lundi 23 novembre 2015

23 novembre 2015. Nouvelles de la Résistance. La réponse qui convient au Syndicat de la Magistrature. Deuxième billet de ce jour

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Alors là, je vous l'envoie à la figure, vous qui vous drapez dans l'hermine  :

Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté !
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Oh ! la réponse au Syndicat de la Magistrature sera brève, et empruntée encore à ce cher La BRUYERE.

"Une circonstance essentielle à la justice que l’on doit aux autres, c’est de la faire promptement et sans différer : la faire attendre, c’est injustice."
Les Caractères. 
Chapitre DES JUGEMENTS, N°81.

Et ça vous ne le faites pas de rendre en son temps la justice, sauf quand il s'agit de fourrer immédiatement au trou, jugement rendu, un jeune qui a eu le malheur de dire qu'il voulait la démission de monsieur HOLLANDE... Souvenez-vous de Nicolas BERNARD-BUSS. Et n'oubliez pas que le fils d'un ministre en vue peut s'octroyer un appartement de 7 millions d'euros alors qu'il ne paye pas le moindre centimes d'impôts, qu'il a émis aux USA des chèques en bois pour un montant de plusieurs millions de dollars, et qu'il est poursuivi dans ce pays pour cette grosse "indélicatesse". Il s'agit là de faits dont tout un chacun peut prendre connaissance en lisant la presse. Bien entendu, la justice française n'a pas à connaître les délits commis aux USA, et il faut que le fisc soit saisi pour que la justice le soit éventuellement à son tour. Il n'apparaît pas que le zèle des personnes en charge de traiter ces questions soient excessifs.

"Le devoir des juges est de rendre la justice ; leur métier de la différer. Quelques-uns savent leur devoir et font leur métier."
Les Caractères.
Chapitre DE LA MODE, N°43.

Et ça vous le faites très bien en différant les jugements qui devraient être prononcés contre les membres de votre clique... Madame Françoise MARTRE en particulier. (Je crois bien qu'elle a été relaxée pour l'histoire du mur dit "des cons"). Heureusement que tous les juges ne sont pas comme vous. Il y a, en effet, qui savent leur devoir et font leur métier... Souvent, hélas, ils vivent dans des placards !




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