vendredi 7 avril 2017

06/07 avril 2017. Nouvelles de la Résistance. La réalité virtuelle que nous imposent les médias

Suite du cycle Philippe MURAY.

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Ce n’est pas l’ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c’est la lâcheté.
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1. LA CITATION DU JOUR.
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"Cela fait longtemps que les médias se sont rendus maîtres de la réalité ou de ce qui en reste et qu’ils se réservent aussi le droit de dire ce qu’il convient d’en penser. Cela fait également longtemps qu’ils bourrent cette réalité de compassion et d’émotion, et qu’ils emballent le tout dans un principe d’emballement qui est leur seule raison d’être."
In
Philippe MURAY.
Causes (sic) toujours. (Collection "Chroniques du XXIe siècle.)
L’imposteuse. Article paru dans le journal La Montagne, le 25 juillet 2004.
Descartes & Cie, Paris, 2013, p. 72.
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2. COMMENTAIRES.
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Le commentateur de mes billets, qui se donne pour pseudonyme Pascal, m’accuse d’avoir de la haine pour monsieur MACRON, et prétend que je suis malhonnête. Je n’ai pas eu de réponse de sa part à celui que j’ai intitulé « Rectification. Réponse à monsieur Pascal ». Je le regrette infiniment, car il m’aurait sans doute éclairé sur la question patrimoniale de son candidat de cœur. Quant à l’accusation de malhonnêteté, j’en appel à mes lecteurs. J'ai fait une erreur et je l'ai reconnue et monsieur Pascal n'a pas eu l'élégance de me donner acte de cet aveu.
Je n’ai strictement rien contre monsieur la personne de monsieur MACRON. J’en ai à l’image que les médias renvoient de lui, et qu’il se donne auprès desdits médias. Oui, les médias veulent se rendre maîtres de la réalité et veulent nous faire prendre leurs opinions pour le reflet de ce qui est. En somme, ils ont des réponses « objectives » à toutes questions légitimes que se pose une société rendue inquiète par des « progrès » qui la dépassent et qui sont aux mains de quelques puissances financières.
Si les jeux sont faits et que seul monsieur MACRON est susceptible de répondre aux questionnements de nos concitoyens, ne faisons plus d’élections. Réunissons dans un grand hôtel luxueux (à Monaco, pour éviter la pression du peuple) les éditeurs en chefs des quotidiens nationaux et régionaux et des médias télévisés et confions-leur l’élection du président de la république.
Monsieur MACRON est très clairement le candidat qui plaît aux banques et aux grandes compagnies internationales. Il refuse énergiquement de donner les noms de ceux qui soutiennent sa campagne. Il ne croit pas qu’il existe une culture française, mais il n’hésite pas à taxer d’illettrées des ouvrières d’une usine bretonne. Il ose déclarer que sa patrie s’est rendue coupable d’un crime contre l’humanité mais n’envisage nullement de la déférer devant le Tribunal Pénal International s'il est élu. Il n’y a pas un journal, ou presque, pas une chaîne de télévision qui ait eu le courage d’organiser un débat sur ces questions. On peut les poser ; mais on a le devoir de les discuter et de les contester avec virulence si besoin est.
Bref, cet homme nous assomme d’idées toutes faites, de poncifs puisés dans les vieux catalogues idéologiques des vieux partis rancis. C’est du moins l’image que nous en renvoient les médias.
Lisez les informations ci-dessous ; notamment celle qui a trait à l’interdiction indirecte de l’Université financée en Hongrie par SOROS, l’homme de la mondialisation. Quand on connaît (un peu) l’histoire de la Hongrie, et le prix effroyable qu’elle a payé pour être une patrie libre, on ne peut qu’approuver les positions de monsieur ORBAN, tout en y mettant les bémols nécessaires pour ne pas confondre le hideux nationalisme avec le généreux patriotisme. Il ne semble pas que les idiots utiles de Bruxelles aient saisi la différence qui existe entre ces deux passions de très inégales valeurs.
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3. INFORMATIONS DIVERSES.
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Comment les médias désinforment.

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Monsieur ORBAN défend sa patrie contre les apatrides de cœur.

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Les médias ont un problème avec la vérité vraie.

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Jean LASSALLE donne quelques explications intéressantes de ses positions.














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