samedi 2 décembre 2017

02 décembre 2017. Nouvelles de la Dissidence. Ils avaient des yeux mais ne voyaient pas


-
Rien n’est plus facile que de prêcher la vérité. Le miracle c’est de la faire aimer.
-
1. LA CITATION DU JOUR.
-
"Un exemple magnifique de cette attitude, un modèle, un archétype du philosophe français, nous est fourni par Jean-Paul SARTRE et Simone de BEAUVOIR. Qu’on lise leurs Mémoires, leurs Autobiographies. On verra quelle formation ils ont reçue : la Sorbonne d’avant-guerre, la Faculté des lettres. Leur ignorance des sciences de l’Univers et de la nature est sans lacune. Lorsque SARTRE et Simone de BEAUVOIR faisaient leurs études à la Sorbonne, c’était la grande aventure de la physique moderne, c’était, en 1927-1928, les grandes découvertes cosmologiques de LEMAÎTRE, FRIEDMANN, HUBBLE, HUMASON. Parcourez les Mémoires de SARTRE et de Simone de BEAUVOIR : vous n’en trouverez pas trace, pas une allusion à ces grandes découvertes, à ces grandes révolutions de la science. Ni l’astrophysique, ni la physique, ni la biologie ne les ont jamais intéressés le moins du monde. C’est ce qui explique leur philosophie acosmique, c’est ce qui explique qu’à la fin de sa vie Madame de BEAUVOIR puisse exposer le plus sérieusement du monde que l’on ne “naît” pas femme, on n’est pas femme par naissance ou par nature. On devient femme par option, éducation, culture ! La détestation de la nature, la détestation de la réalité objective, la détestation du physiologique, est l’un des traits les plus caractéristiques de la philosophie française moderne, chez SARTRE et Simone de BEAUVOIR, bien sûr, mais aussi chez les philosophes de la génération suivante."
In
Claude TRESMONTANT.
Sciences de l’univers et problèmes métaphysiques.
Éditions du Seuil, Paris, 1976. (Page 9.)
-
2. COMMENTAIRES.
-
J’ai déjà donné cette citation. Mais elle me semble d’une toujours brûlante actualité. La PMA, la GPA, le mariage pour tous, c’est la détestation de la nature, de la réalité objective, du physiologique. C’est une négation du corps et une exaltation du psychisme (qui n’a rien à voir avec l’esprit), lequel avec le corps forme ce que saint Paul appelle la chair corruptible. Aucune lumière, aucune vérité, aucun principe de vie ne peuvent sortir de la chair réduite à elle-même. Les bouffeurs de curé accusent les chrétiens de détester le corps, alors que c’est exactement le contraire qui est la vérité. Le christianisme est la religion de l’incarnation, d’une chair informée par l’Esprit Saint. Le christianisme n’est pas la religion des robots ou du transhumanisme ; elle est la religion d’un Dieu qui s’est fait homme pour que l’homme puisse être à son tour comme divinisé. Elle est la religion de la vie et de la vie éternelle. Croyez-vous que les chrétiens détesteraient le corps s’ils n’avaient eu l’audace d’inscrire dans le Credo leur foi en la résurrection de la chair rendue à son état de primitive innocence par la mort et la résurrection de Jésus ?
Bon, je m’arrête. Je m’apprête à aller ce soir à une soirée de prière, invité que je suis par un jeune, un vrai témoin, une lumière pour sa classe. Tout le même, j'affirme ceci : Jean-Paul et Simone avaient des yeux, mais ils ne voyaient pas !
-
3. REVUE DE PRESSE INSOLENTE.
-
Chers tous, lisez, je vous en conjure, au moins quelques-uns des articles dont je donne ici le lien.
-
Tu ne tueras pas l’innocent.

-
Honneur à ce grand soldat.

-
Qu’ils nettoient devant leurs portes avant d’épousseter la nôtre !

-
Voilà qui ne semble émouvoir l’ignoble PLENEL.

-
Merci à vous cher Karim !

-
HOUELLEBECQ voit clair.

-
On résiste aussi à CHOLET !

-
ONLR ! Ludovine a de la suite dans les idées.

On la soutient.

-
Et toujours les menteurs du Journal Le Monde.

-
Mieux vaut tard que jamais.




E

Aucun commentaire: