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Au lieu d’un château fort dressé au milieu des terres,
pensons plutôt à l’armée des étoiles jetée dans le ciel.
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Chers lecteurs, chers amis, vous qui
me faites l’honneur de lire et quelquefois d’apprécier mes billets, je voudrais
aujourd’hui vous lancer un pressant appel.
Bien sûr, je m’adresse d’abord à ceux qui ont reçu la parole du Christ
et s’efforce de la mettre en pratique. Mais peut-être ces lecteurs non croyants
mais de bonne volonté voudront-ils bien se joindre à cette initiative.
L’Église catholique traverse une
très grave crise. Il est inutile de sa cacher derrière le petit doigt ; il
est nécessaire de dire la vérité, telle du reste que l’a dite Mgr VIGANO, dont
vous pourrez lire la lettre au pape sur l’excellent Blog de notre amie Jeanne
SMITS
Oui, il y a eu des prêtres et des
hauts prélats qui ont été des prédateurs sexuels d’enfants et surtout d’adolescents.
L’un d’eux a du reste été déchu de sa dignité cardinalice. Son comportement
était connu de Benoît XVI qui avait pris les sanctions nécessaires, lesquelles
ont été, semble-t-il, levées par le pape François. Un silence épais et lâche a
entouré les agissements criminels de nombreux prêtres aux États-Unis, au Chili,
en Irlande. Je n’ai aucune envie de jouer les accusateurs publics. Mais j’ai le
devoir et le droit de m’élever avec colère contre cette complicité du silence.
Oui, Jean-Paul II visait bien le lobby homosexualiste du Vatican quand il
parlait des « fumées de Satan ».
Je vous lance donc un appel :
il consiste à jeûner tous le vendredi, à partir du 31 août et jusqu’à fin
décembre et à faire pénitence (en fonction de ses conditions morales, humaines,
sociales), à prier abondamment, notamment le chapelet, en réparation, et à propager
autour de vous cette initiative. Seule la prière, seule la pénitence, seul le
jeûne sont de nature à faire comprendre que le peuple de Dieu est profondément
blessé et qu’il refuse de se faire le complice d’un comportement clérical et
mondain : « que votre oui soit un oui et votre non, un non ! »
Je vous demande instamment, ce que
je fais rarement, de mettre un j’aime sur Facebook.
Vous comprendrez que je dissocie mes
habituelles chroniques de ce billet. Elles ferons l’objet d’une publication
séparée, datée du même jour.
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