Suite
du cycle Philippe MURAY.
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Ce n’est pas l’ignorance qui nous empêche de devenir
vrai, c’est la lâcheté.
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1. LA
CITATION DU JOUR.
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"Cela
fait longtemps que les médias se sont rendus maîtres de la réalité ou de ce qui
en reste et qu’ils se réservent aussi le droit de dire ce qu’il convient d’en
penser. Cela fait également longtemps qu’ils bourrent cette réalité de
compassion et d’émotion, et qu’ils emballent le tout dans un principe
d’emballement qui est leur seule raison d’être."
In
Philippe
MURAY.
Causes
(sic) toujours. (Collection
"Chroniques du XXIe siècle.)
L’imposteuse. Article paru
dans le journal La Montagne, le 25
juillet 2004.
Descartes
& Cie, Paris, 2013, p. 72.
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2. COMMENTAIRES.
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Le
commentateur de mes billets, qui se donne pour pseudonyme Pascal, m’accuse d’avoir
de la haine pour monsieur MACRON, et prétend que je suis malhonnête. Je n’ai pas
eu de réponse de sa part à celui que j’ai intitulé « Rectification.
Réponse à monsieur Pascal ». Je le regrette infiniment, car il m’aurait
sans doute éclairé sur la question patrimoniale de son candidat de cœur. Quant à
l’accusation de malhonnêteté, j’en appel à mes lecteurs. J'ai fait une erreur et je l'ai reconnue et monsieur Pascal n'a pas eu l'élégance de me donner acte de cet aveu.
Je
n’ai strictement rien contre monsieur la personne de monsieur MACRON. J’en ai à
l’image que les médias renvoient de lui, et qu’il se donne auprès desdits
médias. Oui, les médias veulent se rendre maîtres de la réalité et veulent nous
faire prendre leurs opinions pour le reflet de ce qui est. En somme, ils ont
des réponses « objectives » à toutes questions légitimes que se pose
une société rendue inquiète par des « progrès » qui la dépassent et
qui sont aux mains de quelques puissances financières.
Si
les jeux sont faits et que seul monsieur MACRON est susceptible de répondre aux
questionnements de nos concitoyens, ne faisons plus d’élections. Réunissons
dans un grand hôtel luxueux (à Monaco, pour éviter la pression du peuple) les
éditeurs en chefs des quotidiens nationaux et régionaux et des médias télévisés
et confions-leur l’élection du président de la république.
Monsieur
MACRON est très clairement le candidat qui plaît aux banques et aux grandes compagnies
internationales. Il refuse énergiquement de donner les noms de ceux qui
soutiennent sa campagne. Il ne croit pas qu’il existe une culture française, mais
il n’hésite pas à taxer d’illettrées des ouvrières d’une usine bretonne. Il ose
déclarer que sa patrie s’est rendue coupable d’un crime contre l’humanité mais
n’envisage nullement de la déférer devant le Tribunal Pénal International s'il est élu. Il n’y
a pas un journal, ou presque, pas une chaîne de télévision qui ait eu le
courage d’organiser un débat sur ces questions. On peut les poser ; mais
on a le devoir de les discuter et de les contester avec virulence si besoin
est.
Bref,
cet homme nous assomme d’idées toutes faites, de poncifs puisés dans les vieux
catalogues idéologiques des vieux partis rancis. C’est du moins l’image que
nous en renvoient les médias.
Lisez
les informations ci-dessous ; notamment celle qui a trait à l’interdiction indirecte de l’Université financée en Hongrie par SOROS, l’homme de la mondialisation. Quand
on connaît (un peu) l’histoire de la Hongrie, et le prix effroyable qu’elle a
payé pour être une patrie libre, on ne peut qu’approuver les positions de
monsieur ORBAN, tout en y mettant les bémols nécessaires pour ne pas confondre
le hideux nationalisme avec le généreux patriotisme. Il ne semble pas que les idiots
utiles de Bruxelles aient saisi la différence qui existe entre ces deux
passions de très inégales valeurs.
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3. INFORMATIONS
DIVERSES.
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Comment
les médias désinforment.
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Monsieur
ORBAN défend sa patrie contre les apatrides de cœur.
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Les
médias ont un problème avec la vérité vraie.
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Jean
LASSALLE donne quelques explications intéressantes de ses positions.
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