De Marc RUGGERI, ce poème, je devrais dire cette méditation !
Mon âme se désole à hanter les
sépulcres
Où Ta Parole nous unissait jadis à la foi des gisants,
A fouler de mes pas les dalles aux herbes blanches
Qu'aucun ostensoir ne fait plus reverdir,
A rencontrer,
Dans leur lumière morte,
Les œuvres à jamais mortes
Des artistes de notre temps.
Où Ta Parole nous unissait jadis à la foi des gisants,
A fouler de mes pas les dalles aux herbes blanches
Qu'aucun ostensoir ne fait plus reverdir,
A rencontrer,
Dans leur lumière morte,
Les œuvres à jamais mortes
Des artistes de notre temps.
Que ton Ange, refermant ces
tombeaux,
ouvre de larges nefs pavoisés de grands sermons,
Que s'inclinent à nouveau les sujets de Ton royal Sacrement,
Et que retentissent de nos vivats l'oeuvre première, la merveille,
La Vérité demeurée intacte,
Le monumental Credo,
Consenti à nos Pères,
Livré à notre foi.
ouvre de larges nefs pavoisés de grands sermons,
Que s'inclinent à nouveau les sujets de Ton royal Sacrement,
Et que retentissent de nos vivats l'oeuvre première, la merveille,
La Vérité demeurée intacte,
Le monumental Credo,
Consenti à nos Pères,
Livré à notre foi.
Marc RUGGERI est un très grand
poète chrétien. Je vous invite à aller lire ceux des poèmes qu’ils publient, trop
timidement, à mon gré, sur sa page Facebook. Il est de la même veine de que J.-P. LEMAIRE.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire