dimanche 26 août 2018

Dimanche 25 août 2018. Nouvelles du pari bénédictin. Le cerveau humain dit non à la théorie du genre !

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Au lieu d’un château fort dressé au milieu des terres, pensons plutôt à l’armée des étoiles jetée dans le ciel.
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LES QUESTIONS DES GARÇONS NE SONT PAS CELLES DES FILLES.
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En 1990, André FROSSARD a reçu de la part d’élèves de terminale, garçons et filles, plus de deux-milles questions relatives à la foi, à la vie, à l'amour, aux questions essentielles de l’existence.
La première des questions auxquelles il répond est la suivante : « Pourquoi vivre ? » Voici comment il conclut le chapitre consacré à la disputatio thomiste de cette question.

"Je peux ajouter aujourd’hui devant la liste de vos questions, que celle-ci est typiquement masculine : aucune jeune fille ne la pose. Par nature mieux disposées que nous à l’amour, les femmes savent sans même avoir besoin d’y réfléchir qu’elles ne sont pas faites pour elles-mêmes ; si la question leur venait tout de même à l’esprit, elles la formuleraient tout autrement et ne demanderaient pas « Pourquoi vivre ? », mais « Pour qui vivre ». Nous devrions bien prendre exemple sur elles."
In
André FROSSARD.
Dieu en questions.
Desclée de Brouwer ; Stock/Laurence Pernoud, Paris, 1990. (Page 12.)
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LES NEUROSCIENCES CONTRE LA THÉORIE DU GENRE.
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Pour des raisons professionnelles, je lis une très bonne revue générale consacrée aux récepteurs cérébraux des neuromédiateurs et des hormones, dont les hormones sexuelles. Je vais quand même vous donner le titre et les résumés de trois articles consacrés à cette question, résumés que je laisse en anglais. Mais il y en a des quantités d'autres dont les imbéciles se gardent bien de parler et qui confirment ce que dit le bon sens ! Les hommes ne sont pas des femmes, les femmes ne sont pas des hommes, et leurs cerveaux respectifs ne sont pas organisés de la même manière. Je précise que ce n'est pas par pédanterie que je donne ces résumés en anglais, c'est pour ne pas être accusé de trahir la pensée des auteurs.

 

Goldstein J.M. Seidman L.J., Horton N.J., Makris N. Kennedy D.N. Caviness V.S. Jr, Faraone S.V and Tsuan M.T.
Normal sexual dimorphism of the adult brain assessed by in vivo magnetic imaging.

Cereb. Cortex, 11, 490-497, 2001.

The etiology and consistency of findings on normal sexual dimorphisms of the adult human brain are unresolved. In this study, we present a comprehensive evaluation of normal sexual dimorphisms of cortical and subcortical brain regions, using in vivo magnetic resonance imaging, in a community sample of 48 normal adults. The men and women were similar in age, education, ethnicity, socioeconomic status, general intelligence and handedness. Forty-five brain regions were assessed based on T(1)-weighted three-dimensional images acquired from a 1.5 T magnet. Sexual dimorphisms of adult brain volumes were more evident in the cortex, with women having larger volumes, relative to cerebrum size, particularly in frontal and medial paralimbic cortices. Men had larger volumes, relative to cerebrum size, in frontomedial cortex, the amygdala and hypothalamus. A permutation test showed that, compared to other brain areas assessed in this study, there was greater sexual dimorphism among brain areas that are homologous with those identified in animal studies showing greater levels of sex steroid receptors during critical periods of brain development. These findings have implications for developmental studies that would directly test hypotheses about mechanisms relating sex steroid hormones to sexual dimorphisms in humans.

Gur R.C., Turetscky B.I., Matsui M., Yan M., Bilker W., Hughett P. and Gur R.E.
Sex differences in brain gray and white matter in healthy young adults: correlations with cognitive performance.
J. Neurosci., 15, 4065-4072, 1999.


Sex-related differences in behavior are extensive, but their neuroanatomic substrate is unclear. Indirect perfusion data have suggested a higher percentage of gray matter (GM) in left hemisphere cortex and in women, but differences in volumes of the major cranial compartments have not been examined for the entire brain in association with cognitive performance. We used volumetric segmentation of dual echo (proton density and T2-weighted) magnetic resonance imaging (MRI) scans in healthy volunteers (40 men, 40 women) age 18-45. Supertentorial volume was segmented into GM, white matter (WM), and CSF. We confirmed that women have a higher percentage of GM, whereas men have a higher percentage of WM and of CSF. These differences sustained a correction for total intracranial volume. In men the slope of the relation between cranial volume and GM paralleled that for WM, whereas in women the increase in WM as a function of cranial volume was at a lower rate. In men the percentage of GM was higher in the left hemisphere, the percentage of WM was symmetric, and the percentage of CSF was higher in the right. Women showed no asymmetries. Both GM and WM volumes correlated moderately with global, verbal, and spatial performance across groups. However, the regression of cognitive performance and WM volume was significantly steeper in women. Because GM consists of the somatodendritic tissue of neurons whereas WM comprises myelinated connecting axons, the higher percentage of GM makes more tissue available for computation relative to transfer across distant regions. This could compensate for smaller intracranial space in women. Sex difference in the percentage and asymmetry of the principal cranial tissue volumes may contribute to differences in cognitive functioning.

