lundi 20 mai 2019

Lundi 20 mai 2019. Mes chroniques : barbarie d'état, et courage des chrétiens.


-->
-
CHRONIQUE DE LA BARBARIE.
-
Tenez-vous bien et lisez ce que pense un « médecin » de la sédation profonde et continue imposée à Vincent LAMBERT.

Cette femme nous explique, comme si elle le savait, que Vincent ne peut pas souffrir, qu’on va lui humecter la bouche, en le laissant cependant mourir de soif. Elle ne sait rien de ce qui se passe dans la conscience de cet homme qui pleure devant ses parents (car contrairement à ce que je disais dans mon billet d’hier, les parents ont un droit de visite ; il faut savoir que la tutrice de Vincent est sa femme et qu’elle réclame l’arrêt des soins). Selon elle, il ne s’agit pas d’une euthanasie. Mois je trouve que ça y ressemble drôlement.


Et lui, il pense qu’il ne lui revient pas d’ordonner l’arrêt de la procédure de mort (vidéo).

-
CHRONIQUE DES COURAGEUX.
-
Une démarche des avocats auprès du « freluquet », monsieur MACRON, qui a déjà répondu qu’il n’avait pas à se mêler de cette question..


Le combat des parents.



Le combat de la Marche pour la vie.


Une raison de plus pour ne pas soutenir un Président thanatophile aux prochaines élections.


dont cet extrait :

Mgr Eric de Moulins-Beaufort, archevêque de Reims où Vincent Lambert est hospitalisé, a de son côté écrit avec force et délicatesse : « Les spécialistes semblaient s’accorder sur le fait que M. Vincent Lambert, si dépendant soit-il depuis son accident, n’est pas en fin de vie.  Tout en saluant l’engagement des équipes du CHU de Reims, on peut s’étonner que M. Lambert n’ait pas été transféré dans une unité spécialisée dans l’accompagnement des patients en état végétatif ou pauci-relationnel ». Et le président élu de la Conférence des évêques de France d’ajouter : « C’est l’honneur d’une société humaine que de ne pas laisser un de ses membres mourir de faim ou de soif et même de tout faire pour maintenir jusqu’au bout la prise en charge adaptée. Se permettre d’y renoncer parce qu’une telle prise en charge a un coût et parce qu’on jugerait inutile de laisser vivre la personne humaine concernée serait ruiner l’effort de notre civilisation. La grandeur de l’humanité consiste à considérer comme inaliénable et inviolable la dignité de ses membres, surtout des plus fragiles ».









Aucun commentaire: