mercredi 14 août 2019

Mercredi 14 août 2019. Mes chroniques : pizza ou obsèques, loi ou morale ? Il faut choisir

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CHRONIQUE DE LA PIZZA.
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Les raisons profondes de l’opération pizza ou la condescendance rentrée !

C’est sûrement plus important de se faire voir dans une pizzeria au milieu du bon peuple que de se rendre aux obsèques du maire de SIGNES, petit village qui n’est pas si loin que ça du Fort de Brégançon. Mais que voulez-vous, on ne peut pas tout faire : avoir de la compassion pour un élu tué dans l’exercice de ses fonctions, et s’occuper de son estomac qui, chacun le sait, n’est pas loin du nombril.
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CHRONIQUE INATTENDUE.
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Ils étaient prêts à tout !

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CHRONIQUE DE LA HONTE.
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Voilà ce qui va se passer en Nouvelle-Zélande !

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CHRONIQUE CHINOISE.
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Ne méprisons pas ce grand pays, et ne lui souhaitons pas de malheur.

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CHRONIQUE DE LA RÉSISTANCE.
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Comment rentrer en résistance ou les moyens de la contre-insurrection.


Le choix est facile :

Choisir ce qui est juste, non parce que c'est légal, mais parce que c'est juste ! Le refuser, si c'est injuste.
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CHRONIQUE DES CHANCES POUR LA FRANCE.
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Il était, dit-on, défavorablement connu des services de police.


Et c’est qu’ils nous en ramènent des chances !

Véritable trafic organisé, et organisé à des fins politiques. Mais ces jeunes hommes ont des bras et des jambes et il ne semble pas qu’ils soient incapable de travailler chez eux ou de faire de la politique pour y ramener un peu de justice et de paix.

Je préférerais qu’ils les ramenassent dans la propriété de monsieur GERE.

De quoi se mêle-t-il ? Est-ce lui qui doit supporter le poids souvent très lourd de cette immigration clandestine ? Non, c’est nous.

Il y a des chances qui commencent tôt !

Trois clandestins mineurs d’origine marocaine. Se rendent-ils compte qu’ils nuisent à la réputation des milliers de marocains installés en France et qui y vivent paisiblement ?

Je voudrais faire ici une ferme mise au point. Nous n'avons pas à supporter les exigences de l'immigration clandestine, et il convient de remettre à leur place les soi-disant organisations de sauvetage. Il n'y a pas plus de sauvetage que de beurre en broche. Et donc, monsieur SALVINI, sur ce point-là, a raison. Mais, car il y a un mais, nous devons et pouvons accueillir ceux qui risquent leur vie dans leur pays d'origine (chrétiens en pays musulmans ou indiens, yézidis, musulmans libéraux ou soufis, musulmans convertis au christianisme). Il s'agit de les accueillir dignement. Il faut aussi accepter qu'il y ait une situation de fait : des milliers de clandestins s'entassent au milieu des ordures et des rats à Paris ou ailleurs, et ceci est une situation parfaitement intolérable. Il faut y mettre fin et empêcher une fois pour toute qu'elle ne se perpétue ou ne se reproduise, tout en condamnant sévèrement les organisations qui planifient les occupations illégales de locaux publics ou privés. Comme toujours, il faut discerner.
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CHRONIQUE DE LA PATRIE.
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Pour le patriotisme économique.

Peu me chaut que ces propositions et analyses viennent du rassemblement national. Elles sont justes. Je dois dire qu’avant de choisir des fruits ou des légumes, je regarde leur provenance, et je n’achète que des produits français. Je préfère me passer de poivrons espagnols épicés au glyphosate que d’en  acheter pour cuire ma ratatouille, et j’ai près de chez moi un maraîcher qui vend des tomates anciennes, des pêches, des poivrons, des melons, des abricots, etc. à des prix remarquablement modérés.

Les vignerons français, derniers poètes de notre malheureuse patrie ?


Un rétropédalage, probablement provisoire. Lire l’article ! On se bibi, on se dodo, on se bidonne.

Si vous lisez l’article, vous verrez que ce n’était pas une fausse nouvelle !

Assez de magouilles, de carambouilles et d'embrouilles. Mettre fin à la guerre des chefs.

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CHRONIQUE D’UN AUTRE SON DE CLOCHE !
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Il n’y a pas eu de sommations ! Et les prétendues forces de l’ordre ont refusé d’intervenir pour tirer de l’eau les manifestants qui y étaient tombés.

Je précise : rien ne justifie les violences, et nombre de ces jeunes étaient sans doute quelque peu alcoolisés. Est-ce une raison pour les matraquer, les asphyxier, les tabasser, sans sommations ?







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