Nous
continuons avec la lecture du livre d’André VALENTA sur le scientisme
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Rien n’est plus facile que de prêcher la vérité. Le
miracle c’est de la faire aimer !
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1. LA
CITATION DU JOUR.
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André VALENTA cite RENAN, à la
page 98 de son ouvrage
Le
scientisme ou l'incroyable séduction d'une doctrine erronée. Préface du
cardinal POUPARD.
Mélodie, Cercle de
réflexion sur la science, sans mention de lieu, 1995.
Bien entendu, on reste sans voix devant ces opinions !
"-Je ne voyais pas assez nettement à cette époque
les arrachements que l'homme a laissé dans le règne animal, je ne me faisais
pas une idée suffisamment claire de l'inégalité des races.
-Le processus de la civilisation est reconnu dans ses
lois générales. L'inégalité des races est constatée. Les titres de chaque
famille humaine à des mentions plus ou moins honorables dans l'histoire du
progrès sont à peu près déterminés.
-La colonisation en grand est une nécessité politique
tout à fait de premier ordre… La conquête d'un pays de race inférieure par une
race supérieure qui s'y établit n'a rien de choquant… Autant les conquêtes
entre races égales doivent être blâmées, autant les régénérations des races
inférieures ou abâtardies par les races supérieures est dans l'ordre
providentiel de l'Humanité."
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2. COMMENTAIRES.
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Je
me rends bien compte que je vais peiner les grands admirateurs d’un homme qui
fut, sans aucun doute un grand savant, un spécialiste des langues sémitiques
anciennes, mais qui fit de l’agnosticisme la pierre de touche de ses recherches
philologiques. Oh ! Il n’était pas le seul. Un Jules FERRY utilisait les
mêmes mots, avait les mêmes opinions que RENAN et que bien d’autres scientistes
de l’époque. Une telle opinion ne paraissait pas être une offense à l’humanité
dans l’esprit de ces hommes de science ou de politique. Ils vivaient tout
entiers dans l’idée que l’homme, absolument autonome, s’autoconstruisait. Il
leur suffisait de croire à ce mythe pour arriver logiquement à la conclusion :
l’inégalité des races. Nos scientistes formaient le généreux projet d’élever
les « races inférieures » au niveau des « races supérieures »
ce qui, à leurs yeux, justifiait la colonisation. Ils ont beau jeu, les
censeurs de GOBINEAU et de son essai sur l’inégalité des races. GOBINEAU ne
leur plaît pas parce qu’il ne partage pas leurs opinions politiques. Mais
jamais GOBINEAU n’a proféré de telles horreurs.
En
cela, les RENAN, les Jules FERRY et autres ne faisaient que suivre les opinions
de VOLTAIRE, de DIDEROT, de d’HOLBACH ou de l’ignoble VIREY qui, hélas pour la
corporation à laquelle j’appartiens fut pharmacien et qui n’hésitait pas à
diviser l’humanité en deux races parfaitement inégale : la banche et la
noire.
Alors,
de grâce, ne mélangeons pas tout : admirons dans l’œuvre de ces hommes le
style, l’écriture (VOLTAIRE, DIDEROT), la science (RENAN), la fortune politique
(FERRY), mais ne leur tressons pas les couronnes que la bien-pensance politique
ne cesse de fabriquer pour orner le front de ces racistes patentés.
Non au racisme !
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3. REVUE
DE PRESSE INSOLENTE.
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Veuillez, je vous en prie, je vous en conjure, lire un maximum de
articles dont je donne ici le lien.
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Le
maire de Ploërmel pourrait bien vendre la statue à une association.
Raison
de plus pour lui écrire.
lire
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Si
seulement ça pouvait être vrai !
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Il
y a des hommes politiques courageux, même au Pays-Bas.
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Les
écoles hors contrat : l’avenir de nos enfants (vidéo).
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Voilà
la vraie raison pour laquelle on déteste POUTINE dans le camp des bobos !
Il
pleure les victimes du communisme. C’est impardonnable non ?
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La
France profonde prie pour la France.
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