vendredi 10 août 2018

Vendredi 10 août 2018. Nouvelles du pari bénédictin ! L'Europe du parieur n'est pas celui de Bruxelles.

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Au lieu d’un château fort dressé au milieu des terres, pensons plutôt à l’armée des étoiles jetée dans le ciel.
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SAINT BENOÎT, PATRON DE L’EUROPE.
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C’est à l’occasion de sa visite au Mont Cassin, que Paul VI fit de saint Benoît l’un des patrons de l’Europe. Voici en quels termes il s’exprime, dans le Bref Pacis nuntius :

"Messager de paix, artisan d’union, maître de civilisation, et, avant tout, héraut de la religion du Christ et fondateur de la vie monastique en Occident, tels sont les titres qui justifient la glorification de saint Benoît, Abbé. Alors que s’écoulait l’Empire romain désormais à son terme, que des régions d’Europe s’enfonçaient dans les ténèbres et que d’autres ne connaissaient pas encore la civilisation et les valeurs spirituelles, ce fut lui qui, par son effort constant et assidu, fit se lever sur notre continent l’aurore d’une ère nouvelle. C’est lui principalement et ses fils, qui, avec la croix, le livre et la charrue, apporteront le progrès chrétien aux populations s’étendant de la Méditerranée à la Scandinavie, de l’Irlande aux plaines de Pologne. […]."
Voir le texte en italien dans
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L’EUROPE DE BRUXELLES VUE PAR PHILIPPE MURAY : MOMENTS JOUISSIFS.
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"Il faut laisser le moderne se dévorer entre lui ; et tenir la chronique sévère de ce combat de tautologie, de cette tautomachie. N’importe quelle comédie, de ce point de vue, est bonne à prendre. Quand il s’est agi en France ou en Hollande de voter pour ou contre la Constitution européenne, il a été très vite acquis et décrété que ceux qui avaient voté non auraient sans doute voté oui si la Constitution s’était appelé traité ; et que ni les protestataires partisans du non, ni les acceptataires partisans du oui, ne rejetaient bien entendu l’idée européenne, et encore moins sa construction irrésistible, mais que les uns et les autres, plus europhiles les uns que les autres, n’avaient un léger différend qu’à propos de l’Europe en tant que fourrier de la mondialisation ou limitateur des excès de celle-ci ; et qu’ils auraient sûrement tous voté pour une autre Europe si on en avait trouvé une.[…]. L’hypothèse même d’un rejet sauvage et radical de « l’idée européenne » est devenue impensable ; et l’on s’estime assez comblé de « pluralisme », dans ce domaine comme dans les autres, quand on reconnaît qu’il peut y avoir désaccord, mais seulement à propos du fonctionnement de la chose, jamais à propos de la chose elle-même et surtout de sa désirabilité. Dans l’espace infini du Moderne autonomisé, nul ne vous entendra plus jamais crier non au Moderne."
Philippe MURAY.
Moderne contre moderne. Exorcismes spirituels IV. Essais. Quatrième tirage.
Préface (pages 12 et 13).
Les Belles Lettres, Paris, 2010 (pour la présente édition).
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COMMENTAIRES PERSONNELS.
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L’histoire revient en force. Le mouvement de retour est venu du Brexit, et l’on ne saurait assez remercier les peuples britanniques d’avoir dit non au grand machin qui broie les patries, impose des normes étouffantes, et veut en plus répandre les germes les plus dangereux du modernisme sociétal : mariage pour tous, IVG, euthanasie (y compris celle des enfants comme en Belgique qui, à cet égard, a donné un exemple qui SERA imité), légalisation de la GPA.
Les juges de la CEJ ou de la CEDH sont tout entiers adonnés à la passion du modernisme, certes pas à la lecture de la règle de saint Benoît.
Puis est venu le groupe de Visegrad (Pologne, Tchéquie, Slovaquie, Hongrie) qui rétice de plus en plus à se soumettre aux diktats des grands fouille-merdes de BRUXELLES.
Enfin, l’Italie, elle aussi, a fait le choix de l’histoire.
Tous ces pays, tous ces peuples acceptent les conséquences parfois douloureuses de leur choix. Les menaces, les sanctions, les injonctions, les remontrances, ils s’en battent l’œil. Ainsi se trouve remise en honneur la politique dont ARISTOTE disait qu’elle est par définition imprévisible, tant que le choix est laissé libre aux peuples de déterminer ce qui est bon pour eux.
Parieurs bénédictins, nous faisons, nous, celui d’une Europe plurielle, débarrassée de ces mirontons à la remorque des grossiums de l’économie, de la technique et des médias. Plus vite cette Europe-là s’écroulera, mieux ce sera. Nous faisons le choix d’une Europe respectueuse des différences, accueillante mais discernante, priante, ouverte et, j’ose le dire, missionnaire.
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LIENS UTILISSIMES, NOMBREUX CERTES, MAIS A LIRE TOUS.
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Chronique des cinglés (suite et pas fin !) : un courageux lynché médiatiquement.



C’est en Italie que les choses bougent !


Absence ! Absence ! Pensez aux morts de la grande guerre, ce n'est pas très vendeur .


Que Dieu l’accueille en son paradis.

Les médias sont plus soucieux des idées dans le vent que de la vérité. Ils se taisent ! Ils se taisent !  Pas NOUS !


BENALLA ou la patate chaude !




Les juges, la Pologne et l’Europe ! Il est grand temps de se rebiffer.


La Corse et les 80 km/h ! Sans compter ailleurs !



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