Je vous laisse lire ce pamphlet. Pierre CASSEN redresse les bretelles à un certain ASKOLOVITCH, "journaliste" qui ose accuser le père d'une des victimes du Bataclan de propos haineux, de fascisme et de toutes les gracieuseté que la classe qui nous dirige (pour encore un peu de temps) adresse à ceux qui ne pense pas comme l'exigent la mondialisation, l'économisme, et l'illimitation du prétendu progrès.
Je reviendrai dans un prochain billet sur un livre exceptionnel de Jean-Claude MICHEA, Le loup dans la bergerie, qui montre comment la collusion de l'idéologie des Droits de l'Homme, du capitalisme qui ne peut se survivre à lui-même qu'en continuant d'accumuler du profit et du capital, de la gauche et de la gauche extrême, et de la soi-disant neutralité axiologique du pouvoir politique, aboutit au pire esclavage des classes dédaigneusement appelées populaires, par ces gens sans coeur, sans empathie, sans idées, sans culture, qui entendent nous imposer leurs vues pour continuer à régner sur le corps agonisant de leur patrie.
N'écoutez pas monsieur ASKOLOVITCH qui, paraît-il, tient une chronique sur France Inter. C'est un faux-cul de la plus belle eau. Un piégeur, un manipulateur. Fasse le ciel qu'il n'ait pas la douleur de perdre un jour un enfant chéri, assassiné par des fous alors en assistant en compagnie d'amis à un spectacle musical !
J'ajoute aussi que je produirai un billet sur la brûlante question de l'immigration. Il convient de prendre du recul, de faire preuve de discernement, de cesser, par nos comportements, d'appauvrir un peu plus chaque jour les pays d'où viennent ces migrants, et d'aider vraiment ces pays à se développer selon le génie de leur culture et de leurs conditions géo-climatiques. J'ajoute aussi que mettre dans le même sac tous les musulmans n'est pas juste. "Jamais" et "toujours" sont les mots qu'utilisent les manipulateurs, dont monsieur ASKOLOVITCH est un des plus éminents spécimens. Nous devons d'ailleurs à un philosophe musulman du Xe siècle, Al-FARABI, l'une des plus belles définitions philosophiques de ce qu'est la religion.
Croyez bien que je ne pratique pas le "en même temps" du Président de la République ; je m'efforce d'être impartial, et je dis très haut d'où je parle : celui d'un homme qui reconnaît en Jésus un Maître de vérité et de vie. En somme, je rejette, au nom de la liberté de tout être humain, la soi-disant neutralité axiologique du politique, qui n'est que le moyen du susdit pouvoir mis en oeuvre pour nous réduire en esclavage.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire