dimanche 11 juin 2017

11 juin 2017. Nouvelles de la Résistance. Du vote en conscience et du bien commun.

Les extraits qui sont distillés cette semaine sont tirés d’un ouvrage collectif, appelé Transmettre l’essentiel, actes d’un colloque organisé par L’Académie d’éducation et d’études sociales. Artège-Lethielleux, Paris, 2016. Je ne donnerai que le nom du contributeur et la page de l’ouvrage. Nous abordons aujourd’hui la contribution de Madeleine de JESSEY, l’une des fondatrice de Sens commun dont les imbéciles ont dit tant de mal et qui, comme vous l’allez voir, est le fruit d’une très intense réflexion. Le contribution de Madeleine a pour titre Le juste exercice du pouvoir. Je rappelle qu’elle est agrégée de Lettres classiques et ancienne élève de l’École Normale Supérieure de la Rue d’Ulm.
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-Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté !
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1. LES CITATIONS DU JOUR
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(a) "Le bien commun, je l’ai dit, c’est le bien de la cité, le bien civique. C’est ce qui permet d’atteindre, ce qu’on entend très souvent à l’heure actuelle, le « vivre ensemble ». Le fameux « vivre ensemble » qui donne très souvent l’impression d’une société dont l’idéal serait un ideal zen. « Nous allons bien vivre ensemble, nous allons être confortablement mis ensemble dans une même cité et nous allons nous sourire béatement les uns aux autres. Notre objectif, c’est d’atteindre une sorte de confort personnel dans lequel on ne se gênerait pas mutuellement.
"En réalité, le bien commun va bien au-delà de cette zen-attitude dans la cité. Il consiste au fond à rassembler les conditions qui permettront au citoyen de s’épanouir, qui permettront à l’homme de devenir plus homme, plus humain, de développer l’humanité, son humanité, et donc de développer son être.
[…].
"Donc si l’on s’en tient à une définition plus précise, le bien commun, c’est l’ensemble des conditions sociales qui permettent à une personne d’atteindre mieux et plus facilement son plein épanouissement. Je ne peux m’épanouir qu’à la condition de vivre dans une société qui me permet de m’épanouir."(Page 108.)

(b) "Pourquoi évoquer une crise du politique à travers cet exemple de la loi TAUBIRA ? Parce que cette loi n’avait plus pour finalité de bien de tous, mais par clientélisme, il s’agissait de donner satisfaction à un groupe particulier et à un groupe très réduit (le lobby LGBT). Pour satisfaire la revendication de ce groupe, on a remis en cause la définition du mariage, fondé sur l’altérité sexuelle. […]." (Page 109)

(c) "Si François HOLLANDE a mis en œuvre le mariage pour tous, ce n’était pas ultimement pour satisfaire la communauté LGBT, mais pour satisfaire son bien propre, c’est-à-dire pour asseoir son élection et éventuellement sa réélection. Par conséquent, le pouvoir politique non seulement ne visait plus le bien de tous, non seulement ne visait pas même le bien d’une communauté particulière mais il œuvrait à son bien propre en vue de sa propre réélection." (Page 110.)
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2 COMMENTAIRES
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Ces citations sont remarquables de clarté et de vérité. Elles vous expliquent les raisons pour lesquelles il est impossible (en tout cas, il m'est impossible) d’accorder son (mon) suffrage, au moment de ces élections législatives, à des candidats qui, pour être élus, se réclament d’un Président adepte de la GPA, de la PMA et absolument décidé à ne rien changer aux lois iniques et destructrices, concoctées dans les alambiques des ténébreuses loges maçonniques. En effet, rien n’empêchait des personnes de même sexe de vivre ensemble. Et il leur était même possible d’adopter. Ce que voulait HOLLANDE, TAUBIRA et les autres, c’est défier les lois de la nature – dont les « écologistes » se prétendent les défenseurs - et rendre à demi fertile des couples voués par nature à la stérilité..
Ne votez donc pas en conscience pour des candidats qui soutiennent ces lois. Pour ce qui me concerne : NON POSSUM !
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3. INFORMATIONS DIVERSES.
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C’est toute la question.


Je ne pense pas que monsieur MACRON y parviendra, car il n’aime pas sa patrie ; il aime le monde, il admire la civilisation technico-financière dont le modèle nous est fourni par les États-Unis d’Amérique.
Ainsi que je l’ai dit, je ne voterai jamais pour un candidat qui le soutient. Tout simplement parce que notre Président borne son analyse aux problèmes économiques, alors que le problème de la France est un problème d’identité et de civilisation, un problème essentiellement spirituel.
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Une nouvelle passée sous silence et qui est d’importance !

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Allons-nous nous laisser berner ?


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Dix règles de vie quotidienne !

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Être battu avec une centaine de députés en plus que l’opposition ?


C’est ce que les médias appellent une défaite !


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