mercredi 21 juin 2017

21 juin 2017. Nouvelles de la Dissidence. Loi Travail ! Ne pas se tromper sur l'homme

Nous continuons notre parcours dans l'ouvrage collectif, appelé Transmettre l’essentiel, actes d’un colloque organisé par L’Académie d’éducation et d’études sociales. Artège-Lethielleux, Paris, 2016. Encore une réflexion de Pierre-Yves GOMEZ dans son excellent article Le sens du travail.
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Ce n’est pas l’ignorance qui nous empêche de devenir vrai, c’est la lâcheté !
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1. LA CITATION DU JOUR.
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"Je trouve frappant que, dans les débats ou les réflexions politiques, le thème du travail comme fondation ne vient jamais. On parle volontiers de « valeurs » de la République, de la laïcité, de l’Histoire de la France parfois, du progrès de la France « mère des arts, des armes et des lois », etc. Mais pas du travail comme ciment national. On parle abondamment du chômage (par la négative donc), mais pas du travail, de la philosophie du travail, du sens du travail, de l’utilité du travail pour qu’existe une société. Pourtant le contenu du travail, les projets et la manière de travailler fixent une communauté nationale ou locale, nous l’avons dit. Cela me paraît suffisamment évident pour que je me demande pourquoi la question du vivre ensemble n’est jamais abordée sous cet angle.
Les sciences humaines et sociales ont montré depuis fort longtemps qu’il n’y a pas de communautés qui tiennent sans des représentations partagées du travail. C’est ce que j’appelle la condition du travailleur clairement établie. On forme un peuple parce qu’on a défriché ensemble des terres, parce qu’on a bâti des routes et des cathédrales, parce qu’on a jeté des ponts, etc. C’est cela aussi qui participe à la transmission d’une culture. Une culture qui intègre une représentation, une philosophie du travail et des manières multiples de réaliser le travail ‘bien fait’" (Page 202.)
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2. COMMENTAIRES.
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Cette page n’a l’air de rien et pourtant il me semble qu’elle est décisive pour notre avenir. Il convient très clairement de dire que si la loi réformant le code du travail se borne à n'en voir que l'aspect économique, elle court à un échec certain.
En faisant croire aux Français, essentiellement aux salariés, que le travail était une malédiction, ou encore un poids dans la vie humaine, l’idéologie socialiste et marxiste en général et madame AUBRY en particulier ont réduit le travail à seule dimension économique et encore, à son seul rôle de moyen, celui de gagner suffisamment d’argent pour assurer non seulement sa vie ordinaire, mais encore ses loisirs et ses plaisirs, placés dans l’imaginaire social comme le but de l’existence.
En faisant croire au salarié qu’il ne faisait que vendre sa force de production à un patron avide (tout comme le salarié) de faire de l’argent pour ses loisirs et ses plaisirs, on a négligé la dimension sociale de l’agir ensemble, dans une équipe, un groupe, une organisation. La chose s’est évidemment aggravée avec l’augmentation de la taille des entreprises et la spécialisation des tâches. Voilà qui a accru le sentiment de n’être qu’un rouage dans un ensemble mécanique complexe. Or, même dans une entreprise de grande taille (je pense à EADS et Airbus) il est possible de créer des conditions de travail qui rendent les salariés fiers de participer à une œuvre collective. C'est ce ces entreprises qu'il faut tirer des leçons.
Cette idée de la lutte des classes a rendu inévitable la codification des droits (mais pas des devoirs) des salariés en face de l’employeur, l’empilement de mesures, de réglementations souvent idiotes, le compte pénibilité étant l’illustration la plus éclatante de l’imbécillité hollando-socialiste en la matière. Bien sûr qu’il y a des tâches pénibles ; certaines sont d’ordre physique et il est normal, juste et légitime d’en tenir compte ; mais qui mesurera le stress lié aux exigences de rendements (pour ne citer que cet exemple) ou à  des conditions subjectives parfaitement impossibles à évaluer ? Si la vie n'était qu'un chemin couvert de pétales de roses, cela sa saurait.
Tout est à repenser.

Il y a une autre conséquence importante. Il est impossible d’absorber une masse croissance d’immigrés sans assurer à ceux-ci le moyen de s’intégrer par le travail dans la communauté nationale. S’il s’agit de profiter d’une main d’œuvre à bon marché, c’est inacceptable. Il nous faut avoir de l’imagination, du discernement, et rejeter systématiquement ceux d’entre les étrangers qui veulent profiter des avantages de leur pays d’accueil sans lui payer en retour, par une contribution, si minime soit-elle le tribut de reconnaissance qui lui est dû, ne serait-ce qu’en en apprenant la langue et l’histoire.
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3. INFORMATIONS DIVERSES.
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Merci et honneur à vous monsieur !

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À soutenir et à faire connaître. Vive Natacha !

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Une passionnante enquête !

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L’Europe ! C’est beau l’Europe !


L’espagnol qui est une des langues les plus parlées dans le monde n’est donc pas éligible comme langue de rédaction des brevets européens ? Et on voudrait nous faire aimer ce grand bidule ? Je soutiens nos amis espagnols dans légitime revendication.
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Liberté, liberté, liberté !

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Excellent article à lire attentivement :


L'auteur fait notamment allusion à KELSEN, dont j'ai parlé à plusieurs reprises lors du vote de la loi dite TAUBIRA. 
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Un grand homme politique et un grand saint : Thomas MORE.


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Quand BFMTV prend ses désirs pour des réalités, je me marre !

bfm fiabilite

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Oui L'Eglise catholique aime les femmes !



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