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Encore un peu de BRUCKNER
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"[…]. Rien n’est plus facile que de prêcher la vérité. Le miracle c’est de la faire aimer."
"[…]. Rien n’est plus facile que de prêcher la vérité. Le miracle c’est de la faire aimer."
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1. LA CITATION DU JOUR.
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"[…]. La nation est donc cet
ensemble singulier à travers lequel j’accède à l’universel, un contrat et une
contrainte entre individus dans le cadre d’un esprit hérité d’une tradition de
vie en commun. La diluer brutalement dans un environnement plus vaste, la
sacrifier sur l’autel des intérêts économiques, ce n’est pas nous offrir le
mondial, c’est encourager toutes les régressions locales, régionales, tribales :
d’où cette dialectique du satellite et du clocher qui règle nos échange avec
l’extérieur puisqu’à la griserie d’accéder à la dimension planétaire, se mêle
la crainte de disparaître dans l’indistinct."
In
Pascal BRUCKNER.
Misère de la prospérité. La religion marchande et ses
ennemis.
[Bernard] Grasset, Paris, 2002. (Page 194.)
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2. COMMENTAIRES.
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Notre patrie vit très exactement
ce drame que lui imposent les puissances d’argent, les puissances économiques lesquelles
ont colonisé et parasité le monde politique au point d'en dévorer la substance. Oui, bien sûr, la France (et
probablement est-ce là une des caractéristiques essentielles de son génie) a
toujours pensé l’universel, mais elle n’a jamais renié, jusqu’à un passé
récent, illustré par un quinquennat de médiocres et de traîtres à la patrie, qu’elle
avait dans le concert des nations une place singulière, celle que lui valait,
par exemple, la Déclaration des Droits de l’Homme.
Aujourd’hui l’amour de la
mondialisation est l’encens que les gouvernants offrent aux idoles des grandes
industries, des trusts, des banques. Mais les peuples ont la peau dure, et ils
n’acceptent pas aussi facilement que ces messieurs le pensent, l’idée de se
fondre dans une gouvernance mondiale réglée par le fric.
Nous défendons le droit d’être
nous-même, y compris devant les étrangers qui pensent (à juste titre d’ailleurs)
trouver sur notre sol la paix et la sécurité. La France a une longue histoire
derrière elle ; elle a lutté contre l’impérialisme des Plantagenet, de la
maison d’Autriche, de celle d’Espagne ou
celle de l’empire allemand (Cf. Bernanos) avec un succès qui n’a jamais été
démenti par les faits. Elle luttera contre l'impérialisme islamiste.
Il a fallu la trahison des
vieillards munichois, et aujourd’hui celle de la classe des intellectuels dits « de
gôôôôche », des énarques, et d’une classe politique constituée d’oligophrènes,
pour nous amener à réfléchir sur les moyens de rester nous-mêmes, sans renier
la tradition d’accueil millénaire qui fut toujours la nôtre. En vérité, nous
pouvons nous passer d’un gouvernement. Après tout, nos amis belges l’ont bien
fait pendant plus d’un an, et n’ont pas arrêter de respirer pour autant !
Au contraire.
Certes, il est difficile de
cheminer sur une arête, entre deux précipices, celui de la dilution dans le
chaos mondial, celui du rabougrissement et du reniement de notre identité.
Raison de plus pour courir ce risque. Il suffit d’avoir de l’autorité et du
discernement.
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3. REVUE DE PRESSE
INSOLENTE.
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Je le redis fermement.
Lisez (au moins une partie de) ces articles !
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Deux poids, deux mesures.
Pas de mandat de dépôt à
l’audience pour ces furies que l’on devrait renvoyer chez elles. Mais mandat de
dépôt à l’audience et deux mois de prison ferme pour Nicolas Bernard-Buss qui
avait osé défier Pépère, alias Normal Ier, alias François Hollande.
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Les idéologues ne le crient pas
sur les toits, et pourtant !
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Défendre les langues régionales
et déboulonner l’abbé Grégoire, en l’éjectant du Panthéon !
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Le racisme est de toujours et de
partout !
https://www.breizh-info.com/2017/09/06/77044/onpc-gros-malaise-invite-evoque-racisme-entre-africains
Inutile de préciser que c'est une bête immonde !
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Nestlé s’y met à son tour :
plus de croix sur ses yaourts grecs !
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Les larmes de la vierge de
Syracuse.
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Un grand écrivain témoigne.
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Nous sommes complices des
atrocités commises au Proche- et au Moyen-Orient !
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Le problème du Président.
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