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C’est le moment de sortir du sommeil !
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1. RETIRER
SES ENFANTS DE L’ÉCOLE PUBLIQUE.
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"L’école publique n’est pas bien
ordonnée ; elle ne dispense aucun enseignement religieux ; elle est
incapable de susciter l’admiration pour la civilisation occidentale. Il est
temps que les chrétiens en retirent leurs enfants.
"Les raisons ne s’arrêtent pas
là : on peut également citer l’influence néfaste que beaucoup de jeunes
peuvent avoir sur nos enfants dans les établissements publics (mais également
dans beaucoup d’écoles privées). Aux États-Unis, il est vrai, les choses
s’améliorent du point de vue de la sexualité des adolescents, de leur
consommation de drogue et d’alcool. Les taux de grossesse et d’avortement ont
sensiblement baissé, tandis que l’âge de la première relation sexuelle a
légèrement augmenté. Il n’empêche, le public est un environnement qui peut
effrayer les parents chrétiens. Est-il rassurant d’apprendre, par exemple,
qu’un peu plus de 20 % des lycéens fument du haschich au moins une fois
par mois ? Que six élèves de terminales sur dix ont déjà eu des relations
sexuelles ?"
In
Rod
DREHER. Ouvrage cité. (Page 227.)
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2. CONTREPOINT
DE MAURICE BARRÈS.
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"Ni
cet enseignement, ni cet autre ne me satisfont. Mais passons, je veux en
arriver à ce que vous détruisez, je veux en arriver à l’essentiel.
Il
y a donc deux points : Vous empêchez de naître le vrai enseignement (non
verbal). Vous détruisez un enseignement traditionnel.
Cinquante
générations de notre pays, des millions d’hommes encore, ont subi cette
formation. Il n’y a pas à appeler cela une vieillerie, ou une sombre romance. C’est
une fleur toujours neuve sur un arbre solide. Discours de PIOU.
Nous
n’acceptons pas ce qui peut atteindre la spiritualité chrétienne, nous
acceptons ce qui la diminue matériellement.
Quand
on nous parle des LITTRÉ, des BERTHELOT. Mais les paysans ? […]."
In
Maurice
BARRÈS.
Mes
cahiers. Tome V. Mai 1906-Juillet 1907.
La
Palatine, À la librairie Plon, Paris. (Page 56.)
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3. COMMENTAIRES
PERSONNELS.
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Le
commentaire de BARRÈS est tout à fait remarquable. Il cite PIOU, puis il fait
une discrète allusion à deux anticléricaux notoires, dont le premier et sans
doute le second, furent francs-maçons. L’attitude de BERTHELOT qui refusa de
faire publier dans les Comptes Rendus de l’Académie des Sciences les conclusions
d’un chercheur sur le linceul de TURIN, un chercheur parfaitement agnostique au
demeurant, le professeur DELAGE, est un célèbre exemple de l’étroitesse d’esprit
de personnalités scientifiques de premier plan, aveuglés par leur haine de l’Église,
du clergé et de la religion. Ce qu’il est intéressant de souligner, c’est la
question de BARRÈS : Et les paysans ?
Eh
bien rien n’a changé. Les hauts fonctionnaires ignorent la France périphérique,
celle qui a façonné nos paysages, notre histoire et d’une certaine manière,
notre architecture et nos arts. Ils métropolisent à plein tube ; ils
accumulent leurs concitoyens, comme de rats dans un égout, dans des villes sans
âmes. De cela, ceux qui ont fait le pari bénédictin ne veulent pas. Non qu’ils
soient contre les villes et pour les campagnes, mais parce qu’ils considèrent
que l’homme vaut mieux que ce qu’en pensent les hommes politiques.
DREHER
a raison. Commençons par soustraire nos enfants à cette école publique qui n’est
qu’une école d’asservissement à une idéologie déshumanisante.
Incidemment, je me moque complètement de passer pour un ringard, un réactionnaire, un complotiste. Je puis rendre compte rationnellement de tous les choix que j'ai faits. L'avis de monsieur PLENEL ou de monsieur MELENCHON m'indiffère complètement, et encore plus ceux des journalistes du Monde, de Libération ou du Nouvel observateur (lequel n'observe rien du tout et me semble au contraire passablement centré sur son nombril idéologique). Et je suis tout disposé à dialoguer avec eux.
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4. LIENS
UTILES.
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A
lire absolument !
Des
cibles, toujours !
Soutenir
les écoles hors contrat (en appui de ce qui ce cher Rod !).
Je
continue d’être tout esbaudi par Arielle !
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