me fait réfléchir, lire, peser les mots, vérifier l'orthographe et les accords, la concordance des temps. C'est un travail exigeant. Alors, c'est vrai, j'éprouve une petite déception devant cet apparent vide de réactions, et je vis dans l'espérance que bientôt elles abonderont.
Ceci est un court billet, que je compléterai ce soir, par une réflexion plus approfondie sur un sujet d'actualité.
1 commentaire:
Comme je l'ai parfois évoqué en privé, il est difficile de contrecarrer ou compléter, des propos si bien "bloggés", tant sur la forme que sur le fond, Hiver comme été nous sommes pas aussi doués,
pour commenter de si belles réflexions, pourtant tu sais bien pour l'avoir répété, sauf quand tu polémiques ou fustiges la gauche,
tes papiers même d'actualité sont fort appréciés
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