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Rien n’est plus facile que de
prêcher la vérité. Le miracle c’est de la faire aimer.
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Et toujours en compagnie de Roberto di MATTEI.
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Rien n’est plus facile que de prêcher la vérité. Le miracle c’est de la faire aimer.
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1. LA CITATION DU JOUR.
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"Le relativisme a comme unique principe celui de la force, en tant qu’il détruit la barrière qui s’oppose à toute volonté de domination : l’objectivité de la vérité. «Le totalitarisme, souligne Jean-Paul II (Centesimus annus, N°44, du 1er mai 1991) naît de la négation de la vérité dans le sens objectif du terme : s’il n’existe pas de vérité transcendante, dans laquelle, en lui obéissant, l’homme acquiert sa propre et pleine identité, dans ces conditions, il n’existe aucun principe sûr pour garantir les justes rapports entre les hommes. Leurs intérêts de classe, de groupe ou de nation les opposent inévitablement les uns aux autres»."
In
Roberto de MATTEI.
La dictature du relativisme. (Collection "Riposte catholique")
Muller édition, Asnières-sur-Seine, 2011. (Page 65.)
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2. COMMENTAIRES.
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Vous entendez bien ce que dit ce cher Roberto : le relativisme ne connaît que la force, et à cette fin il détruit l’objectivité de la vérité. Dire le vrai consiste à dire que ce qui est, est. Il est parait-il sexiste de dire qu’un homme est un homme, une femme, une femme. Il est réactionnaire d’affirmer qu’il faut un homme et une femme pour concevoir un enfant ; il est fasciste d’affirmer qu’un enfant, pour se construire, a besoin de se situer dans un lignage, de connaître son père et de connaître sa mère. Et pourtant, c’est la vérité !
On n’en finirait pas de dénoncer les imbécillités déversées par les médias, les relais d’opinion, les politiques à propos de la vérité qui selon eux n’existe pas. À aucun moment, on ne voit les uns et les autres parler du bien. Mais tout de même, nom de Zeus, si le mot existe, il doit bien vouloir dire quelque chose, non ?
Comprendrez-vous, une bonne fois pour toute, qu’il n’est plus possible de faire la moindre concession à la vérité ? Que nous sommes rentrés dans une ère véritablement apocalyptique, et que nous avons à combattre contre un dragon à sept têtes, des têtes coiffées des couronnes de la renommée, de l’argent, du pouvoir, de la beauté, de l’influence, du savoir, des honneurs, de la corruption.
Je n’ai plus trop le temps de commenter car je suis entre deux trains. Mais je reviendrai sur le sujet. Bonne soirée.
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3. REVUE DE PRESSE INSOLENTE.
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Le
plus grand destructeur de la paix.
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C’est
décidé : j’adhère au PCD.
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Du balai, et vite !
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A voir, si le film passe dans votre quartier, ce qui, hélas n’est pas sûr !
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Ecoutez
cet Ave verum de Mozart.
(A l'attention de Théobald !)
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