Nous achevons notre parcours dans
l’ouvrage collectif, appelé Transmettre
l’essentiel, actes d’un colloque organisé par L’Académie d’éducation et
d’études sociales. Artège-Lethielleux, Paris, 2016. Nous sommes plongés dans la contribution
de Guillaume de PRÉMARE, intitulée Faire
vivre des communautés de destin pour construire le bien commun. Pour la
gouverne de mes lecteurs, je précise que Guillaume der PRÉMARE a publié en juin
2015 un livre intitulé Résistance au
meilleur des mondes !
Chers lecteurs, j’ai tout à fait
conscience que mes pauvres contributions n’ont que peu de répercussions. Ce
n’est pas une raison pour baisser les bras. Il y a, comme le billet d’hier le
suggérait, de lents processus sociaux qui se mettent en place ici et là dans
les profondeurs, dans le tissu vif de la patrie. Il revient à tous ceux qui
s’intéressent à l’avenir de notre pays, de notre civilisation, d’en initier de
nouveaux, jusqu’à leur coalescence providentielle qui nous verra enfin sortir
des ténèbres dans lesquelles de mauvais chefs nous ont plongés depuis des
décennies.
Vous les peintres, Jacques et
Georges, vous les historiens qui transmettez, Aph Aph, vous les philosophes qui
réfléchissez, Maximilien ou Louis Marie ou Romain, vous les penseurs et poètes,
Marc ou Lionel, vous mes très chers jeunes, Gaétan, Cyrille(s), Jacques,
Pierre-Louis, Jean(s), Antoine(s), Olivier, Jean-Roch, Eudes, Solenne, Marie-Victorine,
Marine, Clémence(s), Victoire(s), Anne-Solenne, Charlotte(s), Margaux,
Théobald, Etienne, Jean-Baptiste, Philippe, Léandre, Louis-Adrien, Pierre, Tanguy, Gauthier, Nicolas (au pluriel), Alexandre(s) - je
ne peux tous vous nommer, mais vous vous reconnaîtrez (ceux de Saint-Jean, ceux
de l’ACBLF) - vous les professionnels qui aimez votre métier et le faites avec
amour du travail bien fait, Antony par exemple ou Francis, dans un autre registre,
ou Françoise, dans un autre encore et bien d’autres, c’est vous les âmes
battantes de la France. Il ne vous est pas demandé, pas plus qu’à moi du reste,
de renoncer à vos convictions religieuses ou politiques, il vous est demandé de
rester fidèle à la vocation de la France : l’ouverture sur l’universel, la
courtoisie, l’amour de la beauté, le respect d’autrui, l’amour de la culture,
et si cela vous est possible, le retour au Christ qui, par la voix de son
Vicaire, a choisi l’antique Gaule pour être la fille aînée de l’Eglise. Ce
n’est pas une condition indispensable, certes, mais au moins vous avez la
liberté de reconnaître que c’est bien dans le christianisme que nous avons puisé notre
vitalité de peuple et que nous avons coulé pour l’avoir oublié !
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Ce n’est pas l’ignorance qui nous
empêche de devenir vrai, c’est la lâcheté !
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1. LA CITATION DU JOUR.
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"Il n’y a pas de communauté
nationale possible s’il n’y a pas ce que saint AUGUSTIN appelle « la
communauté des objets aimés ». C’est une belle mission que d’aimer et
faire aimer la France. Comment en effet pourrions-nous intégrer à notre culture
si nous ne la faisons pas aimer ? C’est donc une urgence de revaloriser
notre culture, ce qui a pétri notre nation et notre peuple. Il ne s’agit pas
d’un repli sur soi, tant la culture française tend par excellence vers
l’universel. Il ne s’agit pas d’un identitarisme grégaire et agressif. Il
s’agit de se reconnaître héritier et de vouloir partager gratuitement ce que
nous avons reçu gratuitement, sans pour cela en faire une pièce de musée mais
au contraire une culture vivante qui s’enrichit et se bonifie." (Page
247.)
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2. COMMENTAIRES.
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Un seul impératif : aimer notre patrie plutôt que le fric ! Faire aimer la France en pratiquant la vertu qui est conforme au génie de notre peuple : l'amour de l'universel.
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3. INFORMATIONS
DIVERSES
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Voilà
où nous ont conduits les mauvais chefs dont je parlais plus haut.
"Ils" les politicards) ont conforté le système libéral-capitaliste, lequel n’a rien à voir avec la
drouate ou la gôôôche, mais avec un mode de production qui privilégie
l’accumulation du capital, les machines, l’argent, la concurrence, qui affirme que
nous n’avons pas d’autres choix que de subir le déterminisme économique et n’a
jamais remis en question l’ubris d’un
progrès prétendument illimité.
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Bravo
à Sylvain GOUGUENHEIM qui a failli être
proscrit par la bienpensance de gôôôche pour avoir dit des vérités il y a de ça
quelques années !
Une
très intéressante analyse du phénomène de l’abstention.
Et
notamment ur le rôle du ressentiment (au sens nietzschéen) dans la démocratie.
-
Monsieur SOLERE,
un professionnel de la trahison !
-
Elle
fait partie des Bienveillantes, appelées aussi Euménides, une famille de guêpes (Eumenes) maçonnes (sic) !
Voir :
-
Monsieur
GOULET de RUGY est devenu Président de l’Assemblée nationale
-
Il
n’y a qu’un Français pour oser écrire ça ! Mais le mot en dit long !
1 commentaire:
Je suis content d'être à tes yeux un peintre. Je me croyais vieux retraité en Microbiologie. mais de toutes manières je te suis dans toutes tes idées et je ferai des prières pour nous tous ce dimanche.
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