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Ce n’est pas l’ignorance qui nous
empêche de devenir vrai, c’est la lâcheté !
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1. LES CITATIONS DU JOUR.
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(a) "[…]. Tout est bien
perdu quand celui qui n’a plus de mœurs n’a pas non plus d’idéal." (C. XI,
3.11.1943.)
(b) "
« Il n’y a plus de mot pour rien » (G. MARCEL). – C’est un fait que
dans le monde confusionnel où nous vivons, dans ce monde où le bien et le mal,
la santé et la maladie, le normal et l’anormal ont perdu leur couleur et leurs
limites, les mots perdent leur pouvoir de signification. Nous vivons dans le
mélange et dans l’informe, en deçà de toutes nos vieilles catégories :
dans l’innommable." (C. XXIII,
20.4.1955.)
In
Gustave THIBON.
Parodies et mirages ou la décadence d’un
monde chrétien. Notes inédites (1935 – 1978). Introduction de Françoise
CHAUVIN.
Éditions du Rocher, Monaco, 2011.
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2. COMMENTAIRES.
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(a) Je vous
laisse, improbables lecteurs, appliquer aux hommes politiques ce constat
mélancolique, et tout spécialement à l’homme qui fait office de "Président
de la République" pour quelques mois encore (en tout cas, je l’espère). Il
a montré par sa vie qu’il n’avait pas de mœurs et son récent discours a prouvé
que son seul idéal était de conserver le pouvoir en dézinguant (sans les nommer)
ses adversaires putatifs. Si par malheur, cet homme était réélu, il nous
faudrait dire adieu à ce qui nous est cher, que nous avons reçu comme un dépôt
sacré et que nous désirons transmettre à nos enfants et nos petits-enfants.
(b) Est-il
nécessaire de commenter l’évidence : il n’y a plus de mots pour distinguer
le bien du mal (lequel n’est pas l’antithèse du bien, mais la privation d’un
bien ; priver un enfant de sa mère et de son père, par exemple ; ôter
la vie à un innocent dans le sein de sa mère, par exemple ; croire que
tout s’achète et tout se vend, par exemple. Nous n’osons pas nommer ce qui est
innommable et qui est l’imposition à notre peuple d’une cohabitation parfois
violente, souvent provocatrice, complètement étrangère à nos mœurs et à notre
manière de vivre. Je ne disconviens pas que nous avons un devoir d’accueil,
mais à nos conditions et y mettant des moyens conformes à nos traditions :
cours de langue française, de civisme, lutte contre les trafics en tout genre,
respect des règles de vie commune dans l’espace public, condamnation des
violences verbales et, j’ose le dire, annonce de la bonne nouvelle de Jésus aux
nouveaux arrivants. J’ajoute pour être clair que cet accueil doit être digne et
que laisser se développer des ghettos comme la jungle de CALAIS est une
véritable honte, un chancre. Il me semble que nous devrions laisser aux Anglais
le soin de régler le problème et leur envoyer ceux des migrants qui veulent
rejoindre la Grade Île.
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3. INFORMATIONS
DIVERSES.
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Du site du
Boulevard Voltaire, cette information et cette initiative que, bien entendu, je soutiens totalement.
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Du site de l’Opinion,
ces propos d’Eric ZEMMOUR.
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Du site du Salon
beige, ces propos de Robert MENARD.
Allez voir ces
articles, notamment le second. Ils montrent amplement à quel niveau de
désinformation la presse aux ordres en est arrivé.
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Aux enfants qui n'ont pas vu le jour, en leur mémoire.
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