jeudi 7 septembre 2017

07 septembre 2017. Note pas si brève que ça ! Témoignage d'une enseignante de banlieue.

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Ce texte m’a été transmis par un ami alsacien. Je regrette qu’il ne soit pas signé. Mais je comprends la crainte de cette enseignante qui risque d’être blâmée, mutée, sanctionnée, pour avoir dit la vérité tout haut.
Nous laissons se développer un cancer, et nous le faisons par pure lâcheté, pour préserver une tranquillité qui, de toute façon, sera troublée par la révolte de ces banlieues peuplées de jeunes pleins de ressentiment contre une civilisation que leurs aïeux n’ont jamais pu engendrer, alors qu’ils en avaient les moyens, tant à un moment donné de l’histoire, ils ont compté de savants brillant dans toutes les disciplines. Il convient de se demander ce qui a stérilisé le génie des peuples arabes, et de pointer le rôle que la religion a joué dans ce retard. À mon regret, je dois dire que, jusqu’ici très nuancé dans mes propos, comptant par ailleurs plusieurs élèves de confession musulmane, des élèves qui m’honorent de leur affection que je leur rend, je ne voulais pas les blesser par des propos inconsidérés en pointant ce qui dans l’Islam (I majuscule, au sens du Père SOUBEYRAND) est incompatible avec notre mode de vie et de pensée. Mais il est difficile de taire ces faits quand il est encore possible de le évoquer. J’ajoute que je ne suis pas d’accord avec la généralisation de l’impossibilité pour un musulman de devenir Français et d’aimer sa patrie d’adoption, car j’ai eu des exemples admirables d’un double attachement à la patrie et aux racines.


