-
Nous poursuivons le cycle Philippe MURAY.
-
Ce n’est pas l’ignorance
qui nous empêche de devenir vrai, c’est la lâcheté !
-
1. LA CITATION DU
JOUR.
-
"L’époque qui
commence s’équilibre décidément entre adoration et persécution ; ou entre
ferveur et criminalité. Aux délices que procurent les emballements les plus
fougueux se joignent les plaisirs de la traque et du harcèlement. Un
enthousiasme quelconque, un penchant, une passion, une inclinaison, ne
sauraient être affirmés sans s’accompagner d’une demande de châtiment contre
ceux qui ne partagent pas ce penchant, cette passion, cette inclinaison ou cet
enthousiasme.
"Il ne suffit pas
d’aimer ; encore faut-il que soient montrés du doigt ceux qui auraient le
malheur de ne pas aimer dans la même direction."
In
Philippe MURAY.
Causes (sic) toujours. (Collection "Chroniques du XXIe
siècle.)
Les Ânes de garde. Article
publié dans La Montagne, le 7 mai
2000.
Descartes & Cie, Paris,
2013, p. 15.
-
2. COMMENTAIRES.
-
Si nous n’avons pas le bon goût
de partager les vues du Monde, du Nouvel Observateur (ou Observateur), de Libération et des Inrockuptibles, tous journaux détenus par des grossiums de la
finance internationale qui s’engraissent sur le dos des malheureux (et notamment
des immigrants dont les déplacements sont financés par monsieur SOROS), nous
sommes des ignorants, des incultes, des rancis, des fermés, des réactionnaires.
Eh bien, qu’ils aillent faire des enquêtes dans cette France périphérique qui
est en train de crever sous le poison de leurs manigances, ces grossiums de la
finance, ces gens dépourvus de tous scrupules, de toute moralité, et dont l’ego
sert de moteur à leur action.
Ah ! les lippes gourmandes
des journalistes aux ordres quand ils dézinguent ce pauvre FILLON, ou insistent
sur la médiocrité (réelle ou supposée) de monsieur HAMON, ou les tendances présentées
comme nazies de madame LE PEN, ou la base électorale inexistante de monsieur
POUTOU ; je ne parle pas des autres, qui sont transparents à leurs yeux,
exception faite de monsieur MÉLENCHON qui est pour eux un cas à part. Il n’y
en a que pour l’ectoplasme. Il faut du reste que je m’explique sur ce
sobriquet. En ectoplasme est un fantôme dépourvu de contours. Vous voyez
monsieur MADELIN coexister avec monsieur HUE dans le véhicule conduit par un
fantôme, vous ? Moi, j’ai du mal. L’ectoplasme n’a aucun contour. Il est
aux ordres de ses invisibles maîtres. S’il est élu, il faut qu’il s’attende à
de très réelles difficultés. Et je ne suis pas disposé, moi et bien d’autres, à
lui faciliter la tâche, à la mesure de mes pauvres moyens.
En réalité, plus j’avance dans
ma réflexion, plus je pense qu’il n’y a qu’un moyen de servir le bien commun :
c’est de s’occuper vraiment du plus pauvre, du plus faible, du plus petit.
Voilà qui ne passe pas par l’établissement d’une égalité nécessairement
frelatée, déviée, subvertie par l’appétit du pouvoir. Le service de l’autre
nécessite de s’agenouiller devant le faible, de se mettre en-dessous de sa
condition à lui, non de le considérer de haut. Ainsi fit saint Louis, roi de France
qui voyait un frère en chacun des pauvres et le nourrissait à sa table (voir
Infos diverses, la contribution de Joseph THOUVENEL).
Bref, il n’y a pas d’autres
solutions que celle de mettre en œuvre la charité, celle qui a nom d’agapê. Comment faire si l’on a
apostasié celui qui avait fait de notre patrie la Fille aînée de l’Église ?
Une seule manière d’opérer : servir l’autre, dans le silence, l’humilité,
sans publicité ni rodomontades, en y associant d’ardentes supplications pour
que se lève enfin sur le monde le Soleil de Justice.
-
3. INFORMATIONS DIVERSES.
-
Une très belle intervention de
Joseph THOUVENEL.
L'enthousiasme dont parle Joseph THOUVENEL n'est pas celui des médias, dénoncé par Philippe MURAY. C'est l'enthousiasme du bien commun (et monsieur THOUVENEL parle justement de saint Louis).
-
Marseille ne réussit pas à
Emmanuel MACRON.
-
Dijon non plus d’ailleurs.
-
Je réclame le droit d’être
fidèle à ce que mes aïeux m’ont transmis.
http://www.bvoltaire.fr/devrions-enoncer-droit-peuples-a-continuite-historique/?mc_cid=79c88427cb&mc_eid=70a17346c4
-
Madame, je vous admire et je vous remercie pour votre
courage.
Madaeme DUFOIX a elle-même été
victime de la calomnie lors de l’affaire du sang contaminé. C’est une
chrétienne convaincue. Et c’est la raison pour laquelle les médias ont essayé
de la dézinguer.
-
Le Pr MERCIER licencié de l’Université
Catholique de LOUVAIN-LA-NEUVE.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire