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Sans me lasser, plus que jamais devant l'urgence, il convient de se redire que
Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté !
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1. La citation du jour.
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Je vous l'avais dit hier, c'est le mois de CHESTERTON !
"Quand les vieux libéraux ôtèrent le bâillon à toutes les hérésies, leur idée était de favoriser ainsi les découvertes religieuses et philosophiques. Ils estimaient que la vérité cosmique était si importante que tout le monde devait fournir un témoignage indépendant. L'idée moderne est que la vérité cosmique est si insignifiante que tout ce que l'on en dit ne peut avoir d'importance. Les premiers libérèrent la recherche comme on lâche un chien de race ; les derniers libérèrent la recherche comme on rejette à la mer un poisson non comestible. Il n'y a jamais eu aussi peu de débats sur la nature de l'homme qu'à présent, alors que, pour la première fois, tout le monde peut en débattre. L'ancienne restriction signifiait que seuls les orthodoxes étaient autorisés à discuter de la religion. La liberté moderne signifie que personne n'est autorisé à en discuter. Le bon goût, la dernière et la plus vile des superstitions humaines, est parvenu à nous faire taire, là où tout le reste a échoué. Il y a soixante ans, il était de mauvais goût d'être un athée déclarés. Alors arrivèrent les disciples de BRADLAUGH [un ardent promoteur de la libre pensée et un ennemi de la religion], les derniers croyants, les derniers qui tenaient à Dieu, mais ils ne purent rien y changer. Il est toujours de mauvais goût d'être un athée déclaré [vrai en 1905, date où CHESTERTON a publié Hérétiques ; faux en 2015 où une foule incalculable d'imbéciles bernanosiens se fait une gloire de ne point croire en Dieu]. Mais leur martyre a du moins abouti à ceci : il est aujourd'hui d'aussi mauvais goût de s'avouer chrétien. [...]."
G.K. CHESTERTON.
Hérétiques (chapitre Remarques préliminaires sur l'importance de l'orthodoxie).
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2. Commentaires.
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Vous avez remarqué, sans doute, que dans la cour d'honneur des Invalides, le jour où la France a rendu hommage aux victimes des attentats, se profilait, derrière cette cour, le dôme de la chapelle des Invalides. La chapelle était vide, la cour d'honneur était comme vide, malgré le grand nombre de hauts personnages qui en peuplaient les bords. Il y avait quelque chose de glacial et de sinistre dans cette cérémonie, un vide spirituel, une hommage ravageur à l'idole de la laïcité. Pas la moindre allusion à l'esprit. Et même si le discours de monsieur HOLLANDE avait une certaine allure, il n'évoquait aucune lumière, aucune espérance, aucun au-delà du mal et de la vie mortelle.
Nous sommes en train de crever de cette perte du sens. Il ne faut s'étonner si des jeunes en perdition, en manque de repères, trouvent dans la violence politico-religieuse le moyen de combler leurs aspirations à un quelque chose et/ou un quelqu'un qui les dépasse et qui les précipite dans la violence atroce. Dans la section 3, Informations diverses, vous allez voir jusqu'où va la bêtise humaine.
Ceci étant, j'appelle tous mes lecteurs et tous les jeunes qui me lisent à l'insurrection. L'insurrection de la prière et de la sainteté. Notre épée et nos armes, la prière ! Notre défense, la Parole de Dieu ! Notre bouclier, l'Esprit saint ! Nos grenades offensives la vérité des faits.
Ceci étant, j'appelle tous mes lecteurs et tous les jeunes qui me lisent à l'insurrection. L'insurrection de la prière et de la sainteté. Notre épée et nos armes, la prière ! Notre défense, la Parole de Dieu ! Notre bouclier, l'Esprit saint ! Nos grenades offensives la vérité des faits.
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3. Informations diverses.
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La c... n'a décidément pas de limites ! Ou le vigilant syndicat des enseignants du Ier degré
"La mairie de la ville rose aurait-elle commis un
sacrilège contre la laïcité ? Figurez-vous qu’elle offre aux enfants de
maternelle, comme cadeau de Noël, un livre-CD contenant, entre autres, La poule de Colin, une
chanson extraite du répertoire folklorique québécois. Un syndicat d’enseignants
du premier degré dénonce le choix de ce cadeau, qui « relève d’une légèreté
coupable ou d’une entorse sérieuse à la laïcité ». Pourtant, à se
référer aux paroles, ne sont-ce pas les autorités catholiques locales ou
quelque ligue de défense des animaux qui eussent dû s’émouvoir ? Jugez-en
plutôt.
La poule de Colin « a
été faire sa ponte dans la cour à Martin ». Mécontent, ce dernier « a pris sa fourche et lui a
cassé les reins ». Pauvre volatile ! Puis « il a fait une bonne sauce
pour le dimanche matin ». Tous les gens de la paroisse sont venus« saucer
le pain », ainsi que Monsieur le curé qui « trouva la sauce si bonne
qui s’y trempa les mains ». Ensuite, « il a fait la messe avec ses
paroissiens », notamment« à toutes ses bonnes vieilles qui
en ont besoin ». Ah, ces bigotes !
Pas de quoi pourtant fouetter un chat. Eh bien, si !
La poule de Colin doit être tuée, par la censure cette fois. Le syndicat
déclare en effet que « l’école
doit être l’école de tous. Tous, élèves et parents, doivent pouvoir s’y
reconnaître ».
Il est pour le moins improbable que le maire de Toulouse
ait voulu déployer en cette occasion quelque forme de prosélytisme religieux.
Cette anecdote prêterait à rire si elle n’était pas significative d’une
confusion des genres et des excès auxquels peut conduire la crainte de heurter
un tant soit peu une certaine communauté. Ces censeurs impitoyables confondent
la religion avec des traditions qui font partie du patrimoine commun des
Français.
On avait déjà entendu des écoles demander aux enfants de ne
pas apporter de bonbons pour leur anniversaire afin de ne pas en priver des
élèves, au cas où ils contiendraient quelque ingrédient à base de porc.
Aujourd’hui, c’est un chant, qui, au demeurant, pourrait tout aussi bien
apporter de l’eau au moulin de ceux qui aspirent encore à crier : « À
bas la calotte ! »
Cet abandon de traditions, qui sont d’ailleurs devenues
plus festives que religieuses, est une forme de désertion. Faut-il supprimer
des écoles l’étude de La chanson de Roland, de toutes les œuvres
littéraires, artistiques ou cinématographiques porteuses de références
chrétiennes ? Faut-il proscrire de nos écrans Les Aventures de Robin des Bois ou remplacer Frère Tuck par quelque
imam barbu ? Faut-il inscrire dans les programmes scolaires des œuvres de
toute origine culturelle, en proportion de la diversité des élèves ?
Ces intégristes d’une laïcité mal comprise semblent, au nom
du multiculturalisme et de l’ouverture aux autres, avoir renoncé à faire
partager à tous les enfants la culture sur laquelle la France s’est fondée.
Peut-être même certains éprouvent-ils un plaisir malsain à détruire toute
valeur et référence chrétienne. Se rendent-ils compte qu’ils contribuent ainsi
à la division des Français en communautés ? Qu’ils désintègrent au lieu
d’intégrer ? Ce n’est pas la meilleure façon d’assurer l’unité de la
France et des Français."
De Jean-Michel LEOST. Site du Boulevard VOLTAIRE.
Publication de ce jour.
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Du site du Salon beige, cette information.
"Gérard Pouillaude, maire de Bancourt (90 habitants,
Pas de Calais) depuis 1982, catholique pratiquant et royaliste (il avait donné,
naguère, son parrainage à Philippe de Villiers), avait reçu, début septembre,
un courrier en recommandé signé de deux administrés, Emmanuel Ancelot et
Dominique Sergent. Ils
souhaitent voir disparaître le crucifix accroché au mur de la mairie.
Le maire invoque l’histoire de la commune :
« Il a toujours
été là ! Depuis la reconstruction du village, en 1926, il y a eu sept maires et
jamais personne ne s’est plaint. Pourquoi je l’enlèverais ? Moi, il ne me
dérange pas. »
« On ne les voit jamais aux célébrations communales et M.
Ancelot ne vote même pas ici ! »
Les deux laïcistes ont porté plainte au tribunal
administratif qui leur a donné raison. Pourquoi aujourd’hui alors que le
crucifix est installé de longue date et que les deux plaignants habitent le
village depuis plus de dix ans ? « La
question de la laïcité est d’une actualité brûlante » après
les attentats à Paris, juge M. Ancelot.
Le maire devra enlever la croix
vendredi, en présence de ses conseillers.
« Je veux faire du tapage. Les gens pourront dire : il
s’est défendu. »"
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Mais pendant ce temps, avant-hier, sur le site internet du Figaro, ce Flash actu que j'ai laissé dans son jus.
Yvelines: une tête
de porc devant une mosquée
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Par Le Figaro.fr avec AFP
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Mis à jour le 01/12/2015 à 14:49
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Publié le 01/12/2015 à 14:46
Une tête de porc a été découverte ce matin devant l'entrée d'une salle
de prière musulmane à Ecquevilly (Yvelines), a-t-on appris auprès de la
gendarmerie, confirmant une information du Parisien.
En voilà une info qu'elle est importante !
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