A tous mes lecteurs, bonne fête de la Nativité !
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Nativité.
Du site du Boulevard Voltaire, la reproduction de cette superbe nativité [de Lorenzo COSTA (Musée des Beaux Arts de LYON, si j'en crois Internet, car le site du Boulevard Voltaire ne donne pas le nom de l'auteur].
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Hommage à madame Ségolène NEUVILLE (d'un site internet).
"Ségolène Neuville, très discrète secrétaire d’Etat
chargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l’exclusion, profitera
du 25 décembre pour tenter de sortir de l’anonymat: elle passera la soirée
auprès de deux associations qui viennent en aide aux personnes en difficulté.
D’abord le Secours catholique français, dont elle retrouvera les bénévoles sur
la péniche le Bel ami, à Paris, puis l’Armée du Salut, dont elle partagera le
dîner du réveillon au Palais de la Femme."
Chère madame, on vous dit très discrète ? Mais vous êtes formidable ! Vous ne vous contentez pas de mots, vous ne faites pas de moulinets avec un sabre de bois ! Et je ne vois pas pourquoi l'auteur de cet articulet se croit obligé de dire que par ce geste de partage vous tentez de sortir de l'anonymat. C'est un préjugé d'une grande bassesse. Vous méritez que l'on vous connaisse ; et je m'efforce, par ce court billet de Noël, de le faire. Oui, chère madame, vous êtes formidable. Et tant pis pour les sectaires et les préjugeurs qui pensent que tous les ministres de ce gouvernement sont nuls. Il y en a au moins un qui ne l'est pas (et sans doute d'autres), c'est vous.
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Rappelé par le salon beige, le Testament de l'infortuné Louis XVI, rédigé en 25 décembre 1792, commence par ces deux paragraphes :
"Au nom de la très Sainte Trinité, du Père, du Fils et du
Saint-Esprit. Aujourd'hui vingt-cinquième jour de décembre. Moi, Louis XVIe du
nom, Roy de France, étant depuis plus de quatre mois enfermé avec ma famille
dans la Tour du Temple à Paris par ceux qui étaient mes sujets, et privé de
toute communication quelconque, même depuis le onze du courant avec ma famille,
de plus impliqué dans un procès dont il est impossible de prévoir l'issue à
cause des passions des hommes, et dont on ne trouve aucun prétexte ni moyen
dans aucune loi existante, n'ayant que Dieu pour témoin de mes pensées, et
auquel je puisse m'adresser, je déclare ici en sa présence mes dernières
volontés et mes sentiments.
Je laisse mon âme à Dieu, mon créateur, je le prie de la recevoir dans sa
miséricorde, de ne pas la juger d'après ses mérites, mais par ceux de Notre
Seigneur Jésus-Christ qui s'est offert en sacrifice à Dieu son Père pour nous
autres hommes, quels qu'indignes que nous en fussions, et moi le premier."
C'est tout de même mieux qu'un discours de monsieur HOLLANDE ou de monsieur VALLS.
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