mardi 17 octobre 2017

17 octobre 2017. Nouvelles de la Dissidence. Les trois conditions du totalitarisme sont réunies !

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Nous continuons la lecture de Roberto di MATTEI.

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Rien n’est plus facile que de prêcher la vérité. Le miracle c’est de la faire aimer.
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1. LA CITATION DU JOUR.
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"Le processus vers le totalitarisme se développe à travers trois phases que nous sommes dramatiquement en train de vivre. La première étape est la négation de l’existence d’une loi et d’une vérité objective, avec comme conséquence l’équivalence du bien et du mal, du vice et de la vertu. La seconde étape est l’institution de la déviance morale, ou la transformation du vice privé en vertu publique. La troisième étape est celle de la censure sociale et de la répression judiciaire du bien."
In
Roberto de MATTEI.
La dictature du relativisme. (Collection "Riposte catholique")
Muller édition, Asnières-sur-Seine, 2011. (Page 38.)
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2. COMMENTAIRES.
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Il me paraît inutile de commenter la première des conditions qui nous conduisent vers le totalitarisme. En promouvant la PMA, la GPA, le transhumanisme, le mariage homosexuel, la théorie du genre, il est clair en effet que l’humanité (ou du moins l’humanité occidentale relayée par les médias et les grandes institutions internationales)  nie l’existence de lois objectives : celle de la sexuation, de la filiation naturelle, de la complémentarité des sexes, de la liberté humaine qui consiste à assumer ce que l’on est (rappelez-vous SPINOZA : « La vraie liberté est l’intelligence de la nécessité ! »), par exemple. La deuxième condition est également remplie : promotion des sites de rencontre extra-conjugale, du marivaudage sexuel, de l’infidélité, de la précarité du mariage, etc., euthanasie glorifiée dans les médias et dans les partis : « Ils appelleront bien ce qui est mal et mal ce qui est bien ». Enfin, la troisième l’est aussi : la censure et les tentatives de ridiculiser le mouvement Sens commun par exemple, la loi sur le délit d’entrave numérique à l’avortement, les critiques qui condamnent un mouvement migratoire incontrôlé et que l’on qualifie de racisme, alors qu’il s’agit de défendre sa vie, son bien, son héritage et son identité. (« Parce que vous dites ‘nous sommes sans péché’, votre péché demeure »).
On peut tourner autour du pot tant qu’on veut, les trois conditions qui nous conduisent vers le totalitarisme législatif, le contrôle administratif et la sanction de nos opinions, avec la complaisance glauque et gluante des médias (même Le Figaro s’y met avec ses articles sur la sexualité), sont bel et bien remplies.
Mon Dieu, je suis trop âgé pour voir ce que sera notre société dans 30 ans. Mais je puis vous dire que si elle continue de ce pas, nous pouvons imaginer que quelques puissants, possédant la quasi-totalité des richesses terrestres, le pouvoir politique et la force, règneront sur une humanité réduite en esclavage : des jeux, de la bouffe et du cul (qu’on me pardonne cette offense passagère au bon ton) pour les esclaves. Ils ne sauront même pas qu’ils sont mortels et faits pourtant pour la vie éternelle.
Alors, n’en doutons pas, Il viendra sur les nuées du Ciel et Il jugera cette humanité homicide, en ayant soin de séparer les boucs des brebis. Fasse notre Bonne Mère que nous soyons mis au rang des brebis !
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3. REVUE DE PRESSE INSOLENTE.
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Un lapsus révélateur en effet.

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Un capucin ukrainien placé sur les autels.

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Comprenez-vous pourquoi il nous faut acheter d’abord des produits français ?

Ne laissons pas crever nos agriculteurs !

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Madame OBONO fait dans la nuance !

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Lecteurs de DIVES-SUR-MER, lisez ce message !

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Il était temps !


Pour qui connaît (un peu) l’épigénétique et l’histoire du bonhomme de LANGEVIN, il comprend que tout l’être existe déjà dans l’embryon.
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Drôle ! À lire !


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