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Nous
continuons de faire un long bout de chemin avec Léon !
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Rien n’est plus facile que de prêcher la vérité. Le
miracle c’est de la faire aimer.
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1. LES
CITATIONS DU JOUR.
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"Paiement
douloureux de nos contributions. Je ne me prive pas d’exprimer au percepteur
mes sentiments vrais. Gracieuse assimilation de son guichet à un trou de
latrines où l’on me forcerait de jeter le pain de mes enfants devenu ainsi le
pain de TROUILLOT, l’apéritif de PELLETAN ou le pantalon de l’abbé COMBES."
(Bloy fait allusion à l’imbécile anticlérical ; il perçoit le côté
essentiellement religieux de l’anticléricalisme du petit père COMBES, probablement l'un des plus grands crétins de la troisième république)." (page 14.)
"L'avenir
est, d'ailleurs, celui-ci : Tout individu pris en flagrant délit de
lecture, de compréhension, d'imagination ou de pensée sera jugé dangereux et
probablement grillagé comme un animal féroce. Quand le crétinisme arrive à ce
point de parler, comme on fait au Journal, des « hardis pilotes qui ont
consacré leur vie au triomphe de la locomotion mécanique et « dont l'automobile
est la vie », comment l'anthropophagie la plus déchaînée ne deviendrait-elle pas
une loi ? (page 136)."
In
Léon
BLOY.
Quatre
ans de captivité à Cochons-sur-Marne. Tome II.
Mercure
de France, Paris, 1935.
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2. COMMENTAIRES.
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J’aimerais
bien que les fiscalistes de BERCY reçoivent en pleine figure, au moment où nous
devons payer la Taxe foncière, cette parole si forte, si juste, si drôle et si
tragique évoquée dans la première citation : à quoi sert cette contribution ?
A faire vivre un millefeuille administratif, inutile, inefficace et tatillon. Pour bien comprendre BLOY, ici, il faut se souvenir qu'il a vécu dans la misère.
Pour
ce qui est de la seconde citation, on aura compris que tout esprit libre, qui s’efforce
de penser, sans gober ce qui lui proposent des médias absolument indigents, est
l’ennemi de ce système que l’on appelle le système démocratique post-moderne.
Il est stigmatisé, mis de côté, ringardisé, ridiculise. Il faut avoir la
répartie d’un Philippe de VILLIERS pour clouer le bec, dans l’émission célèbre L’heure de vérité, à l’ignoble et
ridicule Ivan LEVAÏ, qui assimilait le combat pour les valeurs à du pétainisme.
Il n’a jamais pensé, Ivan LEVAÏ. Il ne s’est jamais posé la question de savoir
si, par exemple, défendre la famille, était honorable, socialement utile, et
naturel. Non, l’imbécile y voyait du pétainisme. Il récitait son petit
catéchisme journalistique, son abrégé de lieux communs des bien-pensants de
gauche. La caque sent toujours le hareng, monsieur LEVAI, toujours. Et Léon,
notre cher Léon, l’avait vu près de 80 ans avant que n’éclate la nullité de
réflexion et de pensée de la plupart des « grandes plumes » (on se
demande s’il ne se la plante pas dans le derrière) qui font les délices des
étranges lucarnes.
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3. REVUE
DE PRESSE INSOLENTE ET CURIEUSE.
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Accommodements
raisonnables et accommodements déraisonnables : suite de l’affaire de la
Croix de Ploërmel.
Je
partage entièrement l’avis donné par l’auteur de cet article.
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Vive
la Pologne !
Décryptez
ce qui se trame contre ce pays qui eut jadis (ne l’oublions pas) un roi
français (Henri III, roi de Pologne de 1573 à 1575 et roi de France en 1574).
Et merde à l’ignoble SOROS qui veut abattre les régimes de l’Europe de l’Est
qui s’opposent à ses projets mondialisateurs.
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Le Secours catholiques fait le point sur la pauvreté en France.
et
aussi :
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Ce
que tu as caché aux sages et aux savants.
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Il
faut tordre le cou au canard !
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Jésus
ne rougira pas d’eux devant son Père.
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Merci
Natacha !
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Et
enfin, hommage à une marraine de poilus !
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