Rien n’est plus facile que de prêcher la vérité. Le miracle, c’est de la faire aimer.
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1. LA CITATION DU JOUR.
1. LA CITATION DU JOUR.
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"[…], aucune communication avec
autrui ne doit être méprisée. Lorsque deux hommes commencent à découvrir entre
eux une pensée, une émotion ou une intention qui leur est commune, ils ne sentent
pas seulement leur ressemblance fraternelle ; ils reconnaissent l’identité
du principe qui les éclaire et de la fin à laquelle, sans s’en douter, ils
collaboraient déjà. C’est Dieu qui leur montre tout à coup sa face car lui seul
peut être le témoin et le garant de leur union."
In
Louis LAVELLE.
Le mal et la souffrance.
["Présences" ; sous la direction de DANIEL-ROPS.]
Librairie Plon, les petits-fils de Plon
et Nourrit, Imprimeurs-Éditeurs, Paris 1940. (Page 175.)
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2. COMMENTAIRES.
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Cette
citation de LAVELLE vient éclairer celles dans lesquelles il parle de solitude.
Pour
sortir du bourbier relationnel dans lequel nous plongent la modernité, le
consumérisme, le progressisme (qui n’est que le misérable cache-sexe d’un
libéralisme mal assumé si on l’entend comme les progessistes), il nous faut absolument
chercher à communiquer avec autrui, donc à le rencontrer. Bien souvent, j’ai eu
l’occasion dans mes billets de parler de Jürgen HABERMAS et de ses recherches
sur l’éthique de la communication. Bien entendu, je n’ai pas tout lu de ce
philosophe, dont je suis loin de partager toutes les idées. Mais il me semble
qu’avec lui, nous pouvons sentir intuitivement dans nos échanges si notre
interlocuteur nous fait le crédit de la bonne foi, et nous pouvons aussi en
conscience juger que nous lui faisons ce même crédit. Cela exige une
harmonisation des vocabulaires, une définition des mots utilisés (ainsi celui
de progrès ou de modernité) et une humilité absolue devant les faits (et c’est
probablement la chose la plus difficile à atteindre).
S’il
m’arrive, par exemple, dans la revue de presse insolente de donner le lien d’analyses
très critiques concernant l’islam, je ne les commente jamais et si je les
approuve je le mentionne ; si je ne les approuve pas c’est que je les
donne comme un élément de réflexion.
Nous
verrons, le moment venu, que la grande difficulté d’un dialogue indispensable
avec l’islam et ses représentants, c’est la difficulté que nous avons à mettre nos
interlocuteurs au pied du mur, devant les faits. (Je reviendrai bientôt, par
exemple, sur les versets abrogés et les versets abrogeants du Coran, faits
scripturaires parfaitement attestés et qui indiquent, selon moi, que les
salafistes et les wahhabites interprètent le Coran comme l’ont indiqué ses
nombreux commentateurs, c’est-à-dire correctement : l’islam n’est pas une
religion de paix, de concorde et d’amour ; c’est une religion de l’absolue
transcendance de Dieu, devant laquelle l’homme doit s’incliner et à laquelle il
doit se soumettre. Il serait bien indigne de dénier à cette conception une
grande valeur spirituelle, mais il est tout à fait juste de condamner les
violences auxquelles conduit une interprétation littérale et politique du Coran et de s'en indigner.
Les malheureux musulmans soufis qui viennent d’être assassinés en Égypte, dans
une mosquée du Sinaï, ont payé de leur sang leur fidélité à une conception
mystique et non pas politique de l’islam, ce que ne peuvent accepter les
salafistes et les wahhabites ; je rappelle qu'il y a plus de 300 morts dans cet abominable attentat.)
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3. REVUE
DE PRESSE INSOLENTE.
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Lui
il n’y va pas par quatre chemin !
Des bandes ethniques crachent sur la France et les
pouvoirs publics laissent faire.
Voici un exemple (Merci à mon ami Philippe qui m’a transmis l’information).
Voici un exemple (Merci à mon ami Philippe qui m’a transmis l’information).
Du
groupe 113, cette chanson (mais il y en a de pires éructées et vomies par
d’autres groupes tout aussi dégoulinant de haine, de grossièreté et qui,
composés d’étrangers, ne méritent qu’une chose : être chassés à coup de
pieds dans le cul vers leur pays d’origine : c'est, hélas, souvent l'Algérie.) Je fais ici référence à des faits !
J' crie tout haut : " J'baise votre nation " On remballe
et on leur pète leur fion. Faut pas qu'y ait une bavure ou dans la ville ça va
péter, Du commissaire au stagiaire: tous détestés ! A la moindre occasion, dès
qu' tu l' peux, faut les baiser. Bats les couilles les porcs qui représentent
l'ordre en France.
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Affaire
de la Croix de Ploërmel : suite :
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Revendications
injustifiées de la part de certains courants musulmans en faveur de l’ouverture
de mosquées en France.
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Un
titre sonore pour une proposition qui ne fait que le mériter !
et
un commentaire analogue
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Un
chanteur plein de bon sens !
Mais
les imbéciles de la bien-pensance veulent le dégommer !
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Bravo
la CAMIF ! Mille fois bravo !
Voilà des responsables cohérents, humanistes et justes !
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