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Les extraits qui sont distillés cette semaine sont tirés d’un
ouvrage collectif, appelé Transmettre
l’essentiel, actes d’un colloque organisé par L’Académie d’éducation et
d’études sociales. Artège-Lethielleux, Paris, 2016. Je ne donnerai que le nom
du contributeur et la page de l’ouvrage. Nous nous penchons aujourd’hui sur la
contribution de Marc FROMAGER, La
renconre des civilisations. Marc FROMAGER est le directeur de L’AED [Aide à
l’Église en détresse]. C’est un connaisseur averti des questions qui touchent
au Proche- et au Moyen-Orient. (Lire son livre : Guerres, pétrole et radicalisme.) Il s’y est rendu à de multiples
reprises
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Ce n’est pas, vous dis-je depuis plusieurs années, l’ignorance
qui nous empêche de devenir vrai, c’est la lâcheté.
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1. LA
CITATION DU JOUR.
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"Nous
avons clairement des « alliés » qui cherchent à nous affaiblir. Les
États-Unis, pour ne pas les nommer, dont nous sommes le premier concurrent
économique. Leur ennemi principal, c’est la Chine. Mais si l’Europe était vraiment
unie, puissante, jusqu’à l’Oural et donc partenaire de la Russie, nous serions
vraiment des concurrents redoutables pour eux.
"Nous
le sommes déjà dans un certain nombre de domaines, que ce soit l’aéronautique,
l’espace, l’automobile, l’agriculture…
"Par
exemple, on peut se poser la question : à qui sert vraiment le fait d’accélérer
le processus migratoire en Europe aujourd’hui ?
"On
veut nous faire croire que ces migrants, s’ils ne viennent pas en Europe, vont
mourir sous les bombes. Or c’est faux, ces migrants, Syriens pour la plupart
sont déjà réfugiés dans les pays limitrophes de la Syrie, en Turquie, au Liban
ou en Jordanie où ils ne risquent rien.
"Le
petit Aylan — vous savez, le garçon qui est mort sur une plage — ses parents
étaient en Turquie depuis quatre ans. Il n’y avait aucune urgence à venir en
Europe. Bien évidemment, ces gens, il faut les aider, ils ont tout perdu. On ne
peut pas les laisser comme cela, ils sont dans la détresse. Mais de là à les
faire venir en Europe, ce n’est absolument pas indispensable, d’autant plus qu’en
réalité nous les éloignons de leur pays où ils ne retourneront pas. Une fois qu’ils
seront en Europe, ils ne repartiront pas dans leur pays et ils ne pourront pas
le recnstruire une fois la guerre terminée."
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2. COMMENTAIRES.
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À
la différence de bien des péroreurs de salon, en tête desquels il convient de
mettre les Bernard-Henri Lévy, Jacques Attali, Jean-Luc Mélenchon, Emmanuel Macron et tant de belles âmes du show-business, Marc FROMAGER paye de sa
personne ; il va sur le terrain, aide concrètement TOUS les réfugiés et
connaît fort bien les questions économiques qui se dissimulent derrière ces
guerres voulues par les puissances totalitaires dont je vous laisse
deviner les noms.
Marc
FROMAGER affirme, parce qu’il l’a vu sur le terrain, qu’il n’y a aucune urgence
à faire venir en Europe des personnes qui ne sont pas menacées. Il est exact
que dans le cadre de sa contribution, ils parlent surtout des Syriens, et que le
cas des Érythréens, des Maliens, des Afghans, des Maghrébins est sans doute
différents. Mais qui de nous ne comprend que ces pays en guerre le sont parce
que de puissants intérêts économiques ont intérêt à entretenir ces foyers de tension.
Il
est intéressant de noter que l’auteur parle du très salutaire et nécessaire
rapprochement avec la Russie. Il a été en contact avec des chrétiens
orthodoxes, soutenus par notre puissant voisin. Toutes les critiques que les
médias déversent sur la Russie en la personne de monsieur POUTINE, n’ont qu’un
seul but : retarder autant que possible l’irrésistible union de toute l’Europe
dans un ensemble qui échappera au contrôle américain. Ce ne sont pas les
malversations hypothétiques de monsieur POUTINE qui ont plongé le monde dans
une crise économique terrible en 2008, ce sont les banques américaines, et leur
technique satanique de titrisation de créances douteuses, ce sont les MADOFF,
les SOROS (lequel finance les ONG impliquées dans l’immigration transméditarranéenne).
Ce n’est pas monsieur POUTINE qui a plongé l’Afghanistan, l’Irak ou la Lybie
dans un épouvantable chaos, ce sont les puissances occidentales. Les Russes ont
eu la sagesse de se retirer à temps d’un guêpier inextricable. Ce n’est pas
monsieur POUTINE qui maintient en détention, sans jugement, depuis des années,
des hommes venus de pays musulmans. Monsieur POUTINE a sans doute des méthodes
plus expéditives dans ce domaine et on ne peut que le déplorer. Mais quand monsieur
OBAMA a déclaré, après l’exécution de Ben LADEN que justice était faite, j’ai
été scandalisé. L’homme a été exécuté froidement, sans jugement, sans avocat,
sans aucun des secours juridiques que les sociétés dites démocratiques mettent
à la disposition des prévenus. Qu’on me comprenne bien : Ben LADEN
méritait sans aucun doute d’être jugé et éventuellement condamné à mort. Mais
au terme d’un procès, du genre de celui de Nuremberg, où les droits de la
défense ont été respectés.
Bref,
l’avis de monsieur FROMAGER vaut largement celui des belles âmes qui de leur
terrasse de l’île Saint-Louis, ou du Café de Flore ouvrent grands leurs bras à
des idées fantomatiques et non point à des êtres humains. Voilà des vérités qu'il fallait entendre sur l'immigration. Bien entendu, il faut comme toujours y mettre des nuances : la situation des chrétiens d'Irak, des Yézidis, est d'une autre nature et réclame d'autres solutions.
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3. INFORMATIONS
DIVERSES.
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Des
victimes musulmanes de l’islamisme dans une vidéo bouleversante.
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De
nombreux musulmans pieux et droits rencontrent Jésus.
Aimons-les,
accueillons-les, aidons-les et montrons à leur ex-coreligionnaires qu’ils sont
les bienvenus dans l’Eglise de Dieu.
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La
République de monsieur MACRON est par essence totalitaire.
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Chrétiens,
avez-vous lu ce programme ? Est-ce donc la vision que vous avez de la
famille ?
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Une
liste des candidats à battre (et qui, pour certains d’entre eux, sont déjà
battus).
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Il
paraît que l’Inde est une démocratie.
Tout
le monde s’en fout. Ce sont des chrétiens.
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Et
ils prétendent qu’ils ont gagné, qu’ils ont le peuple avec eux !
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Voilà
un article qui explique ce qui se passe, mais ne prévois pas assez ce qui peut
advenir.
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