Rijpkema M., Everaerd D., vand der Pol C., Franke B., Tendolkar I. and Fernández G.
Normal sexual dimorphism in the human basal ganglia.
Hum. Brain Mapp., 33, 1246-1252, 2012

Male and female brains differ in both structure and function. Investigating this sexual dimorphism in healthy subjects is an important first step to ultimately gain insight into sex-specific differences in behavior and risk for neuropsychiatric disorders. The basal ganglia are among the main regions containing sex steroid receptors in the brain and play a central role in cognitive (dys)functioning. However, little is known about sexual dimorphism of different basal ganglia nuclei. The aim of the present study was to investigate sex-specific differences in basal ganglia morphology using MRI. We applied automatic volumetry on anatomical MRI data of two large cohorts of healthy young adults (n = 463 and n = 541) and assessed the volume of four major nuclei of the basal ganglia: caudate nucleus, globus pallidus, nucleus accumbens, and putamen, while controlling for total gray matter volume, total white matter volume, and age of the participant. No significant sex differences were found for caudate nucleus and nucleus accumbens, but males showed significantly larger volumes for globus pallidus and putamen, as confirmed in both cohorts. These results show that sexual dimorphism is neither a general effect in the basal ganglia nor confined to just one specific nucleus, and will aid the interpretation of differences in basal ganglia (dys)function between males and females.

J'ai surligné en jaune les passages importants. L'anglais n'est pas difficile. Faites simplement un petit effort. 
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COMMENTAIRES PERSONNELS.
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On ne commente pas l’évidence ; comme je l'ai signalé, je pourrais allonger la liste des publications montrant que les cerveaux masculins et féminins ne sont pas structurés de la même façon. Madame SCHIAPA s’en fout, les médias s’en moquent, et les suppôts du mouvement LGBT crachent sur cs scientifiques qui OSENT prouver que l’homme et la femme ont des systèmes cognitifs différents ce qui n’implique du reste aucune supériorité d’un sexe sur l’autre. Mais quand la raison devient folle et que l’on a affaire à des cinglés, que faire ? Le parieur bénédictin, s'il est un homme, respecte les femmes et les honore, il n'use pas de la force brutale ou de la séduction du crowner ; si c'est une parieuse, elle ne joue pas les séductrices et ne tombe pas dans les  bras du premier venu qui lui ferait une cour intéressée, ne passe pas son temps dans les bars à ongles, les bars à sourcils ou les bijoutiers, toutes actions que la théorie du genre prétend dictées par des stéréotypes sociaux et qui, manifestement, correspondent à des organisations différentes du cerveau. Le dernier article (sur les ganglions de la base, appelé aussi noyaux gris centraux, est de toute première importance et il n'est pas si veux que ça !)
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MES CHRONIQUES.
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CHRONIQUE DES CINGLÉS.

(On aura décidément tout entendu, tout vu ! Combien de temps encore supporterons-nous ces imbéciles ? Inscrire dans la Constitution le droit de tuer son enfant ? C’est le retour au Droit romain, version mater familias !)


(C’est avec notre argent, madame, que vous subventionnez ces horreurs ; vous méritez donc d’être honorée dans la CHRONIQUE DES CINGLÉS.)

CHRONIQUE DES CHANCES POUR LES ÉTATS-UNIS.


CHRONIQUE DES CHANCES POUR L’EUROPE, DES MOYENS POUR  LES EMPECHER DE NUIRE, DES MOYENS DE LES ENTRETENIR.



(C’est un peu expéditif mais le rapatriement dans un pays sûr est sans doute le moyen le plus humain de stopper une immigration clandestine, illégale, et qui n’a rien à voir avec la mise en péril des migrants ; une fois encore, il faut discerner.)


CHRONIQUE DU MOYEN-ORIENT.

(Mais cet article reste très discret et ne donne pas le nom des organismes qui fournissent des armes à DAECH !)

CHRONIQUE DES FAITS IGNORÉS DES MÉDIAS OFFICIELS.


CHRONIQUE DE LA MACRONIE.






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