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Nous terminons le cycle consacré
à TOROROV.
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Rien n’est plus facile que de prêcher la
vérité. Le miracle, c’est de la faire aimer !
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1. LA
CITATION DU JOUR.
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"La connaissance du passé satisfait
d’abord un besoin humain fondamental, celui de comprendre et d’organiser le
monde, de donner un sens au chaos des événements qui s’y succèdent. Nous savons
bien, même si nous n’y pensons pas toujours, que nous sommes faits de ce
passé ; le rendre intelligible, c’est aussi commencer à nous connaître. À
la lumière du passé, le présent se transforme : nous cessons de prendre à
la lettre l’interprétation autojustificative ou autoglorifiante que les acteurs
aiment donner à leurs actes, pour les lire en perspective. Les mots se prêtent
à tous les usages, on ne peut donc se fier aux descriptions dont se servent nos
contemporains ; par la confrontation avec le passé, voie en apparence
détournée, nous pouvons accéder plus facilement et plus directement au monde
qui nous entoure. Comprendre la pensée d’hier permet de changer la pensée
d’aujourd’hui, qui à son tour influence les actes à venir. Agir directement sur
la volonté des hommes est difficile et du reste inutile : ce n’est pas leur
volonté qui erre (les hommes veulent toujours leur bien), c’est leur jugement
(ils cherchent ce bien là où il n’est pas). Éclairer le jugement est un moyen
d’agir sur leur volonté, et c’est là que l’histoire peut aider. Les
représentations du passé, construites par l’historien, sont actions dans le
présent : se penser différemment permet de changer notre manière
d’agir ; dire, ici, c’est faire."
In
Tzvetan
TODOROV.
Le
Jardin imparfait. La pensée humaniste en France. (Collection dirigée par
Jean-Paul ENTHOVEN ; Biblio essais ; Le Livre de Poche N°4297.)
[Le Livre de Poche], Grasset, Paris,
2006. (Page 321.)
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2. COMMENTAIRES.
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Ils seront très
courts : il est impossible de comprendre le monde contemporain si l’on
ignore l’histoire, et notamment celle de sa propre patrie.
Quels intérêts
les idéologues socialistes, libéraux, ou mondialistes, défendent-ils en
empêchant les écoliers, les collégiens ou les lycéens de connaître l’histoire
de leur pays présentée en un continuum chronologique et non sous forme
thématique gélatineuse, pleurnicharde, repentante et falsifiée, forme qui, en réalité permet toutes les déformations ?
Je vais vous le
dire : les empêcher de penser, de former leur jugement, de prendre du recul, de façon à pouvoir en faire de bons
moutons, de bons consommateurs, manipulables à merci par les grands groupes
industriels et financiers, ainsi que par les sociétés de pensée dont je tairais
le nom mais qui ont le compas dans l’œil et qui marchent à l’équerre !
Eh bien chers lecteurs, je vous invite à résister à l'oppression du fric et à celle d'un Etat de plus en plus totalitaire.
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3. REVUE DE
PRESSE INSOLENTE.
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Le point sur la
désinformation en Syrie.
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Un référendum
bienvenu contre le tout puissant SOROS.
D'un coup de téléphone, cet homme peut ruiner des milliers de familles, et il l'a fait du reste, en spéculant en bourse notamment.
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Monsieur Jean-Luc
ROMÉRO est un menteur. Voilà ce qu’il dit ouvertement.
"Boutin l’a dit. Et elle avait raison. C’est bien la
seule chose avec… Quand elle disait « tout ça c’est la porte ouverte au mariage
et tout". Bien sûr qu’elle avait raison ! Bien sûr que quand on se
retrouvait entre nous on rigolait et on disait : voilà, on dira tout le
contraire devant les médias, devant tout le monde, dans nos réunions publiques.
Il faut avoir un peu de stratégie en politique quand on veut arriver... Quand
en plus on sait que ça va dans le sens de l’égalité des droits."
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Les effets pervers d’une immigration incontrôlée.
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Quand
l’Europe (le Conseil de l’Europe en l’occurrence) nous impose la présomption de
minorité !
En somme, il suffit qu'un clandestin isolé se déclare mineur sans qu'on puisse le prouver, pour nous obliger à le garder sur notre sol.
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Les
vraies raisons de la guerre en Syrie expliquées par Alain Juillet, ex-directeur
de la DGSE.
(Sur
Public Sénat, le 08.03.2016).
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Un
footballeur qui a la foi et le dit.
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De
feu le cardinal CAFFARA l’analyse pertinente d’un livre de première importance.
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