Texte rédigé par une enseignante française

12 07 2017
Les élèves musulmans ne pourront jamais être Français... car leur religion le leur interdit. 
Témoignages:
« Je suis enseignante (prof d’histoire-géo-éducation civique) depuis plus de 20 ans. J’ai exercé dans 5 collèges de banlieue, dont deux Zep et un établissement classé zone violence. J’ai donc vu passer dans mes classes (de la 6ème à la 3ème) plus de 4000 jeunes de banlieues, que j’ai eu à charge d’instruire, d’encourager et d’accompagner, avec une bienveillance et une abnégation qui ne m’ont jamais fait défaut.
Vous prétendez que les populations des banlieues sont « mises au garage dès le collège et le lycée ? Que « le socle d’une société épanouie est l’éducation » et ..... de ce fait........ vous insinuez que les minorités ne reçoivent aucune instruction dans notre pays ? Quelle vaste blague ! Non : quelle aberration...... quelle mauvaise foi quelle vision erronée et mensongère de la réalité !
Mes élèves des cités reçoivent la même instruction que tous les petits français de souche. Leur instruction est gratuite (sans compter les aides et prestations diverses censées aider ces familles.... mais qui sont systématiquement dépensées pour tout autre chose que l’école…) 
Si, au terme d’un parcours scolaire la plupart du temps désastreux, le corps enseignant se voit contraint de leur proposer une orientation professionnelle en fin de 3ème, c’est qu’on ne peut pas raisonnablement proposer à un adolescent de 15ans d’envisager de poursuivre des études de médecine alors qu’il n’a toujours pas daigné apprendre à compter (et à parler correctement le français). Ignorez-vous l’importance de la résistance à l’apprentissage du français dans nos écoles ?
Le Français est pour eux une « langue étrangère »... la langue des mécréants » comme ils aiment à me le répéter.
Voici le fruit de ma réflexion, après 20 années d’expérience au contact de votre soi-disant « génération sacrifiée » :
Je suis en première ligne pour témoigner des moyens financiers, humains et techniques mis à dispositions de ces jeunes depuis des décennies (oui, des millions dépensés dans les collèges et lycées pour ces populations).
Je vous signale, à titre d’exemple, que le collège où je travaille actuellement met à leur disposition permanente 14 TNI ..... d’une valeur totale de 100 000 euros - un dans chaque classe-....deux salles informatiques contenant 50 PC avec connexion internet, une bibliothèque magnifique sur deux étages, des dizaines d’heures de soutien hebdomadaires et tutorats en tous genres (qui coûtent beaucoup d’argent à l’Etat car payés en heures supplémentaires), un service de restauration quasi gratuit, des voyages scolaires (musées, voyages en Espagne, en Italie, en Angleterre et en Allemagne, pris en charge par le foyer socio-éducatif) etc, etc, etc… Je continue ?
Les autres enfants de la commune (qui ne vivent pas dans la cité) sont loin d’avoir ce genre de privilèges.
Malgré tout, ces jeunes des banlieues (comme vous les appelez) n’ont que la haine de la France à la bouche. Leur seule référence est « le bled ». Leur seul désir : imposer leur culture en remplacement de notre culture nationale. Ils ne s’en cachent même plus : ils le revendiquent comme une fierté.
Leur communautarisme rend inopérant toute tentative d’instruction et ’intégration.
Quel que soit le sujet que j’aborde, en Histoire, en géographie ou en éducation civique, je ne rencontre de leur part que mépris et hostilité vis-à-vis de notre passé, de nos valeurs, de notre vision de la démocratie.
Je n’ose même plus prononcer le mot « laïcité » en classe, de peur de les voir me vomir dessus ou pire, m’insulter.
La plupart des collègues ont abdiqué depuis longtemps.
Hélas, j’ai cru un temps, comme vous, qu’il était possible de leur transmettre connaissances, sagesse et foi en l’avenir de notre communauté nationale.
J’ai renoncé. Je suis tous les jours confrontée aux discours les plus intolérants qui m’aient été donnés d’entendre : propos haineux à l’égard des Français, des Juifs, des femmes, des homosexuels… L’évocation du terrorisme fondamentaliste les fait sourire (dans le meilleur des cas) quand ils ne font pas ouvertement, en classe, l’apologie de l’Etat islamique et de la charia.
Notre Histoire ne les intéresse pas. Ils ne sentent aucun passé, ni aucun point commun avec les « sous-chiens » et les « faces de craie » comme ils nous appellent.
Retournez donc à l’école ne serait-ce que pour un petit stage d’une journée…  vous seriez mortifié. »
Que vont devenir ces jeunes, ne sachant rien et n’ayant dans le cœur que la haine que leur commande leur « religion » (Coran 60.4) ? Mme Najat Valaud-Belkacem a pensé à tout : par l’enseignement de l’arabe, à partir du Coran évidemment, on ne pourra que les aider à se forger une identité musulmane…
Quelle charge et quelle folie pour la société d’entretenir ceux qui veulent la détruire…
Nos responsables politiques sont inexcusables d’avoir conduit la France dans cette situation, car tout cela leur avait été annoncé depuis longtemps : le Commandeur des croyants, le Roi du Maroc, Hassan II , le Bienheureux Charles de Foucauld … 

Bobigny, 11.07.17

En lisant ce texte, je ne puis que vous rappeler ce que disait BERNANOS à propos de la lâcheté et du mépris des politiciens démocrates pour la démocratie.

"[…]. L’opinion publique doit-elle renoncer à se manifester dès que les événements prennent un certain caractère de gravité ? Mais la démocratie n’est-elle pas précisément un gouvernement d’opinion ? L’opinion n’est-elle pas la souveraine légitime des démocraties ? Que penser d’une souveraine qui abdique aussitôt que les choses se gâtent ? J’emploie, par politesse, la forme interrogative, car je sais parfaitement ce que je dois penser à ce sujet. Il y a longtemps que je suis fixé sur le secret mépris ― ou du moins la hautaine méfiance ― des politiciens démocrates envers la démocratie. […]."


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