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CHRONIQUE DE LA BARBARIE.
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Tenez-vous bien et lisez ce que pense un
« médecin » de la sédation profonde et continue imposée à Vincent
LAMBERT.
Cette femme nous explique, comme si elle le
savait, que Vincent ne peut pas souffrir, qu’on va lui humecter la bouche, en
le laissant cependant mourir de soif. Elle ne sait rien de ce qui se passe dans
la conscience de cet homme qui pleure devant ses parents (car contrairement à
ce que je disais dans mon billet d’hier, les parents ont un droit de
visite ; il faut savoir que la tutrice de Vincent est sa femme et qu’elle
réclame l’arrêt des soins). Selon elle, il ne s’agit pas d’une euthanasie. Mois
je trouve que ça y ressemble drôlement.
Et lui, il pense qu’il ne lui revient pas
d’ordonner l’arrêt de la procédure de mort (vidéo).
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CHRONIQUE DES COURAGEUX.
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Une démarche des avocats auprès du
« freluquet », monsieur MACRON, qui a déjà répondu qu’il n’avait pas
à se mêler de cette question..
Le combat des parents.
Le combat de la Marche pour la vie.
Une raison de plus pour ne pas
soutenir un Président thanatophile aux prochaines élections.
dont cet extrait :
Mgr Eric de Moulins-Beaufort,
archevêque de Reims où Vincent Lambert est hospitalisé, a de son côté écrit
avec force et délicatesse : « Les spécialistes semblaient s’accorder
sur le fait que M. Vincent Lambert, si dépendant soit-il depuis son accident,
n’est pas en fin de vie. Tout en saluant l’engagement des équipes du CHU
de Reims, on peut s’étonner que M. Lambert n’ait pas été transféré dans une
unité spécialisée dans l’accompagnement des patients en état végétatif ou
pauci-relationnel ». Et le président élu de la Conférence des évêques
de France d’ajouter : « C’est l’honneur d’une société
humaine que de ne pas laisser un de ses membres mourir de faim ou de soif et
même de tout faire pour maintenir jusqu’au bout la prise en charge adaptée. Se
permettre d’y renoncer parce qu’une telle prise en charge a un coût et parce
qu’on jugerait inutile de laisser vivre la personne humaine concernée serait
ruiner l’effort de notre civilisation. La grandeur de l’humanité consiste à
considérer comme inaliénable et inviolable la dignité de ses membres, surtout
des plus fragiles ».
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