-
Ce n'est pas l'ignorance, enfin pas toujours, qui nous empêche de devenir vrai, c'est l'ignoble lâcheté.
-
1. La citation du jour.
-
Elle est empruntée au Prix Nobel de la Paix LIU Xiaobo (刘 晓 波) :
Il dénonce le système politique chinois
en ces termes :
c'est "La belle union de la laideur de la terreur, de
l'horreur de la lâcheté et de la hideur de la cupidité qui ne sera jamais
dépassée."
In
La philosophie du Porc et autres essais.
Traduction de Jean-Philippe BEJA.
Collection "Bleu de Chine".
Paris, Gallimard, 2009.
-
2. Commentaires.
-
Est-il nécessaire de commenter
l'évidence ? Le sauve-qui-peut de cette classe politique complètement
déconnectée du réel et du peuple, et qui cherche à sauver les meubles est ridicule
et dérisoire. Reprenons le texte de notre cher LIU Xiaobo, toujours en prison pour défense
des droits de l’homme.
La laideur de la terreur liée aux
attentats du 13 novembre ? La seule réponse de Normal Ier consiste à
décerner la Légion d’honneur à nos pauvres morts. Dérisoire et indigne. Des
quelques cent mosquées salafistes qui gangrènent notre patrie, monsieur
GAZNEUVE se flatte d’en avoir fermées trois.
L’horreur de la lâcheté ? Qui songe à appliquer la loi
sur la burka ? Le nombre de femmes qui se promènent ensevelies dans ces
linceuls noirs ne cesse d’augmenter. La seule réponse est celle de monsieur
BAROIN et de la suppression des crèches dans les mairies, et l’organisation de
la journée de la laïcité de madame Claudine DUPONT, alias Najat
VALLAUD-BELKACEM. On se moque et l’on brocarde et l’on injurie Mgr REY, l’évêque
de FREJUS-TOULON, mais lui il a le courage de créer des structures pour l’évangélisation
des musulmans. Pendant ce temps, des musulmans qui se sont donnés au Christ
Jésus doivent se cacher pour ne point être tués, ainsi de Joseph FADELLE. Ils s’en
foutent, ces grossiums, et ce sont les mosquées et les synagogues qu’ils
protègent tandis que CHAQUE JOUR, une église est profanée ou vandalisée en France.
Mais quand donc allons-nous nous réveiller ?
La hideur de la cupidité ? Mais lisez un peu quelques
informations dans la section 3. Ces gens vivent sur notre dos, ne font rien
pour améliorer le quotidien de leurs concitoyens et pas davantage pour
accueillir les « migrants » à qui ils ouvrent grands les bras sans
prendre les mesures utiles pour les traiter dignement.
C’est de missionnaires de la charité dont nous avons
besoin, pas de ces pantins de gauche, de droite, du milieu et des ailes
extrêmes…
Ils cherchent le pouvoir, l’influence, les honneurs et l’argent.
Certains vont les avoir. Pour faire quoi ?
La philosophie de nos hommes politiques est bien la
philosophie du porc. Grand bien leur en fasse. Qu’ils se vautrent dans la boue
des compromissions, des tripatouillages et des mensonges, c’est leur affaire. Qu’ils
ne nous demandent pas de les approuver.
-
3. Informations diverses.
-
Jean-Christophe Cambadélis : Poursuivi pour recel d’abus de biens sociaux dans l’affaire AGOS, (société gestionnaire de foyers
de travailleurs immigrés auprès de laquelle il a bénéficié d’un emploi fictif
entre 1993 et septembre 1995 lui ayant rapporté plus de
442 000 francs (environ 67 382 euros), il est condamné en
janvier 2000 à cinq mois de prison avec sursis et 100 000 francs
(environ 15 244 euros) d’amende par le tribunal correctionnel de
Paris.
Mis de
nouveau en examen le 7 juin 2000 pour abus de confiance dans l’affaire de la
MNEF, il est soupçonné d’avoir bénéficié d’un emploi fictif au sein de cette
mutuelle étudiante entre 1991 et 1995, pour lequel il aurait touché
620 500 francs (94 580 euros) d’une filiale de la MNEF, au titre
d’une activité permanente de conseil.De 1991 à 1993, c’est en qualité de
« sociologue » que Jean-Christophe Cambadélis a été rétribué à
hauteur de 420 499 francs par la Mutuelle interprofessionnelle de France (MIF),
une filiale de la MNEF. Cambadélis était alors député, avec revenus afférents.
Non réélu en 1993, il reçoit jusqu’en 1995 quelque 200 000 francs
supplémentaires de la MIF, en tant qu’administrateur « chargé des contacts
auprès des ambassades ou des universités ».
Le 2 juin
2006 il est reconnu « coupable de recel d’abus de
confiance » et condamné à six mois
de prison avec sursis et 20 000 euros d’amende par la 11e chambre
correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris.
-
Et sur
celui du Salon beige.
"En
échange de son soutien à Christian Estrosi, le leader de l'alliance écologiste
indépendante, Jean-Marc Governatori, 4% au premier tour, a obtenu la création
d'un institut pour l'écologie et la qualité de vie, doté de 30 millions d'euros
sur 6 ans et présidé par lui-même."
-
Lire toute
affaire cessante cet article de Poing-de-vue (via le site des Nouvelles de
France) !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire