mardi 13 septembre 2016

13 septembre 2016. Nouvelles de la Résistance. Spécial Gustave.

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Ce n’est pas l’ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c’est la lâcheté !
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1. LES CITATIONS DU JOUR.
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(a) "[…]. Tout est bien perdu quand celui qui n’a plus de mœurs n’a pas non plus d’idéal." (C. XI, 3.11.1943.)

(b) " « Il n’y a plus de mot pour rien » (G. MARCEL). – C’est un fait que dans le monde confusionnel où nous vivons, dans ce monde où le bien et le mal, la santé et la maladie, le normal et l’anormal ont perdu leur couleur et leurs limites, les mots perdent leur pouvoir de signification. Nous vivons dans le mélange et dans l’informe, en deçà de toutes nos vieilles catégories : dans l’innommable." (C. XXIII, 20.4.1955.)
In
Gustave THIBON.
Parodies et mirages ou la décadence d’un monde chrétien. Notes inédites (1935 – 1978). Introduction de Françoise CHAUVIN.
Éditions du Rocher, Monaco, 2011.
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2. COMMENTAIRES.
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(a) Je vous laisse, improbables lecteurs, appliquer aux hommes politiques ce constat mélancolique, et tout spécialement à l’homme qui fait office de "Président de la République" pour quelques mois encore (en tout cas, je l’espère). Il a montré par sa vie qu’il n’avait pas de mœurs et son récent discours a prouvé que son seul idéal était de conserver le pouvoir en dézinguant (sans les nommer) ses adversaires putatifs. Si par malheur, cet homme était réélu, il nous faudrait dire adieu à ce qui nous est cher, que nous avons reçu comme un dépôt sacré et que nous désirons transmettre à nos enfants et nos petits-enfants.
(b) Est-il nécessaire de commenter l’évidence : il n’y a plus de mots pour distinguer le bien du mal (lequel n’est pas l’antithèse du bien, mais la privation d’un bien ; priver un enfant de sa mère et de son père, par exemple ; ôter la vie à un innocent dans le sein de sa mère, par exemple ; croire que tout s’achète et tout se vend, par exemple. Nous n’osons pas nommer ce qui est innommable et qui est l’imposition à notre peuple d’une cohabitation parfois violente, souvent provocatrice, complètement étrangère à nos mœurs et à notre manière de vivre. Je ne disconviens pas que nous avons un devoir d’accueil, mais à nos conditions et y mettant des moyens conformes à nos traditions : cours de langue française, de civisme, lutte contre les trafics en tout genre, respect des règles de vie commune dans l’espace public, condamnation des violences verbales et, j’ose le dire, annonce de la bonne nouvelle de Jésus aux nouveaux arrivants. J’ajoute pour être clair que cet accueil doit être digne et que laisser se développer des ghettos comme la jungle de CALAIS est une véritable honte, un chancre. Il me semble que nous devrions laisser aux Anglais le soin de régler le problème et leur envoyer ceux des migrants qui veulent rejoindre la Grade Île.
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3. INFORMATIONS DIVERSES.
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Du site du Boulevard Voltaire, cette information et cette initiative que, bien entendu, je soutiens totalement.

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Du site de l’Opinion, ces propos d’Eric ZEMMOUR.

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Du site du Salon beige, ces propos de Robert MENARD.


Allez voir ces articles, notamment le second. Ils montrent amplement à quel niveau de désinformation la presse aux ordres en est arrivé.

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Aux enfants qui n'ont pas vu le jour, en leur mémoire.



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