Les extraits qui sont distillés cette semaine sont tirés d’un
ouvrage collectif, appelé Transmettre
l’essentiel, actes d’un colloque organisé par L’Académie d’éducation et
d’études sociales. Artège-Lethielleux, Paris, 2016. Je ne donnerai que le nom du
contributeur et la page de l’ouvrage. Nous abordons aujourd’hui la contribution
de Madeleine de JESSEY, l’une des fondatrice de Sens commun dont les
imbéciles ont dit tant de mal et qui, comme vous l’allez voir, est le fruit d’une
très intense réflexion. Le contribution de Madeleine a pour titre Le juste exercice du pouvoir. Je
rappelle qu’elle est agrégée de Lettres classiques et ancienne élève de l’École
Normale Supérieure de la Rue d’Ulm.
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-Ce n'est pas l'ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c'est la lâcheté !
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1. LES
CITATIONS DU JOUR
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(a) "Le
bien commun, je l’ai dit, c’est le bien de la cité, le bien civique. C’est ce
qui permet d’atteindre, ce qu’on entend très souvent à l’heure actuelle, le « vivre
ensemble ». Le fameux « vivre ensemble » qui donne très souvent l’impression
d’une société dont l’idéal serait un ideal zen. « Nous allons bien vivre ensemble, nous allons être
confortablement mis ensemble dans une même cité et nous allons nous sourire
béatement les uns aux autres. Notre objectif, c’est d’atteindre une sorte de
confort personnel dans lequel on ne
se gênerait pas mutuellement.
"En
réalité, le bien commun va bien au-delà de cette zen-attitude dans la cité. Il
consiste au fond à rassembler les conditions qui permettront au citoyen de s’épanouir,
qui permettront à l’homme de devenir plus homme, plus humain, de développer l’humanité,
son humanité, et donc de développer son être.
[…].
"Donc
si l’on s’en tient à une définition plus précise, le bien commun, c’est l’ensemble
des conditions sociales qui permettent à une personne d’atteindre mieux et plus
facilement son plein épanouissement. Je ne peux m’épanouir qu’à la condition de
vivre dans une société qui me permet
de m’épanouir."(Page 108.)
(b) "Pourquoi
évoquer une crise du politique à travers cet exemple de la loi TAUBIRA ?
Parce que cette loi n’avait plus pour finalité de bien de tous, mais par
clientélisme, il s’agissait de donner satisfaction à un groupe particulier et à
un groupe très réduit (le lobby LGBT). Pour satisfaire la revendication de ce
groupe, on a remis en cause la définition du mariage, fondé sur l’altérité
sexuelle. […]." (Page 109)
(c) "Si
François HOLLANDE a mis en œuvre le mariage pour tous, ce n’était pas
ultimement pour satisfaire la communauté LGBT, mais pour satisfaire son bien
propre, c’est-à-dire pour asseoir son élection et éventuellement sa réélection.
Par conséquent, le pouvoir politique non seulement ne visait plus le bien de
tous, non seulement ne visait pas même le bien d’une communauté particulière
mais il œuvrait à son bien propre en vue de sa propre réélection." (Page 110.)
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2 COMMENTAIRES
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Ces
citations sont remarquables de clarté et de vérité. Elles vous expliquent les
raisons pour lesquelles il est impossible (en tout cas, il m'est impossible) d’accorder son (mon) suffrage, au moment de
ces élections législatives, à des candidats qui, pour être élus, se réclament d’un
Président adepte de la GPA, de la PMA et absolument décidé à ne rien changer
aux lois iniques et destructrices, concoctées dans les alambiques des
ténébreuses loges maçonniques. En effet, rien n’empêchait des personnes de même
sexe de vivre ensemble. Et il leur était même possible d’adopter. Ce que
voulait HOLLANDE, TAUBIRA et les autres, c’est défier les lois de la nature –
dont les « écologistes » se prétendent les défenseurs - et rendre à
demi fertile des couples voués par nature à la stérilité..
Ne
votez donc pas en conscience pour des candidats qui soutiennent ces lois. Pour ce qui me concerne : NON POSSUM !
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3. INFORMATIONS
DIVERSES.
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C’est
toute la question.
Je
ne pense pas que monsieur MACRON y parviendra, car il n’aime pas sa
patrie ; il aime le monde, il admire la civilisation technico-financière
dont le modèle nous est fourni par les États-Unis d’Amérique.
Ainsi
que je l’ai dit, je ne voterai jamais pour un candidat qui le soutient. Tout
simplement parce que notre Président borne son analyse aux problèmes
économiques, alors que le problème de la France est un problème d’identité et
de civilisation, un problème essentiellement spirituel.
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Une
nouvelle passée sous silence et qui est d’importance !
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Allons-nous
nous laisser berner ?
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Dix
règles de vie quotidienne !
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Être
battu avec une centaine de députés en plus que l’opposition ?
C’est
ce que les médias appellent une défaite !
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