mercredi 16 octobre 2013

Marie-Antoinette, in memoriam...

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Il y a 220 ans, jour pour jour, la reine Marie-Antoinette était décapitée. Français, souvenons-nous qu'avec cette ultime exécution d'une figure souveraine, nous avons scellé notre présent destin dans le sang. Certes, il y avait beaucoup à redire sur Marie-Antoinette. On la disait frivole ; elle a eu une fin de vie exemplaire. Et madame TRIEWEILER qui va danser avec les enfants d'Afrique du Sud à nos frais, alors qu'elle n'est juridiquement rien aux yeux de la loi, n'arrive pas en dignité au petit orteil de Marie-Antoinette, archiduchesse d'Autriche et reine de France ; et elle est aussi frivole que la jeune reine lors de ses premières années en France
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Nous ne voulons plus de cette cohorte d'imbéciles (bernanosiens), d'incapables et d'antipatriotes qui acceptent de vendre notre patrie au QATAR ou à la CHINE, qui subventionnent les enfants familles algériennes polygames alors qu'ils amputent les retraites des plus pauvres de leurs compatriotes et que les sbires à leur botte, tels les sénateurs, ont refusé de se voir supprimer la prime de chauffage (sic) de 4000 euros ! Exeant ! Exeant ! Du balai ! Du balai ! Le plus vite sera le mieux. 
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Souvenons-nous que MARAT est rentré chez lui blême de rage, quand il a vu la réaction pleine de noblesse de Louis XVI à l'annonce de sa condamnation à mort ; cette fripouille a mérité son sort. Souvenons-nous de la réaction de ROBESPIERRE à l'accusation d'inceste portée contre Marie-Antoinette par un conventionnel qu'il a traité (avec justesse) d'imbécile, et souvenons-nous de cette belle parole de notre reine devant cette accusation : "J'en appelle à toutes les mères". Souvenons-nous qu'on a laissé mourir de tuberculose un adolescent de 17 ans, Louis XVII, sans que l'on tente quoi que ce soit pour le soigner. Voilà les racines de notre République... Tout cela est ignoble, infect, répugnant, odieux et ceux qui encensent les "glorieux ancêtres" ne valent probablement pas mieux qu'eux. Ce qui condamne la République, mais pas la démocratie avec laquelle, fort heureusement, elle ne se confond pas.

3 commentaires:

tippel a dit…

Merçi Monsieur Poindron pour ce rappel de la mort de ce jeune prince. Une petite erreur de frappe, il va mourir à l'age de 10 ans par la faute des Jacobins.

tippel a dit…

Questions : à méditer

Où est la justice sociale quand on repousse l' âge légal de la retraite alors que tout étranger de 65 ans n' ayant jamais travaillé ni cotisé en France, a droit à une retraite de 780 euros par mois dès son arrivée ?


Où est la justice sociale quand une femme de paysan ayant travaillé 50 ans à la ferme, n' a pas droit à ces 780 euros au prétexte que son mari et elle dépassent le plafond de 1200 euros de minimum vieillesse pour un couple ?

Philippe POINDRON a dit…

Merci d'avoir corrigé cette grossière erreur. Décidément, je ne fais pas à ce régime pourri, à cette Europe dont le parlement va voter une loi en faveur de la PMA, GPA et autres offenses à la dignité de l'homme (au sens générique) et des femmes en particulier (au sens d'être sexué). Attendons-nous à de très grosses surprises, à des révoltes, et, si de jeunes élites se lèvent, à une véritable Révolution. Voilà la vocation de notre Patrie, faire de vraies révolutions au bénéfice de l'homme. Nous n'avons pas à cracher sur les droits de l'homme, faible lumière promulguée par la constituante le 26 août 1789, avant la catastrophe épouvantable qu'a été la Convention sanguinaire, le Directoire pourri, le consulat tyrannique et l'Empire les trois à la fois !