-
Ce n’est pas l’ignorance qui nous
empêche de devenir vrai, c’est la lâcheté !
-
INTRODUCTION A UNE LONGUE SERIE
DE BILLETS.
-
-
Allégresse, jubilation,
stupéfaction, admiration, étonnement, voire pour certains agacement ou
irritation (ce n’est pas mon cas), il n’y a pas assez de mots pour décrire ce
que tout lecteur ressent à la lecture de ce recueil d’articles publiés par Georges
B.ERNANOS entre 1945, date de son retour en France, et 1948, date de sa mort.
Oh ! Il ne fait pas fureur dans le monde politique, car il met celui-ci en
face de sa boue, de ses compromissions, de sa médiocrité.
Je me propose dans les billets
qui viennent de vous faire connaître les passages les plus brûlants de cet
ouvrage. Et je vous invite à vous le procurer, par exemple à la Procure de la
rue de Mézières, où il figure en bonne place.
Il s’agit, vous l’avez deviné, du
livre intitulé :
Français, si vous saviez !
-
1. LA CITATION DU JOUR.
-
"Qui n’aime pas l’honneur
français ne sera jamais qu’un Français de basse espèce. J’accorde que de tels
gens peuvent être utiles au pays, ou même, paradoxalement, l’honorer. N’importe !
Ils n’appartiennent pas tout entiers à la France, la France ne le reconnaîtra
pas au dernier jour […]."
"La France sens plus ou
moins confusément qu’avant de la gouverner il faut d’abord la sauver, qu’elle
est toujours à sauver, qu’on la dit faussement sauvée. […].
-
2. COMMENTAIRES.
-
Mes commentaires seront
mélancoliques. J’appartiens à cette génération née au tout début de la seconde
guerre mondiale. J’allais avoir 5 ans quand l’armistice du 8 mai fut signé à
REIMS. Je me souviens parfaitement de l’humiliation que représentait d’avoir de
l’autre côté de la grande avenue où nous habitions, grouillante de soldats et
de sbires allemands, la belle maison où siégeait pendant la guerre la Gestapo,
et je me souviens de ces bus de couleur bleue, dont les galeries étaient
chargées de bicyclettes (pourquoi, je n’en sais rien ; c’était à la fin de
la guerre, en plein été sans doute, alors que Paris venait d’être libéré) qui
semblaient emporter avec eux la calamité et la honte de la défaite.
Monsieur MACRON, vous avez osé
déclarer dans une capitale étrangère que la colonisation était un crime contre
l’humanité. Vous n’êtes pas un homme d’honneur. Vous n’êtes pas un Français à
part entière. Vous êtes un représentant de cette classe honnie qui s’enrichit
sur le dos des Français par la finance, la banque, le mondialisme et les
réseaux secrets. Mais, comme le dit notre cher Georges, on vous trouvera peut-être
utile, mais n’aurez été qu’utile, jamais juste et jamais vrai.
Monsieur MACRON, l’honneur est l’hommage
en acte que toute conscience droite rend à la vérité. Cette formule est de moi,
et elle est le fruit d’une longue réflexion. Vous êtes dans le mensonge. Ainsi
que le dit avec puissance BERNANOS, vous êtes le continuateur de cette classe
de bourgeois qui a fait le régime de Vichy, ses trahisons, ses compromissions.
Faut-il rappeler que le Maréchal PETAIN a été porté au pouvoir par des chambres
de gauche, et qu’il n’y a eu que 80 parlementaires pour le lui refuser.
-
3. INFORMATIONS DIVERSES.
-
La traitrise par goût du pouvoir.
-
Il était temps qu’il la fendît !
-
On comprend les soutiens
hésitants !
-
Epuisé par son travail à charge
contre monsieur FILLON, le PNF dort, somnole, ronfle…
-
Exemplarité ?
Monsieur MACRON, que vous est-il
arrivé pour qu’en moins d’un an, vos gains de 3 millions d’euros en trois ans
(2010-2013), se soient réduit à un patrimoine d’un peu plus de 200 000 euros
en 2014 ? Et qu’avez-vous fait avec le prêt que vous remboursâtes, certes,
de 500 000 euros, à vous consenti par un ami. A côté de ses 50 000 euros,
monsieur FILLON fait pêle figure
